#GeorgeFloyd : L’Agit’Prop’ artificielle
contre la République Américaine
« OPUS 225 AgitProp and our Republic »
« #AgitProp et #Jalousie. La Gauche américaine, Les auteurs de la tentative de coup d’État
en douce au sein de la CIA [de l’ère Obama], Obama lui-même, créature de la CIA :
ils ont tous échoué avec la fable de la destitution pour cause de collusion
avec la Russie, avec l’idiotie du Coronavirus et à présent avec cet état des
lieux aux États-Unis (les manifestations violentes en cours). Ces incompétents
vont bientôt être démolis. Souvenez-vous qu’Obama et Bush Jr. ont été les rois
des attaques sous faux pavillon, des détournements de fonds, du blanchiment d’argent,
et pire. Faites face à la vérité et écoutez-là » :
Laissez-moi vous expliquer ce
qui se passe dans tout le pays [les États-Unis], de Boston à Santa Monica :
les émeutes incendiaires, les manifestations et autres confrontations violentes.
C’est ce que j’appelle « mon
cœur de métier, mon business » : c’est-à-dire l’agitation
propagandaire. C’est ce que j’ai fait durant des décennies partout
dans le monde, en tant qu’opérationnel du renseignement en Union soviétique, au
Panama et ailleurs.
C’est une procédure standard, un
mode d’action habituel [afin de mettre en difficulté un régime politique].
Ce n’est pas quelque chose qui est individualisé [réduit à la mort d’un seul
individu]. Le vrai but, c’est de mettre en difficulté le Président des
États-Unis, qui est soudainement mis face à un chaos, un système d’agitation
qui est conçu pour le mettre à bas, et pour détruire la République américaine.
De quoi suis-je en train de
parler ici ?
1-L’agitation
propagandaire, c'est-à-dire ce qu’il se passe lorsque vous avez un
individu qui, à l’occasion d’une confrontation, est ou bien tué ou bien porté
manquant, capturé, emprisonné.
2-Ce que nous [les opérationnels
du Renseignement] faisons alors, c’est que nous [créons davantage de troubles]
pour mettre sous pression les militaires et la police, par des troubles
incendiaires déclenchés partout. Pourquoi ? Parce que nous voulons créer
et promouvoir une désorientation et une situation chaotique, à l’occasion
de laquelle nous montrons au monde un clivage : une confrontation entre
les militaires d’un pays (dans notre cas d’espèce, l’affaire George Floyd, notre
République américaine), et de l’autre côté l’abus [dans l’utilisation de la
force publique] qui a eu lieu, afin de les mettre en porte-à-faux. Mais le
plus important, c’est ce que nous essayons de faire [qui va au-delà du seul cas
de l’individu impliqué] : le but est de mettre à bas un régime politique
ainsi ciblé, en l’occurrence ici la République américaine.
Ainsi, dans notre cas d’espèce, le
sujet n’est en aucun cas limité à George Floyd. Il ne s’agit pas seulement d’un
individu ayant été traité de façon inappropriée par la police.
Le vrai sujet se situe à l’arrière-plan :
c’est la façon dont le parti Démocrate et tous les éléments de l’État profond,
particulièrement l’ancienne équipe d’Obama [et l’État Profond], ont déclenché
une sorte d’« intifada » contre l’Administration Trump. L’ancien
Directeur de la CIA John Brennan et d’autres personnages politiques comme Susan
Rice, [utilisant] des opérationnels inefficaces ou évincés de la CIA
anciennement vérolée, ont créé une situation à l’occasion à laquelle le
président Trump est contesté / confronté [à une agitation], qui vise à le remettre en cause, du fait
même des émeutes qui se déroulent sous nos yeux aux États-Unis.
Et face à cette situation, le
Président est contraint de recourir aux militaires et à la police.
Voilà le résultat, qui est partie
intégrante de l’agitation propagandaire : cela fait partie du narratif habituel
[obligeant une autorité politique à apparaître comme faisant des choix radicaux
en termes de maintien de l’ordre].
Ceci a été établi depuis les
années 1920 et jusqu’aux années 1950 par les maîtres de l’agitation
propagandaire : Staline et les bolcheviks, dans l’ancienne Union Soviétique.[1]
À mon tour, lorsque j’étais aux
affaires [DAS, cad. numéro trois de la diplomatie américaine sous cinq
administrations différentes, NDT], j’ai à mon tour fait usage des mêmes
procédés afin de mettre à bas l’URSS.
À présent, une question : pourquoi
cela arrive-t-il en ce moment, soudainement aux États-Unis ?
Ceci n’est qu’une affaire de
convoitise et de jalousie, caractérisée par un élément destructif dans une
relation. Si vous pensez qu’un ami à vous a un joli maillot et que vous
voudriez l’emprunter ou l’acheter, c’est de l’envie. Mais si vous voulez dans
l’équation détruire ou bien vous, ou bien votre ami, ou bien le maillot, alors
ça devient de la jalousie maladive ou de la convoitise, quelque chose qui vous
ronge.
Donc nous avons cette convoitise
tournant à la jalousie maladive de la part de l’État profond,
particulièrement au sein des Agences [de Renseignement remises au pas par
Trump, spécialement l’ancienne CIA), jalousant le fait que Trump est arrivé
au pouvoir en tant qu’homme d’affaires, n’étant pas du sérail, et fut en
ce sens un représentant inhabituellement indépendant qui allait être très fort
et difficile à contrôler.
Pourquoi sont-ils donc si
jaloux, l’État profond, l’aile gauche du parti Démocrate, les déclencheurs
de cette « Intifada », l’ancienne Administration Obama, et même l’ancienne
Administration Bush, ainsi que certains Républicains ? Ils ont été
animés par le raisonnement suivant : ils ont été préoccupés par le fait que
Trump pourrait rester aux affaires trop longtemps [assez pour remettre en cause leurs intrigues et manigances].
Ils ont donc généré artificiellement
la tentative de destitution de Trump, ensuite ils ont créé par une
désinformation massive la fable de la collusion de Trump avec la Russie, qui a
tourné au fiasco, ensuite ils ont créé tous les types de problèmes relatifs au
Coronavirus, une crise qui n’aurait jamais dû forcer le Président à arrêter l’économie
des États-Unis.
En fait je l'ai dit : nous
n’aurions jamais dû stopper l’économie [du fait du Coronavirus],[2] et nous
aurions même dû encourager Trump à être encore plus fort qu’il ne l’a été et
qu’il ne l’est. Personnellement, j’aurais viré un certain nombre de personnes
au sein de la Maison-Blanche, j’aurais mis en prison Brennan, ainsi que bon
nombre de représentants de l’ancienne CIA de l’ère Obama, et je leur aurais donné
une bonne leçon.
Quelle va être l’épilogue de
cette Histoire ? Il va être simple. Trump va impliquer les militaires, les
forces de police, et nous allons mater les émeutes. Le point que
j’essaie de vous rendre clair, c’est que demain est un autre jour : nous allons
revenir à une économie saine et à un fonctionnement normal et sain de
l’économie, la république va demeurer intacte.
Mais en guise de conclusion je
vais paraphraser Staline, le père de l’agitation propagandaire : une mort
est une tragédie, des morts multiples ce n’est plus que de la statistique.
Ceci doit être compris comme un avertissement à destination des fauteurs de
troubles créant cette « intifada » aux États-Unis, et de l’État
profond dans son ensemble. « Bonne chance ».[3]