Tryptique+remember Yorktown / réddition / Cheesapeake

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...SOUVENEZ-VOUS DE LA VIEILLE REPUBLIQUE... HISTORIQUEMENT : LE MEILLEUR DE LA VIEILLE EUROPE...PAS DE CIVILISATION SANS LIBERTE+INITIATIVE..."QUE ROME PRENNE GARDE A LA COLERE DES LEGIONS... --- ... REMEMBER THE OLD REPUBLIC --- HISTORICALLY : THE BEST OF THE OLD EUROPE --- NO CIVILISATION WITHOUT LIBERTY + INITIATIVE --- "LET ROME BEWARE THE LEGION'S WRATH"...

2 juin 2020

#GeorgeFloyd : L’Agit’Prop’ artificielle contre la République Américaine


#GeorgeFloyd : L’Agit’Prop’ artificielle contre la République Américaine
 

« OPUS 225 AgitProp and our Republic »



« #AgitProp et #Jalousie. La Gauche américaine, Les auteurs de la tentative de coup d’État en douce au sein de la CIA [de l’ère Obama], Obama lui-même, créature de la CIA : ils ont tous échoué avec la fable de la destitution pour cause de collusion avec la Russie, avec l’idiotie du Coronavirus et à présent avec cet état des lieux aux États-Unis (les manifestations violentes en cours). Ces incompétents vont bientôt être démolis. Souvenez-vous qu’Obama et Bush Jr. ont été les rois des attaques sous faux pavillon, des détournements de fonds, du blanchiment d’argent, et pire. Faites face à la vérité et écoutez-là » :


Laissez-moi vous expliquer ce qui se passe dans tout le pays [les États-Unis], de Boston à Santa Monica : les émeutes incendiaires, les manifestations et autres confrontations violentes. 
C’est ce que j’appelle « mon cœur de métier, mon business » : c’est-à-dire l’agitation propagandaire. C’est ce que j’ai fait durant des décennies partout dans le monde, en tant qu’opérationnel du renseignement en Union soviétique, au Panama et ailleurs.  
C’est une procédure standard, un mode d’action habituel [afin de mettre en difficulté un régime politique]. Ce n’est pas quelque chose qui est individualisé [réduit à la mort d’un seul individu]. Le vrai but, c’est de mettre en difficulté le Président des États-Unis, qui est soudainement mis face à un chaos, un système d’agitation qui est conçu pour le mettre à bas, et pour détruire la République américaine.

De quoi suis-je en train de parler ici ?
1-L’agitation propagandaire, c'est-à-dire ce qu’il se passe lorsque vous avez un individu qui, à l’occasion d’une confrontation, est ou bien tué ou bien porté manquant, capturé, emprisonné.
2-Ce que nous [les opérationnels du Renseignement] faisons alors, c’est que nous [créons davantage de troubles] pour mettre sous pression les militaires et la police, par des troubles incendiaires déclenchés partout. Pourquoi ? Parce que nous voulons créer et promouvoir une désorientation et une situation chaotique, à l’occasion de laquelle nous montrons au monde un clivage : une confrontation entre les militaires d’un pays (dans notre cas d’espèce, l’affaire George Floyd, notre République américaine), et de l’autre côté l’abus [dans l’utilisation de la force publique] qui a eu lieu, afin de les mettre en porte-à-faux. Mais le plus important, c’est ce que nous essayons de faire [qui va au-delà du seul cas de l’individu impliqué] : le but est de mettre à bas un régime politique ainsi ciblé, en l’occurrence ici la République américaine.

Ainsi, dans notre cas d’espèce, le sujet n’est en aucun cas limité à George Floyd. Il ne s’agit pas seulement d’un individu ayant été traité de façon inappropriée par la police.
Le vrai sujet se situe à l’arrière-plan : c’est la façon dont le parti Démocrate et tous les éléments de l’État profond, particulièrement l’ancienne équipe d’Obama [et l’État Profond], ont déclenché une sorte d’« intifada » contre l’Administration Trump. L’ancien Directeur de la CIA John Brennan et d’autres personnages politiques comme Susan Rice, [utilisant] des opérationnels inefficaces ou évincés de la CIA anciennement vérolée, ont créé une situation à l’occasion à laquelle le président Trump est contesté / confronté [à une agitation], qui vise à le remettre en cause, du fait même des émeutes qui se déroulent sous nos yeux aux États-Unis.

Et face à cette situation, le Président est contraint de recourir aux militaires et à la police.
Voilà le résultat, qui est partie intégrante de l’agitation propagandaire : cela fait partie du narratif habituel [obligeant une autorité politique à apparaître comme faisant des choix radicaux en termes de maintien de l’ordre].
Ceci a été établi depuis les années 1920 et jusqu’aux années 1950 par les maîtres de l’agitation propagandaire : Staline et les bolcheviks, dans l’ancienne Union Soviétique.[1]
À mon tour, lorsque j’étais aux affaires [DAS, cad. numéro trois de la diplomatie américaine sous cinq administrations différentes, NDT], j’ai à mon tour fait usage des mêmes procédés afin de mettre à bas l’URSS.

À présent, une question : pourquoi cela arrive-t-il en ce moment, soudainement aux États-Unis ?
Ceci n’est qu’une affaire de convoitise et de jalousie, caractérisée par un élément destructif dans une relation. Si vous pensez qu’un ami à vous a un joli maillot et que vous voudriez l’emprunter ou l’acheter, c’est de l’envie. Mais si vous voulez dans l’équation détruire ou bien vous, ou bien votre ami, ou bien le maillot, alors ça devient de la jalousie maladive ou de la convoitise, quelque chose qui vous ronge.
Donc nous avons cette convoitise tournant à la jalousie maladive de la part de l’État profond, particulièrement au sein des Agences [de Renseignement remises au pas par Trump, spécialement l’ancienne CIA), jalousant le fait que Trump est arrivé au pouvoir en tant qu’homme d’affaires, n’étant pas du sérail, et fut en ce sens un représentant inhabituellement indépendant qui allait être très fort et difficile à contrôler.
Pourquoi sont-ils donc si jaloux, l’État profond, l’aile gauche du parti Démocrate, les déclencheurs de cette « Intifada », l’ancienne Administration Obama, et même l’ancienne Administration Bush, ainsi que certains Républicains ? Ils ont été animés par le raisonnement suivant : ils ont été préoccupés par le fait que Trump pourrait rester aux affaires trop longtemps [assez pour remettre en cause leurs intrigues et manigances].
Ils ont donc généré artificiellement la tentative de destitution de Trump, ensuite ils ont créé par une désinformation massive la fable de la collusion de Trump avec la Russie, qui a tourné au fiasco, ensuite ils ont créé tous les types de problèmes relatifs au Coronavirus, une crise qui n’aurait jamais dû forcer le Président à arrêter l’économie des États-Unis.
En fait je l'ai dit : nous n’aurions jamais dû stopper l’économie [du fait du Coronavirus],[2] et nous aurions même dû encourager Trump à être encore plus fort qu’il ne l’a été et qu’il ne l’est. Personnellement, j’aurais viré un certain nombre de personnes au sein de la Maison-Blanche, j’aurais mis en prison Brennan, ainsi que bon nombre de représentants de l’ancienne CIA de l’ère Obama, et je leur aurais donné une bonne leçon.
Quelle va être l’épilogue de cette Histoire ? Il va être simple. Trump va impliquer les militaires, les forces de police, et nous allons mater les émeutes. Le point que j’essaie de vous rendre clair, c’est que demain est un autre jour : nous allons revenir à une économie saine et à un fonctionnement normal et sain de l’économie, la république va demeurer intacte.
Mais en guise de conclusion je vais paraphraser Staline, le père de l’agitation propagandaire : une mort est une tragédie, des morts multiples ce n’est plus que de la statistique. Ceci doit être compris comme un avertissement à destination des fauteurs de troubles créant cette « intifada » aux États-Unis, et de l’État profond dans son ensemble. « Bonne chance ».[3]







[1] Procédés bien plus anciens, traces dans la bible (Actes des Apôtres par exemple).
[2] NDT : Pieczenik est médecin.
[3] Peut être pris comme une référence d’opérationnel (Pieczenik a déjà réalisé des assassinats en service commandé) au film Taken.