Tryptique+remember Yorktown / réddition / Cheesapeake

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...SOUVENEZ-VOUS DE LA VIEILLE REPUBLIQUE... HISTORIQUEMENT : LE MEILLEUR DE LA VIEILLE EUROPE...PAS DE CIVILISATION SANS LIBERTE+INITIATIVE..."QUE ROME PRENNE GARDE A LA COLERE DES LEGIONS... --- ... REMEMBER THE OLD REPUBLIC --- HISTORICALLY : THE BEST OF THE OLD EUROPE --- NO CIVILISATION WITHOUT LIBERTY + INITIATIVE --- "LET ROME BEWARE THE LEGION'S WRATH"...

30 juillet 2015

INCROYABLE mais VRAI : La BLAGUE du jour, par OBAMA...



INCROYABLE mais VRAI : La BLAGUE du jour, par OBAMA...

« Il y a une chose où l'expérience de Trump sera indéniable... fermer Guantanamo, car il s'y connait en liquidation immobilière »



29 juillet 2015

Jonathan Pollard est méprisable : le 2e plus grand traître de l'histoire américaine, "héros d'Israël" : la perversion suprême d'une relation d’Etat-Nation "à charge"





Jonathan Pollard est méprisable : le Benedict Arnold[1] de l'Amérique devient un héros d'Israël : la perversion suprême d'une relation d’Etat-Nation "à charge"[2]!

Pour ceux d'entre vous trop jeune pour se rappeler du nom de Jonathan Pollard, lire s'il vous plaît l'excellent article dans Wikipedia (anglais/français) sur cette ignoble individu qui fut l’un des plus grands traîtres de l'Amérique[3]. Pour résumer sa vie, elle consiste essentiellement en des termes péjoratifs, mais extrêmement précis comme cinglé, manipulateur, sociopathe, avide et avant tout un traître vicieux à son pays de naissance, l’Amérique.
Pollard a vendu des renseignements hautement sensibles et au plus haut [Top], en tant qu’ancien officier du Renseignement naval (U.S.Naval Intelligence) pour des centaines de milliers de dollars à son bien-aimé pays imaginaire : Israël. Il achève aujourd'hui une peine de 30 ans de prison et sera extradé vers Israël pour y devenir l'un de leurs citoyens-héros, titre nouvellement créé.


Ma description sommaire des caractéristiques les plus saillantes de Pollard en tant qu'être humain ignoble est contrée par un chœur mixte juif-américain et israélien : « il éprouve des regrets pour ses actions » et « Pollard n'a jamais été accusé de trahison »...
Voilà typiquement le contre-argument présenté sous une forme ad hominem depuis des décennies par cette congrégation des juifs américains ignorants qui n’ont aucune idée de combien les dommages ont été infligés par Pollard à la Communauté du Renseignement Américaine [CAR- American Intelligence Community - AIC].
Ces fakirs juifs ne se rendent pas compte que la « trahison » implique techniquement des cas où quelqu'un espionne pour le compte d’un « Etat ennemi ». Les Américains stupides n’ont jamais considéré Israël comme un « Etat ennemi » en dépit de leur forfaiture du 11 Septembre lorsque d’innombrables agents du Mossad ont été arrêtés à New York et dans le New Jersey pour des « activités aberrantes » [aberrant activities].

A présent, permettez-moi de me concentrer sur ce Pollard.
 Alors que moi et d'autres éléments de la CIA, du MI (Military intelligence) et de l'Administration Reagan étaient en train de mettre en place activement une stratégie de « changement de régime » en Union Soviétique (du communisme au capitalisme), Pollard était occupé à collecter l'argent des agents(opérationnels) de l'ennemi en Afrique du Sud, au Pakistan, en Argentine, à Taiwan et bien sûr, en Union soviétique, à hauteur d'un salaire mensuel de 2,5K$ (25.000) sans compter les hôtels, voyages, et la bague en saphir et diamant pour sa seconde épouse.      Pour ceux d'entre vous qui pourraient être impressionnés par les « légendes »[4], ersatz créés par la très imaginative Unité Lakam du Mossad [une unité scientifique du Renseignement triée sur le volet], le contrôleur de Pollard était un très célèbre espion israélien du nom de Rafi Eitan[5].
Quand on a demandé Pollard ce qu'il allait faire avec tout l'argent qu'Israël lui avait donné, il a déclaré ce qui suit :
«Je ne visais pas uniquement à rembourser tout l'argent [à Israël, bien sûr, pas l'Amérique] que j’ai reçu, mais aussi, à créer une chaire au Centre de Formation des Personnels Généraux du Renseignement Israélien [Israeli General Staff’s Intelligence Training Center], sis à l’extérieur de Tel-Aviv ».

Voilà*. Pollard devient le nouveau bienfaiteur d'Israël. Qu'est ce que cela signifie pour vous et moi?
Pollard est un rappel de ce que dans le monde des relations internationales, les Américains ont pas d'amis ou partenaires à qui nous devons et pouvons faire confiance. Ce que nous avons, ce sont les intérêts nationaux.
Comment Pollard a-t’il pu recevoir d'innombrables habilitations en matière de sécurité, à la lueur de problèmes de santé mentale pourtant évidents ainsi que de comportements sociopathologiques manifestes, demeure encore un mystère pour moi. Peut-être y en a-t’il d'autres au sein de la Communauté du Renseignement?
Toutefois, le mérite doit aller au crédit du DCI George Tenet et à la CIA pour la poursuite et la mise en accusation jusqu'à la condamnation de cet espion israélien jusqu'à ce qu'il soit finalement incarcéré, non sans quelques manipulations très compliquées de la part de Pollard.

Quant à Israël, il est le seul pays sympathique que je connaisse qui ait été capable :


                [1] : d'avoir attaqué impitoyablement notre bateau de renseignement, le Liberty, et délibérément tué beaucoup de nos braves marins.
                [2] : d'avoir été intimement impliqué dans les faux attentats du 11 Septembre et les multiples explosions dans les tours du World Trade Center qui ne furent pas causées par des avions volants.
                [3] : d'être le seul pays à autoriser la double nationalité de : Bibi (Netanyahou), Michael Oren, Dore Gold, et Ron Dermer, qui tous représentent Israël, n’épargnant pas leur venin contre leur pays de naissance [les Etats-Unis] qui les qualifie [devrait les qualifier/considérer] comme des « ennemis de l'État » plutôt que comme des fils de l’Amériques de naissance [et de coeur].

Aucun des transfuges susmentionnés n'a jamais servi dans notre appareil militaire ou de Renseignement américain. Pourtant, ils ont l'audace d’admonester notre pays pour les travestissements imaginaires de la diplomatie qu'ils ont concoctés concernant:
                [1] le Hamas, l’une de leurs propres progéniture / descendances[6]...
                [2] de l'OLP, leur allié [?][7],
                [3] l'Arabie Saoudite, leur allié de longue date,
                [4] la Syrie, un ancien allié sous la famille Assad,
                [5] l'EEIL qu'ils ont contribué à créer et à former,
                [6] L'Iran avec lequel ils ont fait commerce du pétrole depuis des décennies...
 
Comme un Frankenstein, l'Amérique a involontairement créé un bon fidei commis dibbouk[8] israélien, dont les malversations inhérentes structurées dans son ADN, sous forme d’une paranoïa autopropulsée et constamment réalimentée qu'ils ont créé pour justifier leurs actions inhumaines partout dans le monde.
En tant que rejeton des « Juifs de l'Holocauste » qui ont eu la chance de venir en Amérique et d'embrasser les opportunités et exigences de la citoyenneté [comme le fait de servir dans l'Armée], j'ai toujours mis en garde les agents israéliens qu'ils ne sont pas les amis de ceux d'entre nous qui ont survécu aux camps de la mort. Nous ne promettons aucune allégeance à l’histoire bidouillée de la façon dont ils nous ont "sauvé" [amené], en Palestine / Israël.
Israël et les Juifs ignorants d’Amérique ne savent rien de la véritable histoire de « l'Holocauste » et devraient payer cher pour toutes les transgressions contre notre République [américaine]. Chaque Américain / Israélien qui décide de détenir deux passeports devrait être l'objet de suspicion et de doute.

 Le miracle hi-tech d'Israël demeurera en place, aussi longtemps qu’il ne constituera pas un front en vue de siphonner les secrets du pays qui leur a permis d'exister : l’Amérique.
Il est un truisme bien malheureux que les Américains s'attendent naturellement à ce que la Chine, la Russie, la France et l'Allemagne espionnent nos dirigeants [américains], mais d'avoir dans le même temps Israël répandant les tripes de nos secrets sans jamais en être inquiété : cela ne correspond plus aux termes d'un "Accord entre gentilshommes" ("Gentleman’s Agreement").

Peut-être le pape Jean XIII nous donnait-il de sages conseils dans une telle matière :
« Voir tout ; fermer les yeux sur beaucoup ; corriger un peu ».






[1] NDT : Benedict Arnold né le 14 janvier 1741 à Norwich dans le Connecticut, et mort le 14 juin 1801 à Londres, est un général de l'Armée continentale durant la guerre d'indépendance des États-Unis. Il est surtout connu pour avoir trahi les États-Unis et voulu livrer le fort américain de West Point aux Anglais durant la guerre d’Indépendance. Il est peut-être le traître le plus connu de l'histoire des États-Unis.
[2] NDT : Référence à la situation d'Israël vis-à-vis des États-Unis.

[3] « L'ex-espion juif américain Jonathan Pollard libéré » (le Figaro, 19 novembre 2015)

[4] Une légende en matière de renseignement, correspond à la façon dont on façonne une « identité fictive » (de couverture) pour un agent dont les occupations réelles sont autres.
[5] NDT : comparer les fiches Wikipédia anglaises et françaises.
*(en français dans le texte).
[6] NDT : Référence indubitable ici par Pieczenik, aux faites que c'est Israël qui a financé le Hamas pour faire barrage aux nationalistes de Yasser Arafat, afin de et ensuite la position israélienne contraint Hamas viscéralement opposé à Israël.
[7] NDT : difficile de comprendre ici exactement l'intention de Pieczenik.
[8] Un dibbouk ou dybbouk (plusieurs graphies existent à partir de l'hébreu דיבוק signifiant « attachement ») est, dans la mythologie juive et kabbalistique de l'Europe de l'Est, un esprit ou un démon qui habite le corps d'un individu auquel il reste attaché. Un dibbouk peut être exorcisé.

27 juillet 2015

Félicitations à Donald Trump pour le brillant tour de force de son discours dans l'Iowa : incisif, très détaillé et complet, avec de l’humour en prime!




Félicitations à Donald Trump pour le brillant tour de force de son discours dans l'Iowa : incisif, très détaillé et complet, avec de l’humour en prime!

J’espère que Donald va continue sa course dévastatrice pour le camp Républicain comme Démocrate, mais il est [doit être] prudent/précautionneux au vue des jalousies qu’il génère; en particulier au sein des familles Bush et Clinton.

Depuis un certain temps, vous et moi avons applaudi/acclamé le style révolutionnaire de Donald Trump dans l'éviscération de ses adversaires, tout en expliquant dans le même temps les problèmes de notre système politique américain, aussi guindé que dysfonctionnel.
Je suis préoccupé par le fait que, comme certains de mes lecteurs les plus dévoués l’ont souligné, plus Trump va pousser loin sa « machine à dire la vérité », plus les Bush et Clinton vont devenir désespérés. J’utilise le pluriel car Hillary [Clinton] et Jeb [Bush] ne sont pas vraiment une personne, mais une « compilation »[1], un agrégat des « facilitateurs » [distributeurs de bons offices] de tous horizons dont les proches ont été anciens présidents avec des passés comprenant bien des manquements et agissements scélérats[2]...


« Family of Secrets:The Bush Dynasty, America's Invisible Government, and the Hidden History of theLast Fifty Years [une famille de secrets : la dynastie des Bush, le gouvernement invisible de l'Amérique, et l'histoire cachée de ces 50 dernières années ]»  (Russ Baker, Bloomsbury Press, 2009)
 
Les familles Bush et Clinton ont en effet des états de service infâmants tout en ayant évité tout procès pour tous les crimes économiques et politiques qu’ils ont commis contre le peuple américain. Sans avoir besoin de grossir le trait outre mesure[3], nous pouvons simplement considérer Jeb, qui a promis une « nouvelle équipe », mais cette équipe promise a été repeuplée des mêmes cafards néoconservateurs comme Wolfowitz et compagnie... De même, en face Hillary a rebondi d'un mensonge à l'autre avec un empressement[4] confinant à la pathologie.

Le propos de ce blog n’est pas d’encenser Trump, il peut certainement le faire de son propre chef. Mais mon objet de profonde préoccupation est que, lorsqu’une force révolutionnaire comme Trump fait irruption au sein d’un système politique statique, une dyade[5] ossifiée de Républicains et de Démocrates, surviennent subitement des « accidents malheureux » et autres assassinats par de soi-disant tireurs isolés (« hommes armés  [agissant] seuls »[6]).
Car dans les temps récent les Américains ont assisté à un étrange cirque de tueries frappant des victimes innocentes, perpétrées par de soi-disant « hommes armés solitaires », depuis le si joli  Cajun centre de Lafayette (Louisiane) jusqu’aux églises de Caroline du Sud. Il s'agit de déterminer si ces meurtres font partie d'un même modus operanti dupliqué[7] ou de quelque chose d’autre, je laisse ce soin au FBI. Cependant, je sais vraiment que dans le cas d'autres présidents (JFK, Nixon, Ford, Reagan), nous avons connue une pelletée de tentatives ou d'assassinat réussis par des «soi-disant fous/déséquilibrés ». Partant de là, je dis qu’il y a désormais une exigence de protection supplémentaire (qu’elle soit privée ou publique) afin qu’un de ces « accidents malheureux » ne survienne pas sur l’un des points d’arrêts de Trump à l’avenir.
Je ne prône et ne prônerai pas la violence d’aucune sorte contre quiconque, surtout des candidats présidentiels. Mais, après avoir été [impliqué] dans les affaires de tueurs de masse et autres assassinats politiques[8], je dois avertir ceux qui protègent vraiment Trump, qu'à l'heure actuelle toute la psycho-dynamique est en place pour que « quelque chose de fâcheux » se produise, quoi que cela puisse signifier.

Le discours dans l'Iowa a capitalisé sur le fait que Trump était drôle, capable de connaître [bien des sujets], [suffisamment] modeste et bien informé sur une foule de sujets depuis la fluctuation des devises jusqu’aux déséquilibres commerciaux. Ce type de prestation insouciante, presque sans effort engendrera tous les types de sentiments envieux parmi ses soi-disant « collègues du Parti républicain », y compris les commentaires odieux de l’ignorant et incompétent Scott Walker, dont le représentant a traité Trump de débile (dumb). Le candidat le plus inavoué sur ce sentier de la jalousie et de l'envie doit être assurément Jeb Bush, qui a été rejeté [discrédité] à juste titre comme l’« homme de paille des lobbyistes et des intérêts particuliers, un homme inexistant[9] » (les mots de Trump lui-même).
Or lorsque l'envie pénètre dans la famille dysfonctionnelle du fils d’idiot gâté de la belle Mme Barbara Bush [la femme de G. Bush Sr.], beaucoup de choses peuvent alors se passer : la crise des caisse d’épargne américaines[10], les faux attentats du 11 Septembre, ou encore la falsification de preuves afin d’envahir un pays étranger[11]. Il est parfaitement clair que les Clinton ont été adoubés par notre déshonorante CIA de l’ère Bush (père) dans l'Arkansas, où ils aidaient à la contrebande de drogues illégales initiée depuis l'Amérique centrale et du Sud par Reagan, Bush Sr, Elliot Abrams[12].
Les médias et les moutons répèteront bien sûr leur mantra sur les « théoriciens du complot » qui maintenant est devenu un insigne d'honneur, sans aucun doute à mes yeux. Cependant, comme nous le disons dans le Renseignement : « il faut à tout moment s’attendre à l’inattendu [expect the unexpected at all times]». Grâce aux précédents assassinats de nos propres présidents et candidats, nous, les Américains avons appris à nous méfier de notre système et de nos dirigeants dans la mesure où les initiales JFK dénotent ( [implication de] LBJ, Bush Sr, Nixon, lamafia cubaine / italienne, et la Commission Warren). Ce n’est pas une exagération, c'est tout simplement une question de faits.
Mais regardez maintenant comment la famille Bush cherche à décrire l'attaque auto-initiée du 11 Septembre 2001 en montrant des images (inédites) de Bush Jr. [à l'époque où il était] POTUS[13], figé dans une série d'expressions stupéfaites [il avait vraiment été surpris...]. Or mes amis de l’Intelligence Economique (business intelligence) comme de la psychiatrie savent que très peu de choses arrivent par hasard  : demandez au général David Petraeus, quand il a tenté de s’opposer au futur DCI John Brennan et au POTUS Obama dans le cadre de l'affaire de Benghazi[14]! Soudainement, les Américains lui ont découvert une ridicule affaire extra-maritale, juste au moment où Obama était sur le point d'être réélu...

Orwell : le langage politique est fait pour faire passer des mensonges pour la vérité et le meurtre pour respectable...

Si donc, Trump n’est pas autorisé d’une manière ou d’une autre à mener la Course la Précidence jusqu’au bout en tant que candidat majeur contre Hillary constamment assiégée judiciairement, alors je serai très déçu mais également très suspicieux. Ce n’est pas une très bonne position pour moi et pour mes chers concitoyens américains ; notre avenir consiste à éviscérer cette absurdité dyadique cancéreuse appelée : Républicains et Démocrates. Longue vie à Trumps et à la République!
Homère, le grand poète et dramaturge grec a écrit ce qui suit d'un grand homme qui périt lui aussi :
"Achille absent, était encore d'Achille."


[1] Du latin compilare = piller...
 [2] « With checkered past and miscreants past », mot à mot « des passés de mécréants à damiers [contrastés] »
[3] Belaboring (invectiver, rouer de coup, accabler, frapper the point, épiloguer) 
[4] Alacrity= alacrité : gaîté vive, entrain, allégresse  (de Alacritas, Lat : « ardeur »)
[5] Du grec ancien δυάς, dyas ; génitif dyados (« dualité », « couple ») : Paire, ensemble de deux choses ou idées.
[6] "Lone gun men"
[7] Copy-cat effect. Un copycat est un imitateur agissant de manière similaire à une action lue dans les médias. Il peut s'agir de tuer suivant le modus operandi d'un serial killer tel que les médias l'ont décrit, d'effectuer un (ou des) braquage(s) ou de se suicider de la même manière qu'une personne réelle ou qu'un personnage de roman à succès. L’effet copycat est le comportement de mimétisme favorisé par la publicité médiatique accordée à un acte particulièrement dramatique
Le thriller Copycat (L'Imitateur au Québec) est un thriller américain basé sur ce principe  (Jon Amiel, 1995).
[8] S. Pieczenik a été impliqué dans au moins dix situations d'engagement militaire, et a aussi notamment été négociateur dans le cadre de prix otage.
[9] Un « pas grand-chose »
[10] Silverado Savings and Loan Crisis (S&L crisis):  précédée par la période des junk bonds et du krach de 1987, la crise des Savings and loan, les caisses d'épargne américaines, s'est déclenchée en 1987 en raison d'investissement hasardeux dans l'immobilier, pour profiter d'avantages fiscaux qui permettaient de meilleures plus-values. Voir sur ce point l’analyse absolument remarquable de W. Engdahl (« Pétrole, une guerre d'un siècle », éditions anciennes Godefroy, 2007, chap.11; également « Economie de crise », Nouriel Robin, 2009).
[11] Référence évidemment à l’Irak, 2003.
[12] Dark Alliance.
[13] POTUS = Président Of The United States
[14] De nombreuses vidéos de S. Pieczenik développent ce sujet, il n'a pas été le seul à l'évoquer, mais il l'a fait avec une crédibilité certaine.