Tryptique+remember Yorktown / réddition / Cheesapeake

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...SOUVENEZ-VOUS DE LA VIEILLE REPUBLIQUE... HISTORIQUEMENT : LE MEILLEUR DE LA VIEILLE EUROPE...PAS DE CIVILISATION SANS LIBERTE+INITIATIVE..."QUE ROME PRENNE GARDE A LA COLERE DES LEGIONS... --- ... REMEMBER THE OLD REPUBLIC --- HISTORICALLY : THE BEST OF THE OLD EUROPE --- NO CIVILISATION WITHOUT LIBERTY + INITIATIVE --- "LET ROME BEWARE THE LEGION'S WRATH"...

28 mars 2016

Les Inrocks s'offusquent : « Pourquoi la fachosphère roule pour Donald Trump ? »



Les grossiers désinformateurs des Inrocks, repeignant toujours le monde entre "gentils" et "méchants", via Fdesouche : « « Pourquoi la fachosphère roule pour Donald Trump ? » » (28-3-16) : 

Alors que l’on peine à trouver des soutiens à Donald Trump dans le paysage médiatique français, il en va différemment sur la blogosphère conservatrice. De Fdesouche au Salon Beige en passant par Egalité et réconciliation d’Alain Soral, tous les sites de la “fachosphère” semblent avoir pris fait et cause pour Donald Trump. Décryptage. 

Donald Trump fait l’objet d’intenses critiques. Que ce soit par l’établissement politique, les magazines qui ne cessent de titrer sur lui, à l’image du Time. Les chaînes d’info en continu débattent à longueur de journée sur les déclarations du milliardaire et sur les agissements de ses partisans ainsi que de ses détracteurs. En France, on peine à lui trouver des soutiens médiatiques et lorsque Ce soir ou jamais!  lui dédie une émission, il n’y qu’une journaliste pour montrer au créneau pour le défendre.
Certains acteurs de la vie française, principalement à droite et à l’extrême-droite, voient de manière opportuniste une validation de leur méthodes et programmes en évoquant ce phénomène. C’est au-delà du FN que la figure de Donald Trump bénéficie du plus de soutiens et notamment parmi les sites que les médias aiment regrouper sous le terme péjoratif de “fachosphère“. La fachosphère, c’est cet ensemble hétéroclite qui rassemble des sites et des utilisateurs des réseaux sociaux qui ne font pas mystère de leurs idéologies conservatrices voire réactionnaires. Ils estiment eux procéder à une “réinformation” du public en abordant des sujets “interdits“. Tous n’adorent pas Trump mais nombreux le voient comme le moins pire de tous.

Fdesouche “affiche son Trump”

Pierre Sautarel,  le créateur du site François de Souche, premier blog d’extrême en droite en France a tweeté il y a quelques temps qu’il souhaitait porter un t-shirt exprimant son soutien pour Donald Trump. “Sur Twitter, on a la volonté d’être retweeté, ça fait un peu de débat“, explique-t-il.
“Sur le moment c’était pour faire un contre pied. Au moment des campagnes d’Obama, il y avait plein de voitures de journaliste avec des autocollants Obama, on en parlait autour de moi, j’ai juste voulu faire de la provoc.
Pour lui, Trump est l’inverse du président actuel, de sa posture “cool”, de ses sourires.
Il plaît Trump, il détonne tellement par rapport au politiquement correct, à la démagogie absolue du ventre mou. C’est un type avec une grande gueule, parfois un peu vulgaire, on est plus habitué à ça, surtout après l’Obamania, un pseudo humanisme avec des prises de position gentillettes.”



Trump, l’ennemi du système

Le ton que Trump adopte est l’un des éléments qui fédère la “fachosphère” autour de lui. Son “parler vrai”, brutal, souvent viril, plaît. C’est le cas par exemple d’Egalité et Réconciliation, site fondé par l’idéologue  Alain Soral, condamné à plusieurs reprises pour ses déclarations antisémites, complice et fervent défenseur de Dieudonné. Dans un article intitulé “Pourquoi Trump va devenir un fasciste, le site explique son intérêt pour le candidat indépendant et tente d’analyser l’attirance qu’éprouve une certaine partie de la population américaine à son égard. “C’est un héros, celui qui dit tout haut ce que cachent les autres candidats dits “du système”.
Cette idée que Trump est un candidat du peuple, le seul à lui parler honnêtement revient régulièrement dans les texte que Boris Le Lay consacre régulièrement au candidat. Le blogueur, dont la biographie sur Twitter précise qu’il est breton et militant nationaliste, et qu’il résiderait au Japon, a été condamné à de multiples reprises pour des propos incitant à la haine raciale. Il tient son propre blog et écrit pour le site Breizatao, qu’il a créé et qui se présente comme le “Quotidien de l’Etat national Breton“. Il présente Donald Trump comme un “candidat plébéien“, comparant, dans un article extrêmement long, le milliardaire à Jules Cesar, assassiné par l’Oligarchie, incarnée en l’occurrence par les media et les élites politiques. Ceux-ci n’ont qu’un but : éliminer Donald Trump. Le blogueur ne cache pas son enthousiasme pour les positions du milliardaire. Boris Le Lay explique dans sa conclusion que :
Les questions fondamentales sont posées : immigration, radicalisme islamique, primauté des intérêts américains sur ceux transnationaux de certains oligarques. La dynamique enclenchée n’échappe pas aux ennemis de Trump qui voit se profiler à l’horizon un césarisme qu’elle redoute par-dessus tout
Et de qualifier Donald Trump dans d’autres articles de candidat national-populiste qui doit lutter contre l’intelligentsia, “vent debout contre” lui, tout comme “la presse dominante“.

Trump comme “ouragan”, symbole de “l’Amérique américaine”

Dreuz.info, site qui ne cache pas son rejet total de l’Islam, a ainsi multiplié les articles en faveur du candidat Trump, démontant le système médiatique et le traitement de sa campagne, que l’organe juge injuste et négative. Selon un article publié le 9 septembre dernier, Trump est un “ouragan” et représente “l’Amérique américaine” tandis que’Obama, lui ne serait que l’incarnation d’une “Amérique anti-américaine“. Plus récemment, le site explique que “Donald Trump incarne la colère” et réaffirme “l’identité américaine“. Dreuz voit dans le candidat “un désir d’en finir avec le politiquement correct dans tous les domaines“. Pour Jean-Patrick Grumberg, le créateur de la plateforme, le “Président Donald Trump et Israël” entretiendront une “amitié intense. A en croire Jean-Patrick Grumberg, les positions pro-israéliennes de Donald Trump seraient les raisons pour lesquelles la presse française cracherait sur lui.

Les cathos tradis soutiennent Trump 

Malgré son ton provoc, Trump plait également à la sphère catholique traditionnaliste. Le Salon Beige qui se définit comme un “blog quotidien d’actualité par des laïcs catholiques“, relaie régulièrement des articles favorables à Donald Trump ou visant à confirmer ses propos. Même si le 10 mars 2016, le site expliquait que la campagne de Donald Trump faisait penser à celle de Nicolas Sarkozy en 2007, “beaucoup de promesses” d’un côté, de “beaux discours” d’un autre, ce qui a mené à “un enfumage généralisé suivi d’un quinquennat pitoyable“. L’auteur de l’article se demande ainsi si “les américains de droite subiront […] le même sort“.
Vivien Hoch, collaborateur de Nouvelles De France, autre site phare de la mouvance, a été jusqu’à se déclarer porte-parole d’un comité des “français pour Trump“. Ce déçu de Sarkozy qui a ardemment milité au sein de la Manif pour tous manifeste son attrait pour Donald Trump jusqu’à son compte twitter, celui-ci arborant une grande photo en noir et blanc du milliardaire. Dans une interview donnée au Figaro qui a été mise hors ligne (mais consultable ici), il en explique les raisons : “Si l’on regarde les élections américaines avec un regard français – et c’est ce que nous faisons tous malgré nous -, il représente le contrepoint parfait de ce que représentent les hommes politiques français”, explique-t-il. Et c’est pour cela que nous le soutenons. […] il n’a pas peur de renverser la table si besoin, ni de déplaire. On l’aime pour ce qu’il est, ou on le rejette entièrement. En plus de ses propos assumés, il a une véritable prestance, un charisme”.
Son compte Twitter de soutien à Trump fait des références très ancrées dans le paysage de l’extrême droite française, postant des tweets avec des références à la marque de vêtement “Babtou solide“, mais aussi au catholicisme le plus traditionnel avec des messages se réjouissant du retour de l’anneau de Sainte Jeanne d’Arc en France. On retrouve aussi, çà et là, des offensives très directes à l’encontre des médias français qui parleraient de Donald Trump en des termes peu élogieux. La page Facebook du comité trump France propose même une prière pour les catholiques qui souhaiteraient soutenir le candidat.



A la recherche du Trump français

C’est parce qu’il souhaite un “électrochoc” pour la vie politique française semblable à celui provoqué par le candidat que Vivien Hoch soutient Donald Trump dans sa course présidentielle. Car selon lui, il n’y a pas d’équivalent au milliardaire aujourd’hui en France. Les noms de Jean-Marie Le Pen, Robert Ménard et Philippe de Villiers sont évoqués. “En réalité, il faudrait un mix de ces trois personnes“, estime le blogueur de Fdesouche, Pierre Sautarel. Ajoutant qu’à ses yeux,  la personnalité la plus proche de Trump en France est…Jean-Luc Mélenchon.
C’est le côté transgression du politiquement correct, que prône l’aile droite du parti républicain depuis le début des années 90, qui plaît à la fachosphère” analyse l’historien Nicolas Lebourg, specialiste des droites extrêmes. “De ce côté-là, Trump fait le job, avec ses attaques sur les mexicains. Il y a une dimension ethnique dans ses discours, ce qu’ils apprécient.” Ce qui attire aussi la fachosphère, c’est le côté très autoritaire, brutal, du discours de Trump.
On se rapproche du Law and Order de Nixon en 1968. Il le fait à sa manière, avec l’éloge de l’armement personnel. C’est sa façon de se mettre dans la même ligne, c’est aussi ce qui doit plaire aux blogueurs de la fachosphère.
Enfin, il y a selon Nicolas Lebourg l’aspect très méritocratique du discours de Trump.
il y a l’idée que tout se mérite, l’idée d’une hiérarchie sociale légitime. Il faut voir que pour la droite la plus dure, le travailleur doit être bien placé entre le profiteur d’en haut et celui d’en bas, surtout celui d’en bas.
Et le style ultra capitaliste de Trump n’est pas un frein, contrairement à ce que l’on pourrait croire.
Vu de loin, on pourrait se dire que ce n’est pas le style de l’extrême droite française, mais quand on le décode, on revient à ce discours de la hiérarchie sociale légitime. Trump ne fait pas l’apologie de l’argent roi gratuitement, il explique qu’il a travaillé dur pour en arriver là où il est.
Donald Trump aura donc réussi à réunir autour de lui une partie de l’extrême droite française, celle qui se trouve en dehors des partis et milite sur Internet. S’il est peu probable que ça puisse permettre au candidat milliardaire de gagner les élections, Trump servira peut-être de clé de lecture pour trouver un nouveau chouchou en vue de l’élection présidentielle française de 2017.


Steve Pieczenik & Dr. James F. Tracy, Truth Frequency Radio


Steve Pieczenik, « En direct sur Truth Frequency Radio (28 mars 2016) », Emission "Real politik", « Steve Pieczenik LIVE on Truth Frequency Radio [3-28-16]” vidéo Youtube ici.

            Le Dr Steve Pieczenik interrogé par le Dr. James F. Tracy, au sujet de l'histoire du terrorisme sous faux drapeau, et de comment les événements sont orchestrés comme le massacre de Sandy Hook, l'attaque à la bombe de Boston et le 11 septembre 2001, remettant en cause l'intégrité des institutions américaines les plus fondamentales.

                « Et nunc intelligite, et ERUDIMINI ! [Et maintenant comprenez, et soyez avertis !]» (Bossuet)


Dr. James F. Tracy :
            –Notre invité ce matin est le Dr Steve Pieczenik, auteur reconnu par la critique de thrillers psycho-politiques, co-créateur de la série de livres à grand succès (d'après la liste du New York Times) avec Tom Clancy, "Net Centre" et "Op Force", des livres très populaires dont les racines sont puisées dans les 20 années d'expérience des relations internationales, sous cinq Présidents américains. Le Dr Steve Pieczenik a reçu son BA [Licence] de l'Université de Cornell, fut formée à la psychiatrie à Harvard et détient un MD de l'Université Médicale de Cornell, puis un PhD en Relations Internationales au MIT. Le premier psychiatre à recevoir un doctorat en philosophie, avec l'accent mis sur les relations internationales et il reste le seul psychiatre avoir servi comme Sous-secrétaire d'État adjoint [Deputy Assistant Secretary of State - DASS].
            Dr Steve Pieczenik a travaillé directement avec les Secrétaires d'État [Secretary of State] Henry Kissinger, Cyrus Vance,George Schultz,et James Baker [III], sous les administrations [Gouvernements] correspondantes [Nixon, Ford, Carter, Reagan, Bush Sr]. Il fut aussi Planificateur Politique Senior [Senior Policy Planner] sous le Président Reagan.
            Son dernier livre, Steve Pieczenik Talks, Volume II  [suite de la compilation de ses notes de blog], et Theodora. Des informations additionnelles peuvent être trouvées sur son site Internet.
            Bienvenue, Dr Steve Pieczenik.

Dr Steve Pieczenik :
            –merci à vous de me recevoir dans cette émission propice, pour le Dimanche de Pâques [enregistrée pour le 28 mars 2016]. Je suis très honoré reçu par votre émission est impatient de répondre à vos questions, Dr. Tracy.

            F.T :
            Je voudrais commencer par vous demander ce qui vous a inspiré en tant qu'individu, avec votre crédibilité et votre arrière-plan, etc... au diplôme : qu'es-ce qui vous a poussé à vous exposer réellement médiatiquement afin de remettre en question l'Etablissement [le Système établi], à être considéré comme ce que d'aucuns appelleraient un "truther" [Une personne qui doute des comptes-rendus généralement acceptés d'un événement, croyant en l'existence d'une conspiration officielle afin de masquer l'explication présentée comme vrai], peut-être, même dans un sens dérogatoire, un "théoricien de la conspiration" [parlons plutôt en français de d'un lanceur d'alerte (whistle blower) : une personne qui informe le public concernant les activités illicites engagées par une organisation ou une institution]

            Dr Steve Pieczenik :
                – Premièrement, j'éprouve une grande fierté à être considéré ainsi. Mais quand j'ai travaillé avec l'Administration Bush [Sr.] ou l'Administration Reagan, j'ai appris à connaître assez bien les différents personnages impliqués dans l'Administration Bush Jr.,  et j'ai en fait été impliqué dans le processus électoral, mais je n'ai pas fait parti de l'Administration [Bush Jr.]. Donc si vous avez une Administration qui comme celle de Bush Jr., était rempli de néoconservateurs comme Hadley, Wolfowitz, Richard Perle, et ces hommes que j'ai connus, pas uniquement à l'Université de Cornell mais aussi au sein de l'Administration Reagan , et nous les connaissions sous le terme "Poulets-Faucons [Chicken-Hawks]", qui n'avaient jamais vraiment servi notre pays mais qui proposait pourtant que nous ne partions en guerre.
                J'ai su immédiatement lorsque le 11 septembre s'est déroulé, il s'agissait d'un produit de cet Etablissement néoconservateurs, incluant Bush Jr., Dick Cheney, Condoleezza Rice (que je connaissais extrêmement bien : elle fut professeure à Stanford), et je suis qu'ils avaient en fait mis en place cette institution [le 11 Septembre...].
            Mais c'est qu'il ne savait pas, c'est que l'année précédant le11 Septembre, six mois auparavant, j'avais été amené au sein du Pentagone afin d'être potentiellement l'Assistant  du secrétaire aux opérations spéciales pour les conflits de basse intensité [Assistant Secretary of Special Operations [Assistant Secretary of Defense for Special Operations/Low Intensity Conflict & Interdependent Capabilities, or ASD(SO/LIC&IC, Conseiller du Secrétaire à la Défense], et ce que j'avais trouvé là-bas au Pentagone, et qu'il était rempli d'opérationnels de la CIA qui était totalement aberrant, pour quelqu'un servi dans la Navy [Steve Pieczenik parle de sa carrière], devenu capitaine à 32 ans, fut promu Contre-amiral mais refusa ce poste : je savais exactement ce qu'il se passait [au Pentagone], et six mois avant le 11 Septembre, la CIA avait conquis nombreux éléments du Pentagone et des postes au sein de l'organigramme militaire, et particulièrement le SOCOM, Special Operation Command [équivalent de notre Commandement des Opérations Spéciales, COS]), en tant que composante d'un bureau appelé SOLIC [Special operations Low-Intensity Conflicts].
            Donc, quand le 11 septembre 2001 s'est déroulé,  je me suis immédiatement lancé pour dire qu'il s'agissait d'une attaque sous faux drapeau (ASFD [False Flag]) et d'un Coup Monté [Stand Down,  impliquant un abaissement volontaire de la "garde" (au sens martial) /des dispositifs de défenses]. Pourquoi?
            Premièrement comme de nombreuses personnes le savent à présent, les avions ne pouvaient pas être rentrés dans un immeuble et attaquer ces immeubles [sans une intervention de notre aviation], et à présent nous savons en effet que les portes ont été ouvertes [métaphoriquement : les portes une forteresse afin de permettre à l'ennemi de rentrer], plus important : la Communauté du Renseignement [Intelligence Communauty] est venue à moi très vite, parce que je n'ai pas seulement supervisé des éléments du renseignement (CIA, Renseignement Militaire, et autres, mais j'ai aussi été entraîné au renseignement puis 30 ans. Du coup j'ai recueilli immédiatement les confessions d'au moins deux opérationnel de la CIA, sur le fait il s'agissait bien là d'une mise en scène, et une autre d'un directeur adjoint [du Cabinet de] de Wolfowitz.
            Puis je me suis exprimé à la radio et j'ai accusé Rumsfeld, littéralement durant les quelques heures qui ont suivi le 11 septembre, pour dire qu'il s'agissait d'un faux drapeau et d'une mise en scène. Rumsfeld, que je connaissais de la RAND Corporation et de l'Administration Nixon, n'était pas assez brillant pour savoir ne serait-ce que garder sa langue; en faite lorsque je fus "on the air" me suis exprimé, le jour d'après, le 12 septembre 2001, pour dire « ceux d'entre vous qui m'appelez le Dr. Pieczenik, me reprochant d'accuser les républicains avoir mis en place un faux drapeau et une mise en scène, alors vous devez accuser les démocrates de se livrer à un faux drapeau et à une mise en scène à Pearl Harbour, ce qui revenait à une auto–incrimination ; puisqu'en faite les gens qui savaient tout au sujet des faux drapeaux et des mises en scène : Paul Wolfowitz, Richard perle, [Lewis] "Scooter" Libby, Zalmay Khalilzad: ils avaient tous été formés à l'Université de Chicago, sous le Professeur Wohlstetter dans le domaine d'expertise était précisément les Coups Montés sous Faux Drapeau (CMFD) [Stand Down & False Flag]).
            Donc j'ai su immédiatement qui devait être incriminé. Puis j'ai immédiatement su qu'il dirait en Irak par ce que j'enseignais à l'Université Militaire Nationale [National War College]de Fort McNair : j'ai averti nos généraux et j'ai averti nos colonels : « si vous allez en Irak, vous subirez une défaite car ce ne sera pas une guerre conventionnelle, sera une guerre à l'occasion de laquelle ou désintégré en fait Irak, parce que c'est un pays artificiel : créé par Gertrude Bell et Winston Churchill en 1923, composé de Kurdes, de sunnites et de chiites », et en fait c'est bien ce qu'il s'est passé.

6'35''.
            Dès lors, toutes les prédictions que j'ai faites se sont réalisées, non pas parce que j'étais un clairvoyant, mais parce que je connaissais les enjeux. Alors lorsque vint ce jour, le 11 Septembre, j'ai prédit alors qu'ils allaient utiliser Oussama Ben Laden, dont j'avais auparavant eu connaissance des données médicales, je connaissais donc bien situation  médicale, ne fait qu'il avait le syndrome de Marfan, est une atteinte des artères et des reins, voilà pourquoi il m'a donné les éléments d'analyse, qui m'ont été confirmé lorsque j'ai pu rencontrer son médecin, le Dr. Afridi[1] et un autre, ces deux-là étaient des informateurs [assets : collaborateurs/"HC", Honorables Correspondants] de la CIA, contrôlés par Zalmay Khalilzad, qui devint notre ambassadeur en Irak et en Afghanistan : je savais qu'il [Ben Laden] était en train de mourir à Dubaï dans une clinique médicale, et Clinton avait envoyé [là-bas] un médecin de la CIA ...
            Voilà donc pourquoi j'ai su des années plus tard qu'alors même qu'il [Ben Laden] était mort, ils [l'Administration Bush/Obama] allaient prétendre (je l'ai prédit il y a 14 ans! [Entrevue auprès d'Alex Jones, Avril 2002]) tôt ou tard, qu'ils auraient réussi à tuer Oussama Ben Laden, alors qu'en fait il était déjà mort.
            Voilà donc ici un argument qui balaye tout, que j'ai à vous révéler une nouvelle fois, concernant la raison pour laquelle le 11 septembre constituait si grossièrement une attaque sous faux drapeau : pourquoi s'agissait-il d'une mise en scène?
            Premièrement, pour des raisons historiques j'ai étudié l'Allemagne, j'ai étudié Staline faisant ceci, j'ai étudié Hitler faisant cela, mais j'ai aussi étudié LBJ [Président américain Lyndon  B. Johnson, grand bénéficiaire de la mort de J. F. Kennedy] mettant en œuvre de telles Coup Montés sous Faux Drapeau [CMFD, référence ici à l'incident du golfe du Tonkin], également l'incident de notre navire le USS Liberty, que des avions israéliens sans marquages attaquèrent délibérément, tentant de couler notre navire durant 13 heures et tuant beaucoup de nos gens : toutes ces opérations étaient ou impliquaient des Coup Montés sous Faux Drapeau (CMFD [Stand Down & False Flag]). Je savais que Bush Jr., qui était un couard, il est en fait initié une guerre en Irak à fin de maintenir un certain niveau de prestige [standing] des États-Unis, qui est en fait un faux prestige...

            Et d'un point de vue individuel, ce qui m'a donné envie de faire ceci c'est premièrement : je ne suis pas né ici, il se trouve que je suis né à Cuba, mon père était dans l'Armée française, ma mère était partie de Russie, ils avaient fui les Allemands mais j'ai été élevé en France, et quand j'ai été élevé en France j'ai vu les Français faire la même chose avec les réfugiés algériens : il crée des fossés attaque venait ensuite pour arrêter des Algériens, non pas uniquement en Indochine mais en Algérie et j'ai vu les conséquences de ceux-ci à un niveau personnel, lorsque j'étais un adolescent dans la ville de Toulouse (sud-ouest de la France), où j'ai pu voir les Français détruisant des immeuble et accuse ensuite les Algériens. Puis j'ai vu les colonels [/généraux] s'engager dans la guerre contre De Gaulle... donc tout ceci n'était pas nouveau pour moi. Et alors quand j'ai su que les Français avaient créé cette notion de "Contre-Insurrection" [Counter-Insurgency], qu'ils ont propagé vers nos militaires [américains] au Vietnam, et je savais que nous avons continué un faux narratif.
            Donc c'était personnel, c'était intellectuel, et en même temps il s'agissait de mon devoir en tant qu'officier militaire et officiel senior du Département d'État,

            Dr. F.T :
            et cela date de bien avant les événements du 11 septembre en eux-mêmes, votre expérience et votre compréhension historique, et reconnaissance personnelle de ce que sont les CMFD.

            Dr. S.P. :
            – correct, et laissez-moi expliquer un peu plus savant ce dont nous parlons ici, j'aimerais que votre audience puisse comprendre la façon de penser : ce qui est important ne relève pas uniquement du domaine intellectuel, mais en fait du domaine émotionnel :
            Nous devons comprendre que nous, Américains, vivons dans une République. La république n'est pas par définition une démocratie. Nous devons savoir qu'aujourd'hui, avec en jeu des Délégués, aussi bien au sein du parti Démocrate du parti Républicain. La République ainsi que Wilson Churchill l'a dit très clairement : la République doit souvent se cacher derrière un garde du corps de mensonges[2]. Qu'est-ce que cela signifie? Qu'a-t-il durant la deuxième guerre mondiale, eut à permettre aux bombardements allemands de détruire une ville entière [Conventry[3]] la perte de 32 000 sujets britanniques[4], afin de garantir le secret autour [du décodage britannique] Enigma.
            Parallèlement, afin de maintenir l'intégrité de la République, les dirigeants, à bon droit ou alors pour de mauvaises raisons, jour prétendre qu'ils doivent s'engager dans des guerres afin d'étendre leur pouvoir. La République a ainsi sa propre inertie et pour le cas de l'Amérique, nous choisissons des dirigeants qui observent [observance] sont redevables à la République.
            À présent est-ce que la République est un concept amorphe? Non. L'arrière-plan / les arrières coulisses de la République sont ce dont je fais partie : il s'agit d'un complexe militaire et du renseignement, au sujet duquel Eisenhower nous avait averti. Je suis un produit de ce sérail, ce COmplexe, mais j'étais prudent et circonspect face à lui, et dans le même temps j'ai pu l'éprouver dans sa réalité concrète, de façon à savoir quels éléments était efficace et quelles éléments étaient dangereux.
            Par exemple : les éléments dangereux été ceux-là mêmes par lesquels LBJ a lancé l'attaque initiale contre la vedette armée vietnamienne, et notre Navy allait lui dire ensuite : « qu'est-ce que vous voulez dire par là, que notre marine aurait été attaqué par des noms vietnamiens, nous n'avons pas été attaqués par les noms vietnamiens, et ceci devint la résolution du golfe du Tonkin, et ainsi nous allâmes en guerre Vietnam parce que LBJ la permis. De même que LBJ a permis [acquiescé] l'attaque "fantôme" israélienne contre notre navire Liberty, de façon à ce que nous puissions continuer de faire la guerre aux côtés d'Israël contre l'Égypte, bien ça n'a pas marché...
            Puis on nous avons eu Nixon puis nous avons eu l'Administration Bush Jr., au sein de laquelle nous avons littéralement eu un CMFD [permis et mise en œuvre] par des hommes qui n'avaient jamais vraiment servi la République, n'avait jamais servi dans l'Armée [américaine], mais été ce qu'impatients [d'aller en guerre] comme David Wurmser, un individu totalement inefficace que j'ai viré d'une institution appelée L'Institut de la Paix des Etats-Unis [United States Peace Institut[5]], qui est devenu consultant pour Cheney, dont en passant personne ne s'est vraiment aperçu qu'il avait évité 11 fois (!) la Conscription ["draft"]. J'ai donc averti nos généraux que s'il partait en guerre pour des gens qui avaient évité en soi la conscription, je veux que vous y réfléchissiez, conscientiser clairement ce que vous êtes en train de faire au nom de couards et de traîtres.  J'ai pas d'un titre/argument/d'une attaque ad hominem, il s'agit littéralement de couards et de traîtres, laissez-moi vous l'expliquer :
            Clinton, qui a grandi sans père, c'est bâti une persona qui était complètement parfaite pour la CIA : pas de père, une mère qui était réellement une prostituée à Little Rock[6], a grandi et ses vues décernaient une bourse de scolarité en or de la Fondation [Cecil] Rhodes[7], puis à la à Oxford mais n'y apparut jamais ma            is y a rencontré Strobe Talbott [lui aussi boursier Rhodes], qui a coopté Hillary Clinton dans le magazine Time, parce qu'il était éditeur en chef. Mais Strobe faisait partie de l'Etablissement. Est-ce que Clinton a fait? [Elle s'est acoquinée avec l'Etablissement]. Il [Strobe] fut rapporté comme en tant que dissident anti-sovétiques [anti-URSS] en Russie, et rapportant [informateur] à la CIA [d'après sa fiche Wikipedia, il est tout à fait possible qu'il ait été un agent double]. Il ne s'agit pas là d'une théorie de la conspiration, mais laissez-moi aller  au point suivant :

                Bush Jr. fut un élément de la CIA est sorti de l'Université de Yale[8], il a été d'ailleurs à l'école avec mon frère et il n'était pas très brillant. [Lewis] "Scooter" Libby n'était pas non plus très brillant, Jeb [Bush] n'était pas plus brillant, mais tous, parce que cette patriarchie, et par ce que de par leur héritage [ascendance dynastique[9]], il leur fut permis d'aller à Yale : diffus recruté au sein de la CIA et une fois encore, de par un père très absent, parce que vous senior n'était pas là pour Bush junior, il a ainsi permis l'entrée des néoconservateurs. Il voulait faire une marque pour lui-même, creuser son sillon dans l'histoire : il ne s'agissait pas là d'un problème de désir de vengeance contre Bush senior, mais uniquement d'exister de besoin de reconnaissance, sur le prétexte que Saddam Hussein disposait d'Armes de Destruction Massive : un mensonge total, un total dévoiement (/méconduite au sens ancien [misdirection]) [de la République], et la communauté du renseignement qui était une composante de la république, s'est vengé par un retour de baume [backlash], quand certains de nos officiers du Renseignement national, et certains de nos officiers de la CIA ont dit : « vous agissez mal, et nous allons vous prouver que vous agissez mal, et en faite la République a réprimé sa contre-attaque [push back] à l'Après-guerre d'Irak, et [que la République] se soit dissolue, parce que Paul Wolfowitz, Douglas Feith, Steve Hadley, Jerry [Paul] Bremmer : ces hommes qui étaient complètement inefficaces (et je les ai très bien connus...), ont créé une guerre sans fin. En d'autres termes si la guerre, ils sont allés là-bas mais n'ont jamais pensé à ce qu'il se passerait le jour d'après.
                Et quand l'Irak a volé en éclats, c'est l'Iran qui est venu est un homme du nom de Qasem Soleimani, qui est à la tête des GRI, les Gardiens de la Révolution Islamique [Iranienne], est rentré dans l'affaire et nous a permis à quitter l'Irak, mais aussi à quitter l'Afghanistan. Donc le prétexte de Bush junior devant allait en Irak et en Afghanistan par ce que les talibans de même que Saddam Hussein avait attaqué notre pays, était faux. Il n'était pas uniquement faux, il était malicieux et calomnieux. Normalement, Bush Jr, Cheney,  Rumsfeld, Condi [Rice] et les autres néoconservateurs devraient être poursuivis sur le fondement de change criminel. J'ai requis [au sens judiciaire] ceci il y a 10 ou 12 ans de cela, en tant que résultat de ce que j'avais amené. Enretour j'ai été accusé de trahison par  Jeb Bush et ce dont j'ai été averti par Jeb Bush et ces gens, certains de ceux avec lesquels j'avais travaillé, que si je n'arrêtais pas d'attaquer l'Administration et de travailler avec les militaires afin de se débarrasser de Rumsfeld, je serais en prison sur le fondement de charge de trahison. J'ai répondu que je serais heureux d'en soit ainsi, mais je les ai avertis en retour que j'avais 12 millions de lecteurs des livres de Tom Clancy, donc j'ai continué jusqu'à l'administration suivante, celle de Obama, et quand Obama est "sorti",  il semblait tout juste sorti de nulle part : sa mère était une anthropologiste PhD, formé en Indonésie, en Russe et en indonésien, et en Islam, et sa mère avait travaillé pour le East-West Center, et son père aussi. Donc [ceci signifie qu']ils étaient des opérationnels de la CIA : ils ne sont pas sortis de nulle part, n'est pas une totale inspiration CIA, mais vous pouvez voir comment la CIA maintient ce qu'elle considère comme étant l'intégrité de la République, afin de s'assurer que nous n'ayons aucune perturbation d'une Administration à l'autre.
                Et quand Obama est arrivé aux affaires, avec réellement la dynamique d'un sociopathe comme [Hillary ou Bill] Clinton avait auparavant montré, comme Bush Jr, et donc à présents Obama : histoire de son arrière-plan passé n'était pas correcte [vraie], elle n'était pas totalement fausse non plus mais n'était pas totalement correcte. Donc qu'est-ce qu'il a institué? Il a institué des mensonges, des tromperies et du déni : c'est ce pourquoi ils sont entraînés : pour Sandy Hook, pour l'attaque à la bombe de Boston, le mensonge selon lequel Oussama Ben Laden avait été tué par le raid de l'amiral McRaven. Tout ceci est pathétique. Donc nous avons eu deux amiraux : Mullen et MacRaven, qui ont prétendu avoir tué Oussama Ben Laden, et les Pakistanais rigolaient, par ce que eux aussi prétendent avoir tué Oussama Ben Laden, à 1 km tout au plus du West Point Pakistanais. Et il s'agissait là d'un mensonge.
                Mais les mensonges doivent continuer, se perpétuer à fin de maintenir ce qu'"ils" considèrent comme étant l'intégrité de la République. Donc que s'est-il passé? Bien, ce qui s'est passé, c'est que des gens comme James Tracy, Moi-même [Dr. Steve Pieczenik], Alex Jones, un groupe de médias alternatifs ont prit position pour dire : « vous avez tort, vous n'avez n'est pas uniquement la république sur un mauvais chemin, Monsieur le président, mais vous êtes en train de mentir et vous êtes en train de commettre des crimes contre les États-Unis ». Et Bernie Sander, en faite, ne dit rien d'autre que cela est Trump aussi d'une certaine façon. Donc ce que vous entendez là, ce ne sont pas les mots du narratif [prédéfini par les planificateurs] : ce que vous entendez là, ce sont les émotions du peuple américain, disant finalement Dieu merci, : « nous avons un certain type d'expression émotionnelle, peut-être que le narratif n'est est incomplet et il s'agit là d'un choc en retour pour les Clinton et Obama, les Bush Jr et vers une République qui est en train de se perpétuer par des trahisons et des crimes. Et voilà une façon d'exprimer la façon et les raisons qui m'ont poussé à m'engager en ce sens.

            Dr. F.T :
                – absolument, et vous pointez le faite que nous avons été une république qui a été sabotée de nombreuses façons différentes, par ses dirigeants qui ont été élus mais qui ont ensuite cherché à perpétuer la République elle-même, mais basé sur des mensonges, des fictions qui ont été créées par les médias, de même que parlent les agences du gouvernement, et nous parlions avant d'enregistrer ceci, Dr. Pieczenik, d'à quel point ceci n'implique pas uniquement le gouvernement et les médias, mais implique également les plus hauts niveaux d'éducation et d'instruction, des institutions qui devraient être ici pour critiquer normalement et analyser, pour évaluer ce qu'il se passe dans les couloirs de la gouvernance, dans les médias, et dans les autres types d'accès et d'institutions sur lesquelles notre pays est basé.

            Dr. S.P. :
                –est absolument correct, ainsi que je vous le disais, et il s'agit là d'une des choses qui m'ont vraiment impressionné : ce que vous avez fait en tant que professeur. Mais laissez-moi tout d'abord expliquer à votre audience ce que je comprends, lorsqu'il y a une personne comme vous-mêmes, Dr. Tracy, de l'Iowa, pour une école d'écriture : c'est assez impressionnant pour moi, premièrement : j'ai connu de nombreux auteurs qui ont eu des temps difficiles, en suggérant que le programme d'éducation régulière en Iowa... quand vous recevez un PhD en Iowa, c'est extrêmement impressionnant pour quelqu'un comme moi qui fais les choses bien [20:16]
                donc ayant vu cela et ayant appris que vous aviez été jetés par la Floride, et l'université d'Atlanta, et je vis dans ce coin en Floride du Nord, j'ai dit que ceci était excessif/déraisonnable/inqualifiable/indéfendable, et que s'est-il passé? Vous avez déclenché dans mon esprit un dialogue lorsque j'ai commencé à réaliser non pas uniquement à l'université de l'Atlantique de Floride [Florida Atlantic University], coupable de couardise sur un mythe forgé de réelles mauvaises pratiques, et ayant échoué en face de la vérité, dans la communication et la discussion ouverte, et ayant formellement échoué à atteindre leurs buts. C'est ce qu'a fait mon université, laissez-moi l'expliquer comme je l'ai expliqué avant :
                L'Université de Cornell a produit davantage d'opérationnels  néoconservateurs, comme nous les appelons les "pigeons-faucons [chicken-Hawks]", qu'aucune autre université, et je l'ai écrit au président [de l'Université] de Cornell, qui malheureusement est mort mais cela n'a fait aucune différence. J'ai dit : vous me sollicitez pour des donations, mais nous ne vous ne me demandez pas devenir afin de m'exprimer au sujet des actes criminels que vous, Cornell, avez financé et renforcé, à travers des gens comme Paul Wolfowitz, qui a été diplômé summa cum laude [« avec la plus haute louange »], et venaient de l'une de vos sociétés secrètes[10]. Sandy Berger, qui fut aussi un néoconservateur, qui a donné [à l'étranger] secret concernant l'un de nos sous-marins et à travailler pour [Bill] Clinton, pour Francis Fukuyama qui était un néocon, pour Steve Hadley, néocon aussi appartenant à la même société secrète, les Quill & Dagger, pour tous les autres comme bibi Netanyahu, à présent nous allons de l'avant et exigeons d'avoir le respect et allégeance envers une institution, qui s'est basé elle-même sur des termes comme l'intégrité et la responsabilité, pour l'honnêteté dans l'éducation ; et ça a continué dans mon Collège Médical à l'Université de Cornell [Cornell University Medical College], une école dans laquelle il fut réellement difficile pour moi d'entrer : où seulement 88 étudiants ont été virés par Sandy Weil, un banquier [directeur de classe A de la Federal Reserve à New York. Il a dirigé Citigroup jusqu'en avril 2006. ]qui a été mis en examen pour des affaires autour de Citibank, et a fait l'objet d'investigations dans le cadre d'irrégularités importantes chez Pfizer, le nom même du Collège Universitaire Médical a été changé en Weil Medical College, et ils (l'Université] en sont fiers, d'avoir été achetés comme des prostituées pour 300 millions de dollars.[11]
                J'en suis venu à l'épisode Sandy Hook, et qui était donc impliqué?  L'université de Yale : le Président de Yale a été acheté et, de façon plus drastique et bien plus sérieuse pour moi [mon point de vue], en tant que en tant que psychiatre, j'étais examinateur à la division psychiatrique du Collège [universitaire] médical de Yale, et j'ai dit : c'est une impardonnable, totalement impardonnable parce qu'il n'y a eu aucun individu qui avec commis de tel genre de crimes, et à présent, [l'Université de] Yale s'est aussi prostituée, est rendu coupable de mauvaises pratiques de malfaisance, en prétendant que l'un des psychiatres qui avaient été formés dans mon institution au Harvard Mass. [Massachussets] Mental Health Center. Il y fut l'un de ceux qui l'ont examiné [le tueur] et ont donné son profil complet, ce que nous appelons l'anamnèse [histoire personnelle du patient] d'un individu, et il était faux pas ce qu'il [le tueur] n'existait pas. Et à mon tour j'ai appelé mes superviseurs à Harvard, et dit : « comment pouvez-vous cautionner ceci? » Et tous les couloirs d'analystes et de psychiatres ont dit « vous savaient que nous sommes pas pour », mais il ne pouvait pas l'expliquer.
                Dans ce que vous avez là, et c'est ce que votre audience doit comprendre : les institutions seniors d'éducation/instruction de notre pays, ont été entachées de couardise, de malfaisance, de fautes professionnelles [ malpractices], et elles ont été dénigrées en tant qu'institution d'éducation/instruction : elles ont été élevées au rang d'institutions, ce qui leur permet de capitaliser à partir de leur nom, de leurs moyens et de leurs viviers intellectuels pour le bien de la République, en termes de mensonges et de duperie et autres tromperies. Et je dis cela en pleine connaissance, sachant qu'il m'écoute. Mais ils sont peur des rétorsions, et il reflète qu'ils ont peur de répondre...

                Mais lorsque vous avez un individu comme vous-même, avec un Ph.D. en communication et en écriture, voilà des états de service très sérieux qu'aucun de nos présidentsu, et en passant aucun de notre opérationnel du renseignement non plus.
                Ainsi vous êtes beaucoup plus aux fêtes des enjeux de communication et de propagande, que nos propres institutions du renseignement elle-même, de même que les Présidents.

            Dr. F.T :
                  et vous avez mis en évidence, Dr. Pieczenik, que ces institutions, celle que vous mentionnez, Yale, Harvard, Cornell, vous savez, certaines des plus prestigieuses institutions d'éducation à haut niveau aux États-Unis, et elles ont été impliquées dans Sandy Hook, à des degrés plus ou moins larges par ce que les financements fédéraux dont elles sont dépendantes... que pouvez-vous brièvement ajouter.

            Dr. S.P. :
                –ce qu'il se passe avec ces institutions, c'est qu'elles sont vraiment en train de devenir les "bonnes à tout faire" du fait de ses financements fédéraux, et elles vont se prosterner devant n'importent quelles exigences émanant de la présidence ou tout autre ordre (de) exécutif [executive order] : ils ne se sont jamais opposés à cela, je l'ai rarement si ce n'est jamais vu en 30 ou 40 ans de carrière, une opposition au Président des États-Unis, à même le laboratoire Sloane [de sciences physiques] de Yale [William Sloane Coffin]: ils avaient dit « non, nous sommes contre la guerre du Vietnam », mais ce n'était rien d'autre plus qu'un autre opérationnel de la CIA, qui était juste en train de placer un contrepoids. Mais pour leur plus grande part, ces institutions ont failli...

            Dr. F.T :
                  reprenons sur l'implication des plus grandes institutions éducatives américaines dans les manipulations en cours, le Dr. Pieczenik les connaît mieux que quiconque, de même que les préoccupations concernant la dépendance de ces institutions comme Harvard ou Yale vis-à-vis des financements généreux du gouvernement fédéral et des agences affiliées. Nous parlons de dizaines ou peut-être des centaines de millions de dollars au fil des ans, et elles vont finalement laisser se produire certain types de choses aboutissant à tromper le peuple américain, comme Sandy Hook ou Boston.
                Examinons à présent ce point avec le Dr. Pieczenik qui évalue l'entièreté de la dimension relevant de la santé mentale, que nous n'avons pas fait commencé à aborder, mais vous avez évoqué cela brièvement, mentionnant Adam Lanza [le tueur officiel de Sandy Hook], ce type d'individus composites qui avaient certains types d'incapacité d'apprentissage, et qui pourtant n'a pas été équilibré/pris en charge ou orienté afin d'éviter un type quelconque de fortement violent, mais néanmoins qui a été le type de personnage qui a été construit par les émules de Robert King de l'Université de Yale, afin d'intimider le public américain pour leur faire finalement avaler cet agenda de "surveillance de santé obligatoire" [Mandatory mental health], pour la population dans son ensemble, en particulier ceux qui sont très vulnérables dans les lycées.

            Dr. S.P. :
                –bien, ce qui se passe est premièrement que : narratif facile était tellement grossier... pour le faire comprendre à votre audience : il y aura toujours ce que j'appelle une intention paradoxale [paradoxical intention  : une contradiction en apparence absurde] dans tous narratifs. En d'autres termes : l'histoire sonne vrai, mais elle est remplie de contradictions inhérentes.
                Par exemple à Sandy Hooke, vous aviez un syndrome d'Asperger, chez une personne qui apparemment n'était jamais apparue précédemment à l'école, et avait toutes ses déficiences, et en même temps était été extrêmement doué est quelque chose comme ça, mais qu'il tirait avec sa mère toutes les semaines : c'était absurde et en même temps c'était tellement absurde parce que l'entièreté du concept été rempli d'inconsistance, et d'un point de vue psychiatrique ça ne sonnait pas correctement, à vrai : le diagnostic était incorrect et chaque fois que j'ai pu m'exprimer à ce sujet, et en particulier dans l'émission d'Alex Jones, ils [] ont eu à revenir [contre-attaquer/démentir], l'Administration [Gouvernement], le FBI, Eric Holder, l'Université de Yale tenté de revenir avec des réponses qui devenaient de plus en plus absurde, tandis qu'il me donnait sa complète anamnèse. Pour comprendre le. Il n'était pas autorisé à me parler, mais en même temps ils avaient ce Docteur qui donnaient cette contradiction absurde, selon laquelle il était un expert en japonais dans ses études, mais il était socialement retardé, puis c'était sa mère qui n'avait jamais existé, qui venait du New Hampshire, puis sa nourrice qui venait malheureusement d'une école que nous connaissions au New Hampshire [...]? donc ils ont créé un narratif avec des points qui semblaient sonner vrai, mais n'avait aucune légitimité en faite parce que premièrement, le policier impliqué n'avait pas de SSPT [Syndrome de stress Post-Traumatique]. Le bâtiment [dans lequel a eu lieu la tuerie] avait déjà été fermé, vous savez que le Dr. Tracy a évoqué cela rapidement.
                L'enjeu de la santé mentale n'était cependant pas l'enjeu suprême de ce narratif qu'ils voulaient faire passer : ils voulaient réellement faire ce qu'Éric Holder a toujours voulu faire : un procureur raté et un individu raté et corrompu, qui a été impliqué avec Marc Rich et lui a donné ses indulgences sous Clinton, l'individu corrompu Holder voulait s'assurer que nous aurions un contrôle des armes à feu. Le sujet principal n'était pas la santé mentale, ils ne pourraient pas s'en soucier moins que ceux qui ne font à présent : nous avons des centaines de millions de gens au sujet desquels Obama ne dit rien concernant la santé mentale, qui n'ont absolument aucun soin psychiatrique, mais nous avons le Second Amendement qui pose un problème qu'Obama aurait voulu totalement régler, mais n'avait aucune idée sur les moyens d'y parvenir.
                Dans Sandy Hook a été un Faux Drapeau, qui a réellement rebondi et s'est retrouvé au centre d'une très sérieuse zone d'infection pour l'Administration, par ce que

31:23


https://www.youtube.com/watch?v=UWBdu3Fsumw



[2] « the Republic has to hide behind a bodygard of lies ». Citation originale :
« In wartime, truth is so precious that she should always be attended by a bodyguard of lies. ». Voir aussi : « WikiLeaks: the end of Churchill's bodyguard of lies » (TheGuardian, 26 juillet 2010)

[3] NDT : Opération Mondscheinsonate (« Sonate au clair de lune ») : raid allemand sur Coventry (nuit du 14 au 15 novembre 1940). Voir : « Did Churchill annihilate Coventry to protect an even bigger prize? » (Daily Mail, 31 mars 2008), « The Coventry Blitz 'conspiracy' » (BBC, 12 November 2010), a contrario « Churchill Let Coventry Burn To Protect His Secret Intelligence » (Centre Winston Churchill, Peter J. McIver, non daté) et « Coventry: What Really Happened » (Martin Gilbert Finest Hour 141, Winter 2008-09). Signalons aussi par analogie l'épisode de la partie de poker avec Truman, ou Churchill perdit volontairement 75$, tandis que les États-Unis ce retrouvait à reprendre tenir l'expertise britannique en matière de Renseignement et surtout en matière financière, garantissant ainsi une place privilégiée pour la City de Londres qui a joui qui agirait bientôt dans le dos et même contre les intérêts des États-Unis (cité par F. William Engdahl dans « Pétrole une guerre d'un siècle », Edition Jean Cyrille Godefroy, 2007, p.107).
[4] Rappelons que les Britanniques ne sont pas des citoyens (d'une république) mais des sujets (d'une royauté...
[5] ENgdahl Orwell

[6] « Hillary Clinton Embraces Her Mother’s Emotional Tale » (New York Times, 12 juin 2015 ). Il semble qu'il existe une autre affaire concernant un fils illégitime de Bill Clinton, né d'une relation interraciale (« My Quest to Find Bill Clinton’s Love Child », Daily Beast, 21 mai 2016; « Bill Clinton allegedly impregnated Arkansas prostitute Bobbie Ann Williams », MoFoPolitics, 5 livre : « The Clintons' War on Women», Roger Stone et Robert Morrow, Skyhorse Publishing, 2015; voir aussi « Bill & Hillary Clinton: A Life of Violating People», 1984 Arkansas Mother of the Year). « Hillary Clinton Had Bill’s Mixed Race Son Banished », The Alex Jones Show 12 janvier 2016).

New Evidence Donald Trump Didn’t Pay Taxes


[7] Sur les bourses de la Fondation Cecil Rhodes comme étant une signature très identifiable des milieux mondialistes destructeurs des nations, voir Pierre Hillard : « La marche irrésistible du nouvel ordre mondial » (Edit. F-X Guisbert, 2007).
[8] NDT : l'Université de Yale être connu pour abriter la société occulte étudiant idée "Skulls & Bones", qui est en fait avant tout, plus que tous les délires ésotériques connexes, un creuset de recrutement pour des membres bien dociles de la CIA : pas forcément brillant mais avant tout dociles (voir : «SKULL AND BONES: La vérité sur l'élite secrète qui dirige les États-Unis », Alexandra Robbins, réédition Maxmillo, 2016).
[9] Prescott Bush...
[10] Cornell est connu pour avoir un historique de sociétés secrètes étudiantines, de type "Skulls and Bones", ) Cornell ce sont les Quill and Dagger. Voir : «SKULL AND BONES: La vérité sur l'élite secrète qui dirige les États-Unis », précité, voir aussi « les sociétés secrètes dans les universités Nord-américaines ».

[11] Originally called Cornell University Medical College, the school was renamed the Weill Medical College of Cornell University after receiving a substantial endowment from then-Citigroup Chairman Sanford I. Weill in 1998.[12] I