Le
Dr Steve Pieczenik interrogé par le Dr. James F. Tracy, au sujet de l'histoire
du terrorisme sous faux drapeau, et de comment les événements sont orchestrés
comme le massacre de Sandy Hook, l'attaque à la bombe de Boston et le 11
septembre 2001, remettant en cause l'intégrité des institutions américaines les
plus fondamentales.
« Et nunc intelligite, et ERUDIMINI ! [Et
maintenant comprenez, et soyez avertis !]»
(Bossuet)
Dr.
James F. Tracy :
–Notre
invité ce matin est le Dr Steve Pieczenik, auteur reconnu par la critique de
thrillers psycho-politiques, co-créateur de la série de livres à grand succès
(d'après la liste du New York Times) avec Tom Clancy, "Net Centre" et
"Op Force", des livres très populaires dont les racines sont puisées
dans les 20 années d'expérience des relations internationales, sous cinq
Présidents américains. Le Dr Steve Pieczenik a reçu son BA [Licence] de l'Université de
Cornell, fut formée à la psychiatrie à Harvard et détient un MD de l'Université
Médicale de Cornell, puis un PhD en
Relations Internationales au MIT. Le premier
psychiatre à recevoir un doctorat en philosophie, avec l'accent mis sur les relations
internationales et il reste le seul psychiatre avoir servi comme
Sous-secrétaire d'État adjoint [Deputy
Assistant Secretary of State - DASS].
Son
dernier livre, Steve Pieczenik Talks,
Volume II [suite de la compilation
de ses notes de blog], et Theodora.
Des informations additionnelles peuvent être trouvées sur son site
Internet.
Bienvenue,
Dr Steve Pieczenik.
Dr Steve Pieczenik :
–merci
à vous de me recevoir dans cette émission propice, pour le Dimanche de Pâques
[enregistrée pour le 28 mars 2016]. Je suis très honoré reçu par votre émission
est impatient de répondre à vos questions, Dr. Tracy.
F.T :
–Je
voudrais commencer par vous demander ce qui vous a inspiré en tant qu'individu,
avec votre crédibilité et votre arrière-plan, etc... au diplôme : qu'es-ce qui
vous a poussé à vous exposer réellement médiatiquement afin de remettre en
question l'Etablissement [le Système établi], à être considéré comme ce que
d'aucuns appelleraient un "truther" [Une personne qui doute des comptes-rendus
généralement acceptés d'un événement, croyant en l'existence d'une conspiration
officielle afin de masquer l'explication présentée comme vrai], peut-être, même
dans un sens dérogatoire, un "
théoricien de la conspiration" [parlons
plutôt en français de d'un
lanceur d'alerte (
whistle blower) : une personne qui
informe le public concernant les activités illicites engagées par une
organisation ou une institution]
Dr Steve Pieczenik :
– Premièrement,
j'éprouve une grande fierté à être considéré ainsi. Mais quand j'ai travaillé
avec l'Administration Bush [Sr.] ou l'Administration Reagan, j'ai appris à
connaître assez bien les différents personnages impliqués dans l'Administration
Bush Jr.,
et j'ai en fait été impliqué
dans le processus électoral, mais je n'ai pas fait parti de l'Administration
[Bush Jr.]. Donc si vous avez une Administration qui comme celle de Bush Jr.,
était rempli de néoconservateurs comme
Hadley,
Wolfowitz,
Richard Perle, et ces
hommes que j'ai connus, pas uniquement à l'Université de Cornell mais aussi au
sein de l'Administration Reagan , et nous les connaissions sous le terme
"Poulets-Faucons [Chicken-Hawks]",
qui n'avaient jamais vraiment
servi notre pays mais qui proposait pourtant que nous ne partions en guerre.
J'ai su
immédiatement lorsque le 11 septembre s'est déroulé, il s'agissait d'un produit
de cet Etablissement néoconservateurs, incluant
Bush Jr.,
Dick Cheney, Condoleezza Rice
(que je connaissais extrêmement bien : elle fut professeure à Stanford), et je
suis qu'ils avaient en fait mis en place cette institution [le 11 Septembre...].
Mais c'est qu'il
ne savait pas, c'est que l'année précédant le11 Septembre, six mois auparavant,
j'avais été amené au sein du Pentagone afin d'être potentiellement
l'Assistant du secrétaire aux opérations
spéciales pour les conflits de basse intensité [Assistant Secretary of Special
Operations [Assistant
Secretary of Defense for Special Operations/Low Intensity Conflict &
Interdependent Capabilities, or ASD(SO/LIC&IC,
Conseiller du Secrétaire à la Défense], et ce que j'avais trouvé là-bas au Pentagone,
et qu'il était rempli d'opérationnels de la CIA qui était totalement aberrant,
pour quelqu'un servi dans la Navy [Steve
Pieczenik parle de sa carrière], devenu capitaine à 32 ans, fut promu
Contre-amiral mais refusa ce poste : je savais exactement ce qu'il se passait
[au Pentagone], et six mois avant le 11 Septembre, la CIA avait conquis
nombreux éléments du Pentagone et des postes au sein de l'organigramme
militaire, et particulièrement le SOCOM, Special Operation Command
[équivalent de notre Commandement
des Opérations Spéciales, COS]), en tant que composante d'un bureau appelé
SOLIC [Special operations Low-Intensity Conflicts].
Donc, quand le 11
septembre 2001 s'est déroulé, je me suis
immédiatement lancé pour dire qu'il
s'agissait d'une attaque sous faux drapeau (ASFD [False Flag]) et d'un Coup
Monté [Stand Down, impliquant
un abaissement volontaire de la "garde"
(au sens martial) /des dispositifs de défenses]. Pourquoi?
Premièrement comme
de nombreuses personnes le savent à présent, les avions ne pouvaient pas être
rentrés dans un immeuble et attaquer ces immeubles [sans une intervention de
notre aviation], et à présent nous savons en effet que les portes ont été
ouvertes [métaphoriquement : les portes une forteresse afin de permettre à
l'ennemi de rentrer], plus important : la Communauté du Renseignement [Intelligence Communauty] est venue à moi
très vite, parce que je n'ai pas seulement supervisé des éléments du
renseignement (CIA, Renseignement Militaire, et autres, mais j'ai aussi été
entraîné au renseignement puis 30 ans. Du coup j'ai recueilli immédiatement les
confessions d'au moins deux opérationnel de la CIA, sur le fait il s'agissait
bien là d'une mise en scène, et une autre d'un directeur adjoint [du Cabinet
de] de Wolfowitz.
Puis je me suis
exprimé à la radio et j'ai accusé Rumsfeld,
littéralement durant les quelques heures qui ont suivi le 11 septembre, pour
dire qu'il s'agissait d'un faux drapeau et d'une mise en scène. Rumsfeld, que
je connaissais de la RAND Corporation et
de l'Administration Nixon, n'était pas assez brillant pour savoir ne serait-ce
que garder sa langue; en faite lorsque je fus "on the air" me suis
exprimé, le jour d'après, le 12 septembre 2001, pour dire « ceux d'entre vous
qui m'appelez le Dr. Pieczenik, me reprochant d'accuser les républicains avoir
mis en place un faux drapeau et une mise en scène, alors vous devez accuser les
démocrates de se livrer à un faux drapeau et à une mise en scène à Pearl
Harbour, ce qui revenait à une auto–incrimination ; puisqu'en faite les gens
qui savaient tout au sujet des faux drapeaux et des mises en scène : Paul
Wolfowitz, Richard perle, [Lewis] "Scooter" Libby, Zalmay Khalilzad: ils
avaient tous été formés à l'Université de Chicago, sous le Professeur Wohlstetter
dans le domaine d'expertise était précisément les Coups Montés sous Faux
Drapeau (CMFD) [Stand Down & False Flag]).
Donc j'ai su
immédiatement qui devait être incriminé. Puis j'ai immédiatement su qu'il
dirait en Irak par ce que j'enseignais à l'Université Militaire Nationale [National War College]de
Fort McNair : j'ai averti nos généraux et j'ai averti nos colonels : « si vous allez en Irak, vous subirez une
défaite car ce ne sera pas une guerre conventionnelle, sera une guerre à
l'occasion de laquelle ou désintégré en fait Irak, parce que c'est un pays
artificiel : créé par Gertrude Bell et
Winston Churchill en 1923, composé de Kurdes, de sunnites et de chiites »,
et en fait c'est bien ce qu'il s'est passé.
6'35''.
Dès lors, toutes
les prédictions que j'ai faites se sont réalisées, non pas parce que j'étais un
clairvoyant, mais parce que je connaissais les enjeux. Alors lorsque vint ce
jour, le 11 Septembre, j'ai prédit alors qu'ils allaient utiliser Oussama Ben
Laden, dont j'avais auparavant eu connaissance des données médicales, je
connaissais donc bien situation
médicale, ne fait qu'il avait le syndrome de Marfan,
est une atteinte des artères et des reins, voilà pourquoi il m'a donné les
éléments d'analyse, qui m'ont été confirmé lorsque j'ai pu rencontrer son
médecin, le Dr.
Afridi et
un autre, ces deux-là étaient des informateurs [assets : collaborateurs/"HC", Honorables Correspondants]
de la CIA, contrôlés par Zalmay Khalilzad, qui devint notre ambassadeur en Irak
et en Afghanistan : je savais qu'il [Ben Laden] était en train de mourir à
Dubaï dans une clinique médicale, et Clinton avait envoyé [là-bas] un médecin
de la CIA ...
Voilà donc
pourquoi j'ai su des années plus tard qu'alors même qu'il [Ben Laden] était
mort, ils [l'Administration Bush/Obama] allaient prétendre (je l'ai prédit il y
a 14 ans! [Entrevue
auprès d'Alex Jones, Avril 2002]) tôt ou tard, qu'ils auraient réussi à tuer
Oussama Ben Laden, alors qu'en fait il était déjà mort.
Voilà donc ici un
argument qui balaye tout, que j'ai à vous révéler une nouvelle fois, concernant
la raison pour laquelle le 11 septembre constituait si grossièrement une
attaque sous faux drapeau : pourquoi s'agissait-il d'une mise en scène?
Premièrement, pour
des raisons historiques j'ai étudié l'Allemagne, j'ai étudié Staline faisant ceci,
j'ai étudié Hitler faisant cela, mais j'ai aussi étudié LBJ [Président
américain Lyndon B. Johnson, grand bénéficiaire de
la mort de J.
F. Kennedy] mettant en œuvre de telles Coup Montés sous
Faux Drapeau [CMFD, référence ici à l'incident
du golfe du Tonkin], également l'incident
de notre navire le USS Liberty, que des avions israéliens sans marquages
attaquèrent délibérément, tentant de couler notre navire durant 13 heures et
tuant beaucoup de nos gens : toutes ces opérations étaient ou impliquaient des Coup
Montés sous Faux Drapeau (CMFD [Stand Down & False Flag]). Je savais que
Bush Jr., qui était un couard, il est en fait initié une guerre en Irak à fin
de maintenir un certain niveau de prestige [standing] des États-Unis, qui est
en fait un faux prestige...
Et d'un point de
vue individuel, ce qui m'a donné envie de faire ceci c'est premièrement : je ne
suis pas né ici, il se trouve que je suis né à Cuba, mon père était dans
l'Armée française, ma mère était partie de Russie, ils avaient fui les
Allemands mais j'ai été élevé en France, et quand j'ai été élevé en France j'ai
vu les Français faire la même chose avec les réfugiés algériens : il crée des
fossés attaque venait ensuite pour arrêter des Algériens, non pas uniquement en
Indochine mais en Algérie et j'ai vu les conséquences de ceux-ci à un niveau
personnel, lorsque j'étais un adolescent dans la ville de Toulouse (sud-ouest
de la France), où j'ai pu voir les Français détruisant des immeuble et accuse
ensuite les Algériens. Puis j'ai vu les colonels [/généraux] s'engager dans la
guerre contre De Gaulle... donc tout ceci n'était pas nouveau pour moi. Et
alors quand j'ai su que les Français avaient créé cette notion de
"Contre-Insurrection" [Counter-Insurgency],
qu'ils ont propagé vers nos militaires [américains] au Vietnam, et je savais
que nous avons continué un faux narratif.
Donc c'était
personnel, c'était intellectuel, et en même temps il s'agissait de mon devoir
en tant qu'officier militaire et officiel senior du Département d'État,
Dr. F.T :
–et
cela date de bien avant les événements du 11 septembre en eux-mêmes, votre
expérience et votre compréhension historique, et reconnaissance personnelle de
ce que sont les CMFD.
Dr. S.P. :
–
correct, et laissez-moi expliquer un peu plus savant ce dont nous parlons ici,
j'aimerais que votre audience puisse comprendre la façon de penser : ce qui est
important ne relève pas uniquement du domaine intellectuel, mais en fait du
domaine émotionnel :
Nous
devons comprendre que nous, Américains, vivons dans une République. La
république n'est pas par définition une démocratie. Nous devons savoir
qu'aujourd'hui, avec en jeu des Délégués, aussi bien
au sein du parti Démocrate du parti Républicain. La République ainsi que Wilson
Churchill l'a dit très clairement : la République doit souvent se cacher
derrière un garde du corps de mensonges.
Qu'est-ce que cela signifie? Qu'a-t-il durant la deuxième guerre mondiale, eut
à permettre aux bombardements allemands de détruire une ville entière
[Conventry]
la perte de 32 000 sujets britanniques,
afin de garantir le secret autour [du décodage britannique] Enigma.
Parallèlement,
afin de maintenir l'intégrité de la République, les dirigeants, à bon droit ou
alors pour de mauvaises raisons, jour prétendre qu'ils doivent s'engager dans
des guerres afin d'étendre leur pouvoir. La République a ainsi sa propre
inertie et pour le cas de l'Amérique, nous choisissons des dirigeants qui observent [observance] sont
redevables à la République.
À
présent est-ce que la République est un concept amorphe? Non. L'arrière-plan /
les arrières coulisses de la République sont ce dont je fais partie : il s'agit
d'un complexe militaire et du renseignement, au sujet duquel Eisenhower nous avait averti.
Je suis un produit de ce sérail, ce COmplexe, mais j'étais prudent et
circonspect face à lui, et dans le même temps j'ai pu l'éprouver dans sa
réalité concrète, de façon à savoir quels éléments était efficace et quelles
éléments étaient dangereux.
Par
exemple : les éléments dangereux été ceux-là mêmes par lesquels LBJ a lancé
l'attaque initiale contre la vedette armée vietnamienne, et notre Navy allait
lui dire ensuite : « qu'est-ce que vous voulez dire par là, que notre marine
aurait été attaqué par des noms vietnamiens, nous n'avons pas été attaqués par
les noms vietnamiens, et ceci devint la résolution du golfe du Tonkin, et ainsi
nous allâmes en guerre Vietnam parce que LBJ la permis. De même que LBJ a
permis [acquiescé] l'attaque "fantôme" israélienne contre notre
navire Liberty, de façon à ce que nous puissions continuer de faire la guerre
aux côtés d'Israël contre l'Égypte, bien ça n'a pas marché...
Puis
on nous avons eu Nixon puis nous avons eu l'Administration Bush Jr., au sein de
laquelle nous avons littéralement eu un CMFD [permis et mise en œuvre] par des hommes
qui n'avaient jamais vraiment servi la République, n'avait jamais servi dans
l'Armée [américaine], mais été ce qu'impatients [d'aller en guerre] comme David
Wurmser, un individu totalement inefficace
que j'ai viré d'une institution appelée L'Institut de la Paix des Etats-Unis
[United States Peace Institut],
qui est devenu consultant pour Cheney, dont en passant personne ne s'est vraiment
aperçu qu'il avait évité 11 fois (!) la Conscription ["draft"]. J'ai
donc averti nos généraux que s'il partait en guerre pour des gens qui avaient
évité en soi la conscription, je veux que vous y réfléchissiez, conscientiser
clairement ce que vous êtes en train de faire au nom de couards et de
traîtres. J'ai pas d'un
titre/argument/d'une attaque ad hominem, il s'agit littéralement de couards et de traîtres,
laissez-moi vous l'expliquer :
Clinton,
qui a grandi sans père, c'est bâti une persona
qui était complètement parfaite pour la CIA : pas de père, une mère qui était
réellement une prostituée à Little Rock,
a grandi et ses vues décernaient une bourse de scolarité en or de la Fondation
[Cecil] Rhodes, puis
à la à Oxford mais n'y apparut jamais ma is
y a rencontré Strobe Talbott
[lui aussi boursier Rhodes], qui a coopté Hillary Clinton dans le magazine Time, parce qu'il était éditeur en chef. Mais Strobe faisait partie
de l'Etablissement. Est-ce que Clinton a fait? [Elle s'est acoquinée avec
l'Etablissement]. Il [Strobe] fut rapporté comme en tant que dissident
anti-sovétiques [anti-URSS] en Russie, et rapportant [informateur] à la CIA [d'après sa fiche Wikipedia, il est tout à fait
possible qu'il ait été un agent double]. Il ne s'agit pas là d'une théorie de la conspiration, mais
laissez-moi aller au point suivant :
Bush Jr. fut un
élément de la CIA est sorti de l'Université de Yale
,
il a été d'ailleurs à l'école avec mon frère et il n'était pas très brillant.
[Lewis] "Scooter" Libby
n'était pas non plus très brillant,
Jeb [Bush] n'était pas plus
brillant, mais tous, parce que cette
patriarchie, et par ce
que de par leur héritage [ascendance dynastique
],
il leur fut permis d'aller à Yale : diffus recruté au sein de la CIA et une
fois encore, de par un père très absent, parce que vous senior n'était pas là
pour Bush junior, il a ainsi permis l'entrée des néoconservateurs. Il voulait
faire une marque pour lui-même, creuser son sillon dans l'histoire : il ne
s'agissait pas là d'un problème de désir de vengeance contre Bush senior, mais
uniquement d'exister de besoin de reconnaissance, sur le prétexte que Saddam
Hussein disposait d'Armes de Destruction Massive : un mensonge total, un total
dévoiement (/
méconduite
au sens ancien [misdirection]) [de la République], et la communauté du
renseignement qui était une composante de la république, s'est vengé par un
retour de baume [backlash], quand certains de nos officiers du Renseignement
national, et certains de nos officiers de la CIA ont dit : « vous agissez mal,
et nous allons vous prouver que vous agissez mal, et en faite la République a
réprimé sa contre-attaque [push back] à l'Après-guerre d'Irak, et [que la
République] se soit dissolue, parce que Paul Wolfowitz,
Douglas Feith,
Steve Hadley, Jerry
[Paul] Bremmer : ces
hommes qui étaient complètement inefficaces (et je les ai très bien connus...),
ont créé une guerre sans fin. En d'autres termes si la guerre, ils sont allés
là-bas mais n'ont jamais pensé à ce qu'il se passerait le jour d'après.
Et quand l'Irak a
volé en éclats, c'est l'Iran qui est venu est un homme du nom de
Qasem Soleimani, qui est à la tête des GRI, les
Gardiens
de la Révolution Islamique [Iranienne], est rentré dans l'affaire et nous a
permis à quitter l'Irak, mais aussi à quitter l'Afghanistan. Donc le prétexte
de Bush junior devant allait en Irak et en Afghanistan par ce que les talibans
de même que Saddam Hussein avait attaqué notre pays, était faux. Il n'était pas
uniquement faux, il était malicieux et calomnieux. Normalement, Bush Jr,
Cheney,
Rumsfeld, Condi [Rice] et les
autres néoconservateurs devraient être poursuivis sur le fondement de change
criminel. J'ai requis [au sens judiciaire] ceci il y a 10 ou 12 ans de cela, en
tant que résultat de ce que j'avais amené. Enretour j'ai été accusé de trahison
par
Jeb Bush et ce dont j'ai été averti
par Jeb Bush et ces gens, certains de ceux avec lesquels j'avais travaillé, que
si je n'arrêtais pas d'attaquer l'Administration et de travailler avec les
militaires afin de se débarrasser de Rumsfeld, je serais en prison sur le
fondement de charge de trahison. J'ai répondu que je serais heureux d'en soit
ainsi, mais je les ai avertis en retour que j'avais 12 millions de lecteurs des
livres de Tom Clancy, donc j'ai continué jusqu'à l'administration suivante,
celle de Obama, et quand Obama est "sorti",
il semblait tout juste sorti de nulle part :
sa mère était une anthropologiste PhD, formé en Indonésie, en Russe et en
indonésien, et en Islam, et sa mère avait travaillé pour le
East-West Center,
et son père aussi. Donc [ceci signifie qu']ils étaient des opérationnels de la
CIA : ils ne sont pas sortis de nulle part, n'est pas une totale inspiration
CIA, mais vous pouvez voir comment la CIA maintient ce qu'elle considère comme
étant l'intégrité de la République, afin de s'assurer que nous n'ayons aucune
perturbation d'une Administration à l'autre.
Et quand Obama est
arrivé aux affaires, avec réellement la dynamique d'un sociopathe comme
[Hillary ou Bill] Clinton avait auparavant montré, comme Bush Jr, et donc à
présents Obama : histoire de son arrière-plan passé n'était pas correcte
[vraie], elle n'était pas totalement fausse non plus mais n'était pas
totalement correcte. Donc qu'est-ce qu'il a institué? Il a institué des
mensonges, des tromperies et du déni : c'est ce pourquoi ils sont entraînés :
pour
Sandy
Hook, pour l'attaque à la bombe de Boston, le mensonge selon lequel Oussama
Ben Laden avait été tué par le raid de
l'amiral McRaven.
Tout ceci est pathétique. Donc nous avons eu deux amiraux :
Mullen et MacRaven, qui
ont prétendu avoir tué Oussama Ben Laden, et les Pakistanais rigolaient, par ce
que eux aussi prétendent avoir tué Oussama Ben Laden, à 1 km tout au plus du
West Point Pakistanais. Et il s'agissait là d'un mensonge.
Mais les mensonges
doivent continuer, se perpétuer à fin de maintenir ce qu'"ils" considèrent
comme étant l'intégrité de la République. Donc que s'est-il passé? Bien, ce qui
s'est passé, c'est que des gens comme James Tracy, Moi-même [Dr. Steve
Pieczenik], Alex Jones, un groupe de médias alternatifs ont prit position pour
dire : « vous avez tort, vous n'avez n'est pas uniquement la république sur un
mauvais chemin, Monsieur le président, mais vous êtes en train de mentir et
vous êtes en train de commettre des crimes contre les États-Unis ». Et Bernie
Sander, en faite, ne dit rien d'autre que cela est Trump aussi d'une certaine
façon. Donc ce que vous entendez là, ce ne sont pas les mots du narratif
[prédéfini par les planificateurs] : ce que vous entendez là, ce sont les
émotions du peuple américain, disant finalement Dieu merci, : « nous avons un
certain type d'expression émotionnelle, peut-être que le narratif n'est est
incomplet et il s'agit là d'un choc en retour pour les Clinton et Obama, les Bush Jr et vers
une République qui est en train de se perpétuer par des trahisons et des
crimes. Et voilà une façon d'exprimer la façon et les raisons qui m'ont poussé
à m'engager en ce sens.
Dr. F.T :
– absolument, et
vous pointez le faite que nous avons été une république qui a été sabotée de
nombreuses façons différentes, par ses dirigeants qui ont été élus mais qui ont
ensuite cherché à perpétuer la République elle-même, mais basé sur des
mensonges, des fictions qui ont été créées par les médias, de même que parlent
les agences du gouvernement, et nous parlions avant d'enregistrer ceci, Dr.
Pieczenik, d'à quel point ceci n'implique pas uniquement le gouvernement et les
médias, mais implique également les plus hauts niveaux d'éducation et
d'instruction, des institutions qui devraient être ici pour critiquer
normalement et analyser, pour évaluer ce qu'il se passe dans les couloirs de la
gouvernance, dans les médias, et dans les autres types d'accès et d'institutions
sur lesquelles notre pays est basé.
Dr. S.P. :
–est
absolument correct, ainsi que je vous le disais, et il s'agit là d'une des
choses qui m'ont vraiment impressionné : ce que vous avez fait en tant que
professeur. Mais laissez-moi tout d'abord expliquer à votre audience ce que je
comprends, lorsqu'il y a une personne comme vous-mêmes, Dr. Tracy, de l'Iowa,
pour une école d'écriture : c'est assez impressionnant pour moi, premièrement :
j'ai connu de nombreux auteurs qui ont eu des temps difficiles, en suggérant
que le programme d'éducation régulière en Iowa... quand vous recevez un PhD en
Iowa, c'est extrêmement impressionnant pour quelqu'un comme moi qui fais les
choses bien [20:16]
donc ayant vu cela
et ayant appris que vous aviez été jetés par la Floride, et l'université
d'Atlanta, et je vis dans ce coin en Floride du Nord, j'ai dit que ceci était excessif/déraisonnable/inqualifiable/indéfendable,
et que s'est-il passé? Vous avez déclenché dans mon esprit un dialogue lorsque
j'ai commencé à réaliser non pas uniquement à l'université de l'Atlantique de
Floride [Florida Atlantic University], coupable de couardise sur un mythe forgé
de réelles mauvaises pratiques, et ayant échoué en face de la vérité, dans la
communication et la discussion ouverte, et ayant formellement échoué à
atteindre leurs buts. C'est ce qu'a fait mon université, laissez-moi
l'expliquer comme je l'ai expliqué avant :
L'Université
de Cornell a produit davantage d'opérationnels
néoconservateurs, comme nous les appelons les "pigeons-faucons
[chicken-Hawks]", qu'aucune autre université, et je l'ai écrit au
président [de l'Université] de Cornell, qui malheureusement est mort mais cela
n'a fait aucune différence. J'ai dit : vous me sollicitez pour des donations,
mais nous ne vous ne me demandez pas devenir afin de m'exprimer au sujet des
actes criminels que vous, Cornell, avez financé et renforcé, à travers des gens
comme Paul Wolfowitz, qui a été diplômé
summa cum laude [« avec la plus haute louange »], et venaient de l'une de vos
sociétés secrètes. Sandy
Berger, qui fut aussi un néoconservateur, qui a donné [à
l'étranger] secret concernant l'un de nos sous-marins et à travailler pour
[Bill] Clinton, pour Francis Fukuyama qui était un néocon, pour Steve Hadley, néocon aussi appartenant à la
même société secrète, les Quill & Dagger, pour tous les autres comme bibi
Netanyahu, à présent nous allons de l'avant et exigeons d'avoir le respect et
allégeance envers une institution, qui s'est basé elle-même sur des termes
comme l'intégrité et la responsabilité, pour l'honnêteté dans l'éducation ; et
ça a continué dans mon Collège
Médical à l'Université de Cornell [Cornell University Medical College], une
école dans laquelle il fut réellement difficile pour moi d'entrer : où
seulement 88 étudiants ont été virés par Sandy Weil,
un banquier [directeur de classe A de la Federal Reserve à New York. Il
a dirigé Citigroup jusqu'en avril 2006.
]qui a été mis en examen
pour des affaires autour de Citibank, et a fait l'objet d'investigations dans
le cadre d'irrégularités importantes chez Pfizer, le nom même du Collège
Universitaire Médical a été changé en Weil
Medical College, et ils (l'Université] en sont fiers,
d'avoir été achetés comme des prostituées pour 300 millions de dollars.
J'en
suis venu à l'épisode Sandy Hook, et qui était donc impliqué? L'université de Yale : le Président de Yale a
été acheté et, de façon plus drastique et bien plus sérieuse pour moi [mon
point de vue], en tant que en tant que psychiatre, j'étais examinateur à la
division psychiatrique du Collège [universitaire] médical de Yale, et j'ai dit
: c'est une impardonnable, totalement impardonnable parce qu'il n'y a eu aucun
individu qui avec commis de tel genre de crimes, et à présent, [l'Université
de] Yale s'est aussi prostituée, est rendu coupable de mauvaises pratiques de
malfaisance, en prétendant que l'un des psychiatres qui avaient été formés dans
mon institution au Harvard Mass. [Massachussets] Mental Health Center. Il y fut
l'un de ceux qui l'ont examiné [le tueur] et ont donné son profil complet, ce
que nous appelons l'anamnèse [histoire
personnelle du patient] d'un individu, et il était faux pas ce qu'il [le tueur]
n'existait pas. Et à mon tour j'ai appelé mes superviseurs à Harvard, et dit :
« comment pouvez-vous cautionner ceci? » Et tous les couloirs d'analystes et de
psychiatres ont dit « vous savaient que nous sommes pas pour », mais il ne
pouvait pas l'expliquer.
Dans
ce que vous avez là, et c'est ce que votre audience doit comprendre : les
institutions seniors d'éducation/instruction de notre pays, ont été entachées
de couardise, de malfaisance, de fautes professionnelles [ malpractices], et
elles ont été dénigrées en tant qu'institution d'éducation/instruction : elles
ont été élevées au rang d'institutions, ce qui leur permet de capitaliser à
partir de leur nom, de leurs moyens et de leurs viviers intellectuels pour le
bien de la République, en termes de mensonges et de duperie et autres
tromperies. Et je dis cela en pleine connaissance, sachant qu'il m'écoute. Mais
ils sont peur des rétorsions, et il reflète qu'ils ont peur de répondre...
Mais
lorsque vous avez un individu comme vous-même, avec un Ph.D. en communication
et en écriture, voilà des états de service très sérieux qu'aucun de nos
présidentsu, et en passant aucun de notre opérationnel du renseignement non
plus.
Ainsi
vous êtes beaucoup plus aux fêtes des enjeux de communication et de propagande,
que nos propres institutions du renseignement elle-même, de même que les
Présidents.
Dr. F.T :
– et vous avez mis en évidence, Dr. Pieczenik,
que ces institutions, celle que vous mentionnez, Yale, Harvard, Cornell, vous savez,
certaines des plus prestigieuses institutions d'éducation à haut niveau aux
États-Unis, et elles ont été impliquées dans Sandy Hook, à des degrés plus ou
moins larges par ce que les financements fédéraux dont elles sont
dépendantes... que pouvez-vous brièvement ajouter.
Dr. S.P. :
–ce
qu'il se passe avec ces institutions, c'est qu'elles sont vraiment en train de
devenir les "bonnes à tout faire" du fait de ses financements
fédéraux, et elles vont se prosterner devant n'importent quelles exigences
émanant de la présidence ou tout autre
ordre (de) exécutif
[executive order] : ils ne se sont jamais opposés à cela, je l'ai rarement si
ce n'est jamais vu en 30 ou 40 ans de carrière, une opposition au Président des
États-Unis, à même le
laboratoire Sloane [de sciences physiques]
de Yale [
William
Sloane Coffin]: ils avaient
dit « non, nous sommes contre la guerre du Vietnam », mais ce n'était rien
d'autre plus qu'un autre opérationnel de la CIA, qui était juste en train de
placer un contrepoids. Mais pour leur plus grande part, ces institutions ont
failli...
Dr. F.T :
–
reprenons sur l'implication des plus grandes
institutions éducatives américaines dans les manipulations en cours, le Dr.
Pieczenik les connaît mieux que quiconque, de même que les préoccupations
concernant la dépendance de ces institutions comme Harvard ou Yale vis-à-vis
des financements généreux du gouvernement fédéral et des agences affiliées.
Nous parlons de dizaines ou peut-être des centaines de millions de dollars au
fil des ans, et elles vont finalement laisser se produire certain types de
choses aboutissant à tromper le peuple américain, comme
Sandy
Hook ou Boston.
Examinons à
présent ce point avec le Dr. Pieczenik qui évalue l'entièreté de la dimension
relevant de la santé mentale, que nous n'avons pas fait commencé à aborder,
mais vous avez évoqué cela brièvement, mentionnant
Adam
Lanza [le tueur officiel de Sandy Hook], ce type d'individus composites qui
avaient certains types d'incapacité d'apprentissage, et qui pourtant n'a pas
été équilibré/pris en charge ou orienté afin d'éviter un type quelconque de
fortement violent, mais néanmoins qui a été le type de personnage qui a été
construit par les émules de
Robert
King de l'Université de Yale, afin d'intimider le public américain pour
leur faire finalement avaler cet agenda de "
surveillance de santé obligatoire"
[Mandatory mental health], pour
la population dans son ensemble, en particulier ceux qui sont très vulnérables
dans les lycées.
Dr. S.P. :
–bien,
ce qui se passe est premièrement que : narratif facile était tellement
grossier... pour le faire comprendre à votre audience : il y aura toujours ce
que j'appelle une intention paradoxale [paradoxical
intention : une contradiction en
apparence absurde] dans tous narratifs. En d'autres termes : l'histoire sonne vrai,
mais elle est remplie de contradictions inhérentes.
Par exemple à
Sandy Hooke, vous aviez un syndrome d'Asperger, chez une personne qui
apparemment n'était jamais apparue précédemment à l'école, et avait toutes ses
déficiences, et en même temps était été extrêmement doué est quelque chose
comme ça, mais qu'il tirait avec sa mère toutes les semaines : c'était absurde
et en même temps c'était tellement absurde parce que l'entièreté du concept été
rempli d'inconsistance, et d'un point de vue psychiatrique ça ne sonnait pas
correctement, à vrai : le diagnostic était incorrect et chaque fois que j'ai pu
m'exprimer à ce sujet, et en particulier dans l'émission d'Alex Jones, ils []
ont eu à revenir [contre-attaquer/démentir], l'Administration [Gouvernement],
le FBI,
Eric Holder,
l'Université de Yale tenté de revenir avec des réponses qui devenaient de plus
en plus absurde, tandis qu'il me donnait sa complète anamnèse. Pour comprendre
le. Il n'était pas autorisé à me parler, mais en même temps ils avaient ce
Docteur qui donnaient cette contradiction absurde, selon laquelle il était un
expert en japonais dans ses études, mais il était socialement retardé, puis
c'était sa mère qui n'avait jamais existé, qui venait du New Hampshire, puis sa
nourrice qui venait malheureusement d'une école que nous connaissions au New
Hampshire [...]? donc ils ont créé un narratif avec des points qui semblaient
sonner vrai, mais n'avait aucune légitimité en faite parce que premièrement, le
policier impliqué n'avait pas de SSPT
[Syndrome
de stress Post-Traumatique]. Le
bâtiment [dans lequel a eu lieu la tuerie] avait déjà été fermé, vous savez que
le Dr. Tracy a évoqué cela rapidement.
L'enjeu de la santé mentale n'était cependant pas
l'enjeu suprême de ce narratif qu'ils voulaient faire passer : ils voulaient
réellement faire ce qu'Éric Holder a toujours voulu faire : un procureur raté et
un individu raté et corrompu, qui a été impliqué avec Marc Rich et lui a donné ses indulgences sous Clinton,
l'individu corrompu Holder voulait s'assurer que nous aurions un contrôle
des armes à feu. Le sujet principal n'était pas la santé mentale, ils ne
pourraient pas s'en soucier moins que ceux qui ne font à présent : nous avons
des centaines de millions de gens au sujet desquels Obama ne dit rien
concernant la santé mentale, qui n'ont absolument aucun soin psychiatrique,
mais nous avons le Second
Amendement qui pose un problème
qu'Obama aurait voulu totalement régler, mais n'avait aucune idée sur les
moyens d'y parvenir.
Dans Sandy Hook a été un Faux Drapeau, qui a
réellement rebondi et s'est retrouvé au centre d'une très sérieuse zone
d'infection pour l'Administration, par ce que
31:23
https://www.youtube.com/watch?v=UWBdu3Fsumw
« the Republic has to hide behind a bodygard of lies ». Citation originale :
New Evidence Donald Trump Didn’t Pay Taxes