Tryptique+remember Yorktown / réddition / Cheesapeake

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29 juillet 2015

Jonathan Pollard est méprisable : le 2e plus grand traître de l'histoire américaine, "héros d'Israël" : la perversion suprême d'une relation d’Etat-Nation "à charge"





Jonathan Pollard est méprisable : le Benedict Arnold[1] de l'Amérique devient un héros d'Israël : la perversion suprême d'une relation d’Etat-Nation "à charge"[2]!

Pour ceux d'entre vous trop jeune pour se rappeler du nom de Jonathan Pollard, lire s'il vous plaît l'excellent article dans Wikipedia (anglais/français) sur cette ignoble individu qui fut l’un des plus grands traîtres de l'Amérique[3]. Pour résumer sa vie, elle consiste essentiellement en des termes péjoratifs, mais extrêmement précis comme cinglé, manipulateur, sociopathe, avide et avant tout un traître vicieux à son pays de naissance, l’Amérique.
Pollard a vendu des renseignements hautement sensibles et au plus haut [Top], en tant qu’ancien officier du Renseignement naval (U.S.Naval Intelligence) pour des centaines de milliers de dollars à son bien-aimé pays imaginaire : Israël. Il achève aujourd'hui une peine de 30 ans de prison et sera extradé vers Israël pour y devenir l'un de leurs citoyens-héros, titre nouvellement créé.


Ma description sommaire des caractéristiques les plus saillantes de Pollard en tant qu'être humain ignoble est contrée par un chœur mixte juif-américain et israélien : « il éprouve des regrets pour ses actions » et « Pollard n'a jamais été accusé de trahison »...
Voilà typiquement le contre-argument présenté sous une forme ad hominem depuis des décennies par cette congrégation des juifs américains ignorants qui n’ont aucune idée de combien les dommages ont été infligés par Pollard à la Communauté du Renseignement Américaine [CAR- American Intelligence Community - AIC].
Ces fakirs juifs ne se rendent pas compte que la « trahison » implique techniquement des cas où quelqu'un espionne pour le compte d’un « Etat ennemi ». Les Américains stupides n’ont jamais considéré Israël comme un « Etat ennemi » en dépit de leur forfaiture du 11 Septembre lorsque d’innombrables agents du Mossad ont été arrêtés à New York et dans le New Jersey pour des « activités aberrantes » [aberrant activities].

A présent, permettez-moi de me concentrer sur ce Pollard.
 Alors que moi et d'autres éléments de la CIA, du MI (Military intelligence) et de l'Administration Reagan étaient en train de mettre en place activement une stratégie de « changement de régime » en Union Soviétique (du communisme au capitalisme), Pollard était occupé à collecter l'argent des agents(opérationnels) de l'ennemi en Afrique du Sud, au Pakistan, en Argentine, à Taiwan et bien sûr, en Union soviétique, à hauteur d'un salaire mensuel de 2,5K$ (25.000) sans compter les hôtels, voyages, et la bague en saphir et diamant pour sa seconde épouse.      Pour ceux d'entre vous qui pourraient être impressionnés par les « légendes »[4], ersatz créés par la très imaginative Unité Lakam du Mossad [une unité scientifique du Renseignement triée sur le volet], le contrôleur de Pollard était un très célèbre espion israélien du nom de Rafi Eitan[5].
Quand on a demandé Pollard ce qu'il allait faire avec tout l'argent qu'Israël lui avait donné, il a déclaré ce qui suit :
«Je ne visais pas uniquement à rembourser tout l'argent [à Israël, bien sûr, pas l'Amérique] que j’ai reçu, mais aussi, à créer une chaire au Centre de Formation des Personnels Généraux du Renseignement Israélien [Israeli General Staff’s Intelligence Training Center], sis à l’extérieur de Tel-Aviv ».

Voilà*. Pollard devient le nouveau bienfaiteur d'Israël. Qu'est ce que cela signifie pour vous et moi?
Pollard est un rappel de ce que dans le monde des relations internationales, les Américains ont pas d'amis ou partenaires à qui nous devons et pouvons faire confiance. Ce que nous avons, ce sont les intérêts nationaux.
Comment Pollard a-t’il pu recevoir d'innombrables habilitations en matière de sécurité, à la lueur de problèmes de santé mentale pourtant évidents ainsi que de comportements sociopathologiques manifestes, demeure encore un mystère pour moi. Peut-être y en a-t’il d'autres au sein de la Communauté du Renseignement?
Toutefois, le mérite doit aller au crédit du DCI George Tenet et à la CIA pour la poursuite et la mise en accusation jusqu'à la condamnation de cet espion israélien jusqu'à ce qu'il soit finalement incarcéré, non sans quelques manipulations très compliquées de la part de Pollard.

Quant à Israël, il est le seul pays sympathique que je connaisse qui ait été capable :


                [1] : d'avoir attaqué impitoyablement notre bateau de renseignement, le Liberty, et délibérément tué beaucoup de nos braves marins.
                [2] : d'avoir été intimement impliqué dans les faux attentats du 11 Septembre et les multiples explosions dans les tours du World Trade Center qui ne furent pas causées par des avions volants.
                [3] : d'être le seul pays à autoriser la double nationalité de : Bibi (Netanyahou), Michael Oren, Dore Gold, et Ron Dermer, qui tous représentent Israël, n’épargnant pas leur venin contre leur pays de naissance [les Etats-Unis] qui les qualifie [devrait les qualifier/considérer] comme des « ennemis de l'État » plutôt que comme des fils de l’Amériques de naissance [et de coeur].

Aucun des transfuges susmentionnés n'a jamais servi dans notre appareil militaire ou de Renseignement américain. Pourtant, ils ont l'audace d’admonester notre pays pour les travestissements imaginaires de la diplomatie qu'ils ont concoctés concernant:
                [1] le Hamas, l’une de leurs propres progéniture / descendances[6]...
                [2] de l'OLP, leur allié [?][7],
                [3] l'Arabie Saoudite, leur allié de longue date,
                [4] la Syrie, un ancien allié sous la famille Assad,
                [5] l'EEIL qu'ils ont contribué à créer et à former,
                [6] L'Iran avec lequel ils ont fait commerce du pétrole depuis des décennies...
 
Comme un Frankenstein, l'Amérique a involontairement créé un bon fidei commis dibbouk[8] israélien, dont les malversations inhérentes structurées dans son ADN, sous forme d’une paranoïa autopropulsée et constamment réalimentée qu'ils ont créé pour justifier leurs actions inhumaines partout dans le monde.
En tant que rejeton des « Juifs de l'Holocauste » qui ont eu la chance de venir en Amérique et d'embrasser les opportunités et exigences de la citoyenneté [comme le fait de servir dans l'Armée], j'ai toujours mis en garde les agents israéliens qu'ils ne sont pas les amis de ceux d'entre nous qui ont survécu aux camps de la mort. Nous ne promettons aucune allégeance à l’histoire bidouillée de la façon dont ils nous ont "sauvé" [amené], en Palestine / Israël.
Israël et les Juifs ignorants d’Amérique ne savent rien de la véritable histoire de « l'Holocauste » et devraient payer cher pour toutes les transgressions contre notre République [américaine]. Chaque Américain / Israélien qui décide de détenir deux passeports devrait être l'objet de suspicion et de doute.

 Le miracle hi-tech d'Israël demeurera en place, aussi longtemps qu’il ne constituera pas un front en vue de siphonner les secrets du pays qui leur a permis d'exister : l’Amérique.
Il est un truisme bien malheureux que les Américains s'attendent naturellement à ce que la Chine, la Russie, la France et l'Allemagne espionnent nos dirigeants [américains], mais d'avoir dans le même temps Israël répandant les tripes de nos secrets sans jamais en être inquiété : cela ne correspond plus aux termes d'un "Accord entre gentilshommes" ("Gentleman’s Agreement").

Peut-être le pape Jean XIII nous donnait-il de sages conseils dans une telle matière :
« Voir tout ; fermer les yeux sur beaucoup ; corriger un peu ».






[1] NDT : Benedict Arnold né le 14 janvier 1741 à Norwich dans le Connecticut, et mort le 14 juin 1801 à Londres, est un général de l'Armée continentale durant la guerre d'indépendance des États-Unis. Il est surtout connu pour avoir trahi les États-Unis et voulu livrer le fort américain de West Point aux Anglais durant la guerre d’Indépendance. Il est peut-être le traître le plus connu de l'histoire des États-Unis.
[2] NDT : Référence à la situation d'Israël vis-à-vis des États-Unis.

[3] « L'ex-espion juif américain Jonathan Pollard libéré » (le Figaro, 19 novembre 2015)

[4] Une légende en matière de renseignement, correspond à la façon dont on façonne une « identité fictive » (de couverture) pour un agent dont les occupations réelles sont autres.
[5] NDT : comparer les fiches Wikipédia anglaises et françaises.
*(en français dans le texte).
[6] NDT : Référence indubitable ici par Pieczenik, aux faites que c'est Israël qui a financé le Hamas pour faire barrage aux nationalistes de Yasser Arafat, afin de et ensuite la position israélienne contraint Hamas viscéralement opposé à Israël.
[7] NDT : difficile de comprendre ici exactement l'intention de Pieczenik.
[8] Un dibbouk ou dybbouk (plusieurs graphies existent à partir de l'hébreu דיבוק signifiant « attachement ») est, dans la mythologie juive et kabbalistique de l'Europe de l'Est, un esprit ou un démon qui habite le corps d'un individu auquel il reste attaché. Un dibbouk peut être exorcisé.