Tryptique+remember Yorktown / réddition / Cheesapeake

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...SOUVENEZ-VOUS DE LA VIEILLE REPUBLIQUE... HISTORIQUEMENT : LE MEILLEUR DE LA VIEILLE EUROPE...PAS DE CIVILISATION SANS LIBERTE+INITIATIVE..."QUE ROME PRENNE GARDE A LA COLERE DES LEGIONS... --- ... REMEMBER THE OLD REPUBLIC --- HISTORICALLY : THE BEST OF THE OLD EUROPE --- NO CIVILISATION WITHOUT LIBERTY + INITIATIVE --- "LET ROME BEWARE THE LEGION'S WRATH"...

11 novembre 2016

Obama et Trump fument le calumet de la paix : certains secrets du passé resteront du passé...

Obama et Trump fument le calumet de la paix.


Obama et Trump fument le calumet de la paix dans la Maison-Blanche ! Une transition douce du pouvoir.
            Tandis que les jeunes étudiants sont payés pour manifester et créer des émeutes dans les principales villes américaines (Chicago, NYC, San Francisco [Oakland]), Obama a gracieusement invité le président élu, Donald Trump, à la Maison-Blanche.
            L’invitation et l’image des deux hommes parlant de façon positive l’un de l’autre, devrait demeurer dans l’esprit des Américains, jeune comme vieux, comme un rappel : cette République a connu près de 300 ans de transition pacifique d’un POTUS à un autre.
           

Pourquoi cela est-il important ?
Le monde a été davantage secoué que tous ces citoyens américains ayant voté pour HRC [Hillary Clinton]. Le Mexique, la Chine, le Japon, la Corée du Sud et les autres pays majeurs se demandent ce qu’ils vont devoir faire de ce candidat présidentiel au franc-parler, Trump. Est-ce que les pouvoirs étrangers ont peur qu’il devienne un nouveau Gengis Khan et qu’il détruise toutes les lois, règlements et accords commerciaux qui ont d’ores et déjà été signés ?
Je ne peux pas répondre à cette question en son nom.
À présent, je suis attentif aux indices concernant cette réconciliation entre Trump et Obama, et j’aurais tendance à suspecter que la tempérance et la considération judicieuse va plutôt être la marque primordiale de l’appréciation par Trump des conditions présentes.
La rhétorique vociférante du candidat est à présent devenue subordonnée aux contraintes en vigueur : légales, fiscales ou administratives.
La réalité du gouvernement de cette république, transforme immédiatement en un compromis dialectique faisant la part des choses entre les vœux pieux d’une part, et les considérations pratiques du jour présent d’autres part.
Ceci ne veut cependant pas dire que Trump va avoir à concéder des éléments majeurs de son agenda déclaré formellement durant la campagne.
Pourtant, ceci impose une vérification des déclarations irréalistes ou par trop grandiloquentes, qui pourraient avoir été des instruments ayant permis l’élection de Donald Trump. 

Souvenez-vous par-dessus tout que : Trump est très intelligent, il a une incroyable éthique de travail et il aime l’Amérique (toute l’Amérique, pas seulement certaines parties…).
Va-t-il déporter quelque 11 millions d’immigrants illégaux ?
Probablement pas !
Cela serait trop coûteux et pénible. Pourtant, il pourrait initier une procédure judiciaire relative à la déportation, afin de voir reconnaître le fait que « illégal » ne signifie pas « légal ». De plus, il va laisser les patrouilles de frontières faire leur travail ET NON PAS leur lier les mains comme elles ont pu l’être par le passé.
Est-ce que Trump a discuté de la régularité de la naissance d’Obama [« birther issue » : la question de la naissance d’Obama en tant que citoyen né américain] ?[1] J’en doute. Parce qu’à l’heure actuelle, Trump doit avoir depuis bien longtemps déjà appris ce que la plupart d’entre nous au sein de la Communauté du Renseignement savions déjà au sujet d’Obama : il naquit d’une femme américaine qui gagna un doctorat d’anthropologie aux États-Unis. Elle parlait aussi de nombreuses langues étrangères, qui l’aidèrent à devenir un “opérationnel de la CIA sous couverture [CIA covert operative]“ très efficace en Indonésie durant les années 1960 (à l’époque du changement de régime Suharto).
Chacun peut maintenant comprendre que les secrets du passé, sont passés, concernant le noviciat de ce Président élu [Obama].
J’implore ceux d’entre vous qui sont dégoûtés par le résultat de cette élection : n’ayez pas peur ! Mais continuez à être vigilant face à toutes transgressions majeures qui pourraient vous axent affecter défavorablement à l’avenir…

Souvenez-vous de Isaïe 21:11 : « Sentinelle, que dis-tu de la nuit? »


Additif CVR :
Rappelons-nous que le Renseignement a ceci de commun avec la politesse, en ce qu’il consiste à faire confiance en l’intelligence de celui qui reçoit l’information.
En l’occurrence, sur la nationalité d’Obama, Pieczenik ne dit ici que le minimum, de ce qu’il a déjà énoncé par le passé et que bien d’autres connaisseurs du sérail ont évoqué. Obama n’auraient jamais dû être élu Président des États-Unis, il ne l’a été que par une torsion de la réalité lui ayant permis de rentrer dans une apparence de régularité légale.

Sur la conclusion de Pieczenik, quant à l’inutilité des combats passés mais aux faites surtout que la vigilance se conjugue au présent en démocratie, rapprocher de la conclusion de l’excellent documentaire « Why we Fight » (2005) rappelée ici : « [Zerohedge] Les "élites" de la politique étrangère américaine attendent avec impatience l’expansion des guerres extérieures d'Hillary Clinton + "Why we fight?" » (CVR, 21 octobre 2016) : 

Chalimer Johnson (mort 2010) : 
« Aujourd’hui, je voudrais que les américains comprennent que le prix de la liberté est une vigilance éternelle, et que nous n’avons pas été assez vigilants depuis que Dwight Eisenhower a lancé sa mise en garde en 1961 « contre les dangers de la puissance tentaculaire et non autorisée » du CMI.
Nous ne devons prendre /considérer rien comme définitivement acquis : seuls des citoyens vigilants et bien informés, peuvent imposer le bon tissage/équilibre/adéquation entre la machine industrialo-militaire de la défense et nos objectifs de paix. Donc faisons en sorte que la sécurité et la liberté puisse toutes deux prospérer ensemble »

« Après 20 ans de carrière militaire, on est conditionnés à toujours respecter l’autorité et à jouer le jeu au sein de l’équipe. Quand la guerre a commencé en Iraq, j’ai amorcé un tournant : mes propres valeurs s’opposaient à celles de ma fonction d’officier. Je devais me retirer (prendre ma retraite), alors pourquoi nous battons nous ? Je crois qu’on se bat parce que trop de gens n’osent pas dire « je refuse de faire ça ».