Hillary est-elle
vraiment apte à devenir POTUS ?
Hillary
Clinton défie toutes les probabilités et devient la candidate Démocratique
nominée pour devenir POTUS [President Of
The United States] !
Sauf qu’il reste un dernier
obstacle : est-elle physiquement / mentalement APTE à être Présidente?
C’est la question qui
se profile au-dessus de sa tête, comme une épée de Damoclès : a-t-elle
un glioblastome
(tumeur cérébrale) qui hypothéquerait gravement ses capacités en tant que
POTUS?
Tout au long de la
course d’Hillary Clinton à la Présidence, j’ai évoqué son type de personnalité
comme relevant de la sociopathie invétérée, capable de tout faire et de tout
dire, tant que ça lui permet de devenir la première femme POTUS de l’histoire
américaine.
OR de toute
évidence, ni le FBI, ni le Département de la Justice, ni les Services secrets,
ni aucun autre organe de sécurité interne subventionné par l'argent du
contribuable, n’a fait un seul pas afin de nous avertir qu'elle n’est ni moralement, ni éthiquement, ni médicalement
apte à servir notre grand pays. Donc, nous ne pouvons pas compter sur
eux pour faire autre chose que de servir leurs propres intérêts bureaucratiques
égoïstes à nos dépens.
Mais pas plus tard
qu’hier, Hillary a choisi un Gouverneur/Sénateur de Virginie sans notoriété ni
mérite sérieux, autre que le fait d’être un apparatchik loyal pour la
machinerie Clinton.
Je
me suis alors posé la question habituelle concernant son choix :
Pourquoi
donc a-t-elle choisi un autre Sénateur (D[émocrate]-Tim
Kaine[1]), qui est blanc, catholique et supposé parler espagnol, issu
d’un État qui n’est rien d’autre qu’une extension de Washington D.C?
Tout
au long de la soirée, le sens du devoir de la machinerie Démocrate l’a conduit
à se répandre en explications parmi lesquelles revenaient les phrases suivantes
:
–
« Il a une expérience managériale
gouvernementale étendue en tant que législateurs d’État, avocat en droit civil,
Maire, Gouverneur et Sénateur ».
–« Elle se sent personnellement en confiance
avec lui… »
Dans
le langage de la psychiatrie, je dirais que la sélection du Sen. Tim Kaine a été fortement
surdéterminée [a été exagéré dans ses causes], ce qui signifie qu'il était trop
beau de croire que cet homme politique opérationnel inconnu pourrait vraiment
l’aider à devenir POTUS. Mais par contraste, il est apparu comme un
candidat potentiel qui pourrait très rapidement reprendre la position de POTUS,
si Hillary devait devenir handicapée ou frappée d'incapacité, pour un raison ou
pour une autre.
Ensuite, je suis
retourné examiner l’histoire médicale
aseptisée d’Hillary Clinton, telle qu’elle a été arrangée pour être servie à la
consommation [à l’opinion] publique :
– Son médecin
traitant (en soins primaires) est le Dr Lisa Bardack, une interne, Présidente du
Département de Médecine du Groupe Médical du Mont Kisco, [Dept.of Medicine at the Mount Kisco Medical Group], à Mont
Kisco, New York. Ce n’est pas un hôpital majeur en matière d’enseignement et de
recherche, comme peut l’être par exemple Columbia P&S ou l’Université
Médicale [Medical College] de Cornell[2],
les deux situées à NYC[3].
–Ses
antécédents médicaux incluent une thrombose
veineuse profonde en 1998, de nouveau en 2009, ainsi qu’une commotion
cérébrale [concussion] en 2012.
–En décembre 2012,
HC a souffert d'un virus à l'estomac après avoir voyagé à un endroit, où elle fut
déshydratée jusqu’à s’évanouir, et elle subit une commotion cérébrale.
– Les symptômes d’une Commotion, y compris une double vision qui mit « quelques mois » (ambigu) à se résoudre, et qui l’obligeait à porter des lunettes en prisme de Fresnel (habituellement portées par les patients atteints de tumeurs cérébrales).
– Suite à sa thérapie anti-coagulation de son trouble de la coagulation, qui fit devenir sa coagulation « négative» (assez impressionnant, presque trop impressionnant).
Il y a pour moi un facteur important qui manque, dans cet examen physique plus ou moins approfondi d’Hillary par le Dr Bardack, en vue de servir pour le rôle ardu de POTUS. En tant qu'ancien Examinateur du Conseil Américain de Neurologie / Psychiatrie [American Neurology /Psychiatry Board], j'aurait demandé à la bonne doctoresse : « est-ce qu’une tumeur au cerveau comme un “glioblastome“ (assez agressive), était exclue dans son cas, et si non, pourquoi? »
– Les symptômes d’une Commotion, y compris une double vision qui mit « quelques mois » (ambigu) à se résoudre, et qui l’obligeait à porter des lunettes en prisme de Fresnel (habituellement portées par les patients atteints de tumeurs cérébrales).
– Suite à sa thérapie anti-coagulation de son trouble de la coagulation, qui fit devenir sa coagulation « négative» (assez impressionnant, presque trop impressionnant).
Il y a pour moi un facteur important qui manque, dans cet examen physique plus ou moins approfondi d’Hillary par le Dr Bardack, en vue de servir pour le rôle ardu de POTUS. En tant qu'ancien Examinateur du Conseil Américain de Neurologie / Psychiatrie [American Neurology /Psychiatry Board], j'aurait demandé à la bonne doctoresse : « est-ce qu’une tumeur au cerveau comme un “glioblastome“ (assez agressive), était exclue dans son cas, et si non, pourquoi? »
Un
historique de thrombose répétée dans le cerveau pour une femme entre 50 et 70
ans, signifie habituellement une tumeur au cerveau occulte. Or il n’y avait même
pas d’indication dans le rapport du Dr. Bardack, selon laquelle Hillary avait déjà
été traitée pour un glioblastome,
par les médecins et chirurgiens de
l’hôpital de Columbia (là où elle avait déjà été hospitalisée pour des
semaines, si ce n’est des mois).
Hillary
pourrait bien ne pas être apte médicalement/physiquement/mentalement, pour le
difficile travail de POTUS, et elle le sait extrêmement bien. Pourtant elle
a subordonné toute sa malfaisance personnelle et tous les obstacles externes à
un seul but spécifique : devenir la première femme POTUS de l’histoire.
Je
ne lui souhaite aucune mauvaise fortune médicale, à elle ou à sa famille, pas
plus que je ne dénigre son médecin personnel. Pourtant, pour avoir donné des cours sur les
maladie médicale et psychiatrique chez les Présidents américains (à West Point,
ou à l’Ecole de Guerre [War College] de Ft. McNair), laissez-moi partager ma
préoccupation d’après l’expérience des
maladies chez les Présidents américains
suivants :
- Le President Woodrow Wilson dans sa dernière année et demie de vie, était dans un état comateux, c’était sa femme et le Colonel House[4] qui faisaient fonctionner le Gouvernement américain [USG], vers la fin de son mandat. [1913-1921, mort en 1924].
- FDR se servit des Services secrets pour confisquer toutes photo privée prise du Président handicapé ; il eut également une crise cardiaque majeure en public qui fut décrite comme une “grippe“ (ça semble familier [le cas d’Hillary Clinton ressemble a du déjà vu si on le compare à ce cas…]).
- JFK cacha le fait qu’il était atteint d’un mal médicalement sérieux appelé « maladie d'Addison », une absence des glandes surrénales, qui rendait nécessaire des injections secrètes quotidiennes de stéroïdes, d’amphétamines et de vitamines. Le résultat de sa condition médicale était un tempérament indécis et psychotique, qui pouvaient mener par inadvertance à des crises internationales comme celle des Missiles de Cuba, et d’autres opérations couvertes à l’extérieur ratées, au Vietnam ou en Amérique Latine[5]. Il fut ensuite assassiné par notre Communauté du Renseignement (CR - [IC, Intelligence Community].
- Ronald Reagan était atteint de la maladie d’Alzheimer bien plus tôt que cela ne soit admis dans son Administration (il subit lui aussi une tentative d’assassinat par notre propre CR).
- Cheney était devenu de plus en plus erratique et paranoïaque avant et après sa transplantation cardiaque (probablement supervisée par le chirurgien en transplantation de renommée mondiale, le Sen. [Sénateur] Bill Frist (R[épublicain],Tennessee).
Et cette liste continue…
Je signale ici les préoccupations
des citoyens américains de tous les
partis, concernant le fait qu’Hillary
Clinton devrait être évaluée par un Conseil indépendant de neurologues et de
neurochirurgiens, avant qu’elle ne prétende assumer la responsabilité de la Présidence.
Ceci
serait la moindre des choses à laquelle elle pourrait se conformer, au vu de sa
vie politique et privée remplie de tromperies, mensonges et de duperies
machiavéliques. Hillary doit au moins cela aux membres de son parti et aux
citoyens de cette grande nation.
Si elle devait arriver au pouvoir, que cela
soit au moins avec une claire conscience, et non pas avec une conscience impactée
par les symptômes débilitants d’une tumeur cérébrale (“glioblastome“), qui la forcerait à
commettre des actions erratiques, comme (au hasard…) le fait d’utiliser un
serveur d’e-mail personnel [ou faire transiter des courriels hautement
sensibles] ou bien de mentir constamment.
Le
grand intellectuel progressiste de gauche [liberal] Démocrate, I.F. Stone,
wrote the following :
« Chaque
gouvernement est mené par des menteurs, et rien de ce qu’ils disent ne
devraient être cru » [6]
[1] « Hillary Clinton choisit Tim Kaine comme colistier » (Les Echos, 22/07/16).
[2]
NDT : Renommé Weill Cornell Medical College après des dons massif d’un « généreux »
financier, ce dont s’est indigné Pieczenik.
[3] NDT :
Steve Pieczenik a pour sa part étudié à Cornell.
[4]
NDT : sur le Colonel House, voir notamment Pierre Hillard : « La
Marche irrésistible du nouvel ordre mondial », Éditions
François-Xavier de Guibert, 2007 ; également Pierre de
Villemarest : « Exploits et bavures de l’espionnage
américain : les espions du Président, l’O.S.S., la C.I.A. »,
éd. Famot, 1978, Tome 1.
[5]
NDT : sujet ici tout à fait parallèles à la montée de la CIA au sein de
l'appareil d'État américain, en tant qu'élément autonome susceptible de
déclencher ses propres opérations dans le dos du Président américain. Sur les
dessous de la Crise des Missiles de Cuba, voir notamment « Full Spectrum Dominance » de F.
William Engdahl : avait été caché à l'opinion publique américaine le fait
que des missiles nucléaires américains avaient été placés en Turquie, menaçant directement
la Russie soviétique.
[6]
NDT : rester critique ici sur I.F. Stone, qui par sa critique virulente du
maccarthysme,
des guerres de Corée ou du Viêt Nam (sans préjudice de ses aspects sombres
d’ordre financier rarement compris : voir « Pétrole une guerre d’un siècle », F. WIlliam Engdahl, Editions
Jean-Cyrille Godefroy, 2007, p.134) ou de la discrimination raciale, se redit complice
d'un agenda servant la destruction de l'État-nation américain à laquelle nous
assistons aujourd'hui… Sa citation est trop globalisante ici pour être crédible :
il parle d'un dévoiement réel, mais qui peut être utilisé pour détruire au
final le sens de l'État en tant que vertu.