PAS de Merci pour James Comey et Loretta Lynch!
Merci [ironique]
au Directeur du FBI James Comey, à l’AG [Attorney General = Ministre de la
Justice et Procureur Général] Loretta Lynch : l’ère dissipée de l’Empereur
romain Caligula est revenue à la guise des Clinton/Obama !
Ave [Hail]
Caesar !
Le linceul du
dégoût et de la honte tombe sur les derniers restes de décence de notre République,
la débauche d’une ère ancienne rappelant l’Empire Romain tombe en cascade sur
notre citoyenneté. Jamais l’Amérique ne
s’est trouvée à un tel carrefour d’impératifs moraux, qu’à ce moment qui aurait
dû déboucher sur l’inévitable mise en accusation d’Hillary Clinton.
Pas plus ses
transgressions à partir de son serveur privé, que ses abus éclatants de
financements illégaux transférés à travers la Fondation Clinton, ne
sont parvenus à la mener à un moment/acte de pénitence et de responsabilité.
Les contribuables américains ont eu le privilège de dépenser d’innombrables millions
de dollars, afin d’assister à un travestissement
de justice qui vient de se jouer devant nous, comme sur un corps dévoré par
les vautours.
À toutes fins
pratiques, [pour ceux qui n’avaient pas compris,] la République américaine est morte. Tant James Comey que Loretta
Lynch ont conduit cet enjeu majeur sur les derniers restes de Madame Justice
(qui clairement doit en effet être aveugle).
Comme pour le
règne de Caligula, notre Garde de centurions grassement payée est éloignée dans
quelques pays distant, certaines d’éviter toute récrimination morale. Nos
légions romaines nombreuses sont dispersées comme des cafards de par le monde,
dépossédées de toute capacité à répondre à cette parjure morale.
Obama s’est adoubé lui-même Empereur de la Pax
Americana. Il règne sans aucune
résistance. Il dispose d’un pouvoir illimité confirmé par la décision d’aujourd’hui,
selon laquelle la justice ne va jamais s’épuiser contre ce que l’Empereur a
décrété préalablement comme faisant partie de ses concubins politique favoris
(qu’il s’agisse d’hommes ou de femmes).
Référence
très sensible ici, aux rituels homosexuels jusqu’au sein de l’Armée américaine[1]…
Quoi que le FBI ait pu être ou voulu être, il est à
présent clairement défini comme un instrument
d’État pour la répression, la tromperie/déception et un travestissement de la
sécurité intérieure/domestique. Depuis le 11 septembre 2001, le FBI, fidèle à la splendeur
scintillante du grossier, paranoïaque et efféminé J. Edgar Hoover[2], a réaffirmé qu’il ne servirait pas les
honorables contribuables de ce pays. Au
lieu de cela, comme des eunuques dans le harem des misanthropes, ils servent à
plaire et faire plaisir aux vieux Empereurs agaçants comme Clinton, Bush Jr.
est à présent le mulâtre “à voile et à vapeur“[3],
Obama.
Au mieux, le
FBI est une entité pathétique de comptables ineptes et couards, dont la
conception de la justice et de la responsabilité est, pour le dire de façon
pudique, périssable. Au pire, le FBI a depuis le 11 septembre 2001, commis
davantage de trahisons et de meurtres qu’aucune autre organisation ou groupe de
personnes, sous les trois derniers POTUS. Leurs shibboleth [mots d’ordre[4]] dans
l’action traduisent leur engoncement dans les faux drapeaux multiples qu’ils
ont initiés et/ou rendu possible [abetted]…
Le dé est
jeté.
Nous ne sommes plus sous la République américaine.
Nous sommes devenus un Empire, l’Empire d’absolument rien. Nous n’avons ni
ambition ni plan pour devenir quoi que ce soit d’autre qu’une entité boursouflée par l’effet du copinage politique et de la
corruption financière.
Longue vie à l’Empereur Caligula Obama !
Longue vie à ces eunuques loyaux qui peuvent servir des citations à comparaître
à volonté pour rien d’autre de plus ennuyeux que du harcèlement à l’encontre
des contribuables ordinaires.
Ceux d’entre nous qui ont combattu pour
notre pays, viennent de perdre la foi leur honneur et leur dignité. Nous avons perdu la bataille de notre
propre exceptionnalisme, et nous sommes à présent en train de descendre au rang
d’un État fasciste impérial, avec aucun autre recours que du pain et des jeux.
Si nous devons mourir, alors laissez-nous déclarer très clairement notre raison
d’être. La République est descendue dans les abysses desquelles il n’existe
aucune évasion légitime.
Racine, le
dramaturge français, a écrit la citation suivante :
« Ainsi que la vertu, le crime a ses degrés…” (Phèdre, 1677)
Note CVR : Rapprocher : « que Rome
prenne garde la colère des Légions » :
« On nous avait dit, lorsque nous avons quitté
le sol natal, que nous partions défendre les droits sacrés que nous confèrent
tant de citoyens installés là-bas, tant d'années de présence, tant de bienfaits
apportés à des populations qui ont besoin de notre aide et de notre
civilisation.
Nous avons pu vérifier que tout cela était
vrai, et, parce que c'était vrai, nous n'avons pas hésité à verser l'impôt du
sang, à sacrifier notre jeunesse, nos espoirs. Nous ne regrettons rien, mais
alors qu'ici cet état d'esprit nous anime, on me dit que dans Rome se succèdent
cabales et complots, que fleurit la trahison et que beaucoup, hésitants,
troublés, prêtent des oreilles complaisantes aux pires tentations de l'abandon
et vilipendent notre action.
Je ne puis croire que tout cela soit vrai
et pourtant des guerres récentes ont montré à quel point pouvait être
pernicieux un tel état d'âme et où il pouvait mener.
Je t'en prie, rassure-moi au plus vite et
dis-moi que nos concitoyens nous comprennent, nous soutiennent, nous protègent
comme nous protégeons nous-mêmes la grandeur de l'Empire.
S'il devait en être autrement, si nous
devions laisser en vain nos os blanchis sur les pistes du désert, alors, que
l'on prenne garde à la colère des Légions !»
Marcus Flavinius,
Centurion à la 2e Cohorte de la Légion Augusta à son cousin Tertullus à Rome.
Exergue de Jean LARTÉGUY, Les Centurions, Presses de la Cité, 1960.
Centurion à la 2e Cohorte de la Légion Augusta à son cousin Tertullus à Rome.
Exergue de Jean LARTÉGUY, Les Centurions, Presses de la Cité, 1960.
Cette lettre était
en fait un faux fabriqué par Roger
Frey, dans le but de réveiller la colère des “légions“
d'Algérie pour qu'elles chassent de Paris, la “nouvelle Rome“, un gouvernement
faible, incapable de régler le problème de l'Algérie, et nomment un nouvel
Empereur, Charles
de Gaulle.
Il faut comprendre
ici la manipulation qui aboutit au retour de De Gaulle mais surtout la charge
de l’Empire pétrolier français, par la volonté des mêmes milieux
internationalistes qui en veulent aujourd’hui aux États-Unis d’Amérique…
[1] Voir ici, la
vidéo d'où provient l'image reprise par
Pieczenik, sur l'existence d'une sorte de société secrète du triangle
rose (référence à l'identification des homosexuels dans les camps de
concentration nazie) :« Nazi
Lebensborn Wife Exposes Homosexual Pedophile Cherry Marines Pink Triangle Boys
Gay Secret Society!!! » (BeforeItsNews, 8/9/2015).
« “Dining in [dîner dans]” “shell back [obus
arrière/par derrière]”, “Tail hook [crochet de queue]” et “cherry marines
[marin(e)s cerise]”, ne sont pas uniquement des termes militaires mais des noms
de codes pour des activités sexuelles de groupe, qui font partie une induction [incorporation
militaire] homosexuelle. Les jeunes hommes sont semble-t-il mis à nu, violentée,
humiliée et violés. Bien que les orgies alléguées en question soit
majoritairement homosexuelles, il y a aussi des orgies bisexuelles. Les
généraux Al Gray, Jim
Joy (Voir aussi « Marines
in Beirut to Be Led By a Brigadier General Now » (NYT, 17-11-1983) et al
Sheehan furent initiées en tant que “cherry marines”, puisse servir donner
la tâche d'endoctriner les nouvelles recrues dans une large gamme de fins
utiles »
(« Satan’s
Little Helpers VIII: Weimar, Magick and “Cherry Marines” », par M.K.
Styllinski, Infrakshun, 22/4/2014. Le
parallèle avec les aspects ésotériques noirs du nazisme méritent d’être
rapprochés de la « Magie sexuelle » hautement déviante d’Anton Lavey).
[2] Sur
Hoover, voir tout de même : « Vendredi
21 septembre 2012 : un jour de honte. » (CVR, 21 septembre 2012).
[3] De switch
(« changer,
alterner »)
et hitter
(« frappeur ») :
comprendre, bisexuel pour ne pas dire homosexuel, « à voile et à vapeur ».
[4] Schibboleth
(parfois francisé : chibolet) : phrase ou mot qui ne
peut être utilisé/prononcé correctement que par les membres d'un groupe, signe
de reconnaissance verbale révélant son appartenance à un groupe donné.