STEVE PIEZCENIK sur INFOWARS, 15 février 2017, version éditée (sans les
coupures d’Alex Jones) : « actualisation de la [Seconde] Révolution
américaine »
STEVE PIEZCENIK INFOWARS Feb 15 EDITED: CONTINUUM: AMERICAN REVOLUTION
UPDATE
–
Le
GENERAL FLYNN & le LOGAN ACT
–
Le
malsain JOHN BRENNAN & le renseignement de la CIA : COUPS [d’Etat] & CONTRE-COUPS
[d’Etat] :
–
Une
GUERRE CIVILE n’est pas nécessaire, le problème se trouve juste chez les
DEMOCRATES INFANTILES.
–
LEGALITE
des attaques de DOCTEURS CHARLATANS & autres LACHE [PUSSIES] D’HOLLYWOOD
contre le PRESIDENT TRUMP.
–
La
gestion des affaires par Trump : les choses vont assez bien, les gars.
–
Nous
avons juste besoin de CONTINUER la REVOLUTION d’une FACON POSITIVE
Produit par INFOWARS, Dr. STEVE
PIECZENIK, Dr. COLETTE DOWELL de CIRCULAR TIMES.
Alex
Jones : [rappel
de biographie de Pieczenik + présentation de la situation] : quel est donc
votre message au sujet des derniers événements ?
Steve
Pieczenik : je
pense que vous avez [correctement] articulé les aspects émotionnels de ce qui
est en train de se passer. Mais ça semble réellement devenir hors de contrôle,
parce que nous avons un grand nombre de “comédiens“ et de médias qui s’en
mêlent.
Ce
qu’il se passe en ce moment même, c’est que les médias n’ont pas pu comprendre
davantage que Flynn n’était pas voué à rester à sa place au sein des agences de
sécurité nationale (National Security Agency – NSA, en fait du NSC). […] Je
l’ai dit depuis le début, mais nous avons mis Flynn [à cette place], mais il
n’était pas supposé rester à cette place-là tout le temps. Mike Flynn est un
excellent général du renseignement militaire [DIA – Defense Intelligence
Agency], beaucoup ne l’aiment pas, nous le savions ; beaucoup ne sont pas
d’accord avec lui, nous le savions aussi. Mais dans le même temps, c’est Flynn,
et Bannon et quelques autres, qui ont été en mesure d’emmener Trump au-dessus des bosses [hump], jusqu’à la Présidence.
À
présent, j’ai écrit un billet de blog que vous avez pu lire, dans lequel j’ai
simplement dit : « bienvenue dans
l’Amérique entrepreneuriale ». En d’autres mots : nous plaçons des
gens en position, puis nous les démettons simplement. Le chef d’état-major ou
le PDG, ce que Trump est précisément, elle a pour virer, virer, virer les gens.
La raison pour laquelle l’Amérique n’est pas habituée à cela, c’est que
l’Amérique est devenue paresseuse, repue, et n’est plus dans l’ambiance du
capitalisme aujourd’hui. Quand nous mettons en place des affaires, et c’est le
premier homme d’affaires depuis 100 ans que nous avons mis à cette place, à la
présidence, la première chose qu’un homme d’affaire fait, et il le fait
correctement [à bon droit], c’est qu’il vire les gens qui l’ont aidé, il vire
les gens qui ne l’ont pas aidé, et il n’y a rien de personnel à cela. Nous
n’avons aucun enjeu personnel dans cette démarche, aucun enjeu autre que le
faite que nous voulons un changement majeur au sein des États-Unis, et voilà ce
à quoi un changement majeur ressemble : vous aidez quelqu’un, puis vous
partez.
Le
chef d’état-major, peut naître pas longtemps le chef d’état-major ; la
personne à laquelle est donné la responsabilité des relations avec la presse,
peut ne plus être le porte-parole en chef demain, et Flynn s’est très bien que
vu sa personnalité, à quel point il a été loyal vis-à-vis des États-Unis et de
Trump,, c’était assez pour l’amener à la position dans laquelle il avait besoin
d’être, et il savait qu’il aurait ensuite à partir.
À
présent maintenant, ce qu’il s’est en fait passé : Flynn n’a commis aucun crime
[contre les États-Unis], pas plus qu’aucun autre au sein de l’Administration
Trump. Laissez-moi revenir au passé, lorsque j’étais au sein de
l’administration Reagan puis Bush Sr. : Reagan et Bush ont envoyé des
individus en Iran, à l’époque où j’étais impliqué au sein de l’Administration
Carter, durant la crise des otages [américains en Iran][1].
Donc
s’ils [les anti-Trump aux USA] voulaient imposer le Logan acte contre Flynn ou
n’importe qui d’autre, ils avaient tout intérêt à balayer devant leur porte, à
revenir [aux affaires concernant] Newt Gingrich [du temps de
Reagan], à examiner Reagan et son équipe, et Bush Sr. et son équipe… je ne
pense pas qu’ils le feront. Il n’y a
aucune violation du Logan Act concernant Flynn, pas plus que de transactions
financières.
[…]
Oui
c’est ce qu’elle a dit, ce dont nous avons parlé : quand des hommes sont
inefficaces, et qu’ils ont été chassés ce qui est arrivé à Hillary Clinton, à
Bill Clinton, à l’entière gauche américaine, et au parti démocrate : ils
n’ont pas été en mesure de comprendre à quelle vitesse nous manœuvriers ont, et
combien vite nous pouvions les éviscérer comme nous l’avons fait.
Tout
ce que nous récoltons en retour, ce ne sont qu’un ramassis de merdes qui se
plaignent, mais ça n’aura aucun effet de toute façon. Cependant si il
continuent à se prononcer comme ils le font : dire que « Trump est fou », non il ne l’est
pas. Et là je donne un avis de psychiatre [Puiezczenik est psychiatre,
hautement expérimenté], alors je recommande fortement que l’administration
Trump instruise un cas contre le psychiatre, l’Association Psychiatrique
Américaine [American Psychiatric Association], et contre tout médecin qui aura
agi positivement[2]
pour déclarer à la télévision, incluant les acteurs et comédiens : Bill
Maher, Bill Maher[3], Stephen Colbert[4], Jon Stewart[5] : quiconque se
livre à ce genre d’annonce, qui va au-delà de la liberté de parole, mais qui
relève de la calomnie [slander]
contre une personnalité. […]
Il
s’agit également de faute professionnelle [malpractice] : quand je vois un groupe d’obscurs
psychologues[6]
(je ne connais aucun d’eux…), déclarés cardiaques catégoriquement que Trump souffre
d’une maladie mentale, c’est un fondement [juridique] susceptible de justifier
une radiation[7],
et discréditer leur crédibilité/accréditation académique.
Il
n’y a aucune raison, quelle qu’elle soit, pour quiconque, de produire ce type
de diagnostic, à moins qu’il n’est examiné Trump, il se soit occupé de lui et
qu’il lui est parlé, et je veux ou garantirai qu’il ne s’agirait pas de la
conclusion à laquelle elles arriveraient.
Pourtant
ce type d’hystérie, qui est réellement créé par la gauche, et par la
frustration et l’incapacité : de la part de ces comédiens, de ces
politiciens, bien sûr nous n’en attendions pas moins. Mais des limites doivent
être posées…
À
présent laissez-moi revenir à la question de savoir, pourquoi il est important
que Flynn ait été démis. Flynn a compris qu’il n’aurait qu’un temps limité au
sein de la NSA [comme Conseiller à la Sécurité Nationale]. Ceci n’avait rien à
voir avec Bannon, ni avec Jared Kushneri ; ça avait davantage avoir avec un sujet
plus important qui est la légitimité de cette Administration [Trump]. Et c’est
la raison pour laquelle le triangle doit être constitué de James Mattis (Sec.Def.), Mike Pompeo (DCI), et les autres
généraux qui sont impliqués dans le soin et le maintien de notre stabilité.
À
présent, ce que je dis, c’est qu’il ne s’agit pas d’un coup d’État
militaire : il s’agit en fait d’une équipe disciplinée et hautement
professionnelle, dont il s’avère qu’ils sont des officiers militaires, qu’ils
ont régi des institutions majeures, comptant des milliers des nôtres, et qui
régissent à présent des institutions civiles et le gouvernement comme il
devrait être régi, par une organisation professionnelle, il s’agisse des
affaires ou une organisation militaire, et ils sont en train de nettoyer tout
ce qui n’est pas opérationnel. […]
La
clé ici, la plupart des [gars]Goldman Sachs sont à présent dans
l’administration Trump, soyons francs : M. [Gary] Cohn, qui a été PDG de Goldman Sachs, et un banquier sérieux, qui
n’était pas volontaire et qui a été mandé par Jared Kushner pour prendre la
tête du Conseil économique [Economic Council]. [Egalement Steven] Mnuchin, qui a pris le train en marche… […]
Correct,
mais dans le même temps laissez-moi être franc, avec les deux éléments dont il
s’agit de parler :
1 :
Trump est en train de nettoyer notre gouvernement et nos institutions, comme si
nous étions un État-nation. Obama ne nous a jamais traité comme un État-nation,
Bush junior ou les Clinton pas davantage. Ils n’ont aucun concept, [ils considèrent
que] ce pays ne serait rien d’autre qu’un groupe de bureaucrates, qui gouverne
une organisation, et qu’on pourrait s’en sortir comme ça… [c’est terminé]
A
présent nous venons à des points déterminants, dont nous devons nous
occuper : par des négociations bilatérales et non par des négociations
multilatérales. Nous devons nous asseoir avec les dirigeants canadiens,
mexicains, japonais, ce n’est pas un accident si [Shinzo] Abe, qui est très
brillant, et comprend les positionnements stratégiques : il s’est rendu très
vite aux États-Unis, pour entrer en relation avec Trump.
Donc
est-ce que la presse met en avant, ils ne veulent pas comprendre cette question
stratégique avec le Japon, mais la presse insiste sur le fait qu’il y a eu une
large discussion non sécurisée dans la salle à manger[8] :
c’est absolument absurde ! L’élément le plus important n’était pas la
sécurité, mais le fait que Trump a pu prendre le relais le Premier Ministre Abe
est allé avec lui plusieurs heures, et c’est exactement ce que Eisenhower a
fait avec tous les dirigeants étrangers… [sans passer uniquement par le prisme
des services secrets]
AJ :
mais ceci pourrait mener à une guerre civile à l’intérieur du Gouvernement
fédéral, qu’en dites-vous ?
SP :
ça peut être perçu comme une guerre civile, mais nous vous ne me ne mettez pas
un homme comme Rex Tillerson, qui a été à la tête d’une entreprise de plus de
400 milliards de dollars, présente partout dans le monde, qui connaît tous les
pays du Moyen-Orient, et de l’Asie du Sud-Est, mieux qu’aucun Officier du
Service Diplomatique [FSO – Foreign Service Officer] : ils [Trump/Tillerson]
vont nettoyer tout cela, [je dis cela] en me basant sur mon expérience au sein
du Département d’État, une institution de 20 000 personnes : il pourront
facilement nettoyer tout cela.
AJ :
[…sur l’agitation politique antitrump et ses raisons]
SP :
mais c’est parce que je l’ai dit : ils sont frustrés. Quand vous êtes à la fois
intéressée et frustrée, vous n’avez plus qu’à rager de façon infantile, et c’est
ce qui arrive en ce moment à la gauche américaine : peuvent-ils à mettre en
place les changements qu’il voudrait mettre en place ? Non. Je peux vous
garantir qu’aucun de ces changements ne va avoir lieu : il n’y aura pas d’impeachment…
[AJ]
SP :
correct : ceux [au sein de la Communauté Américaine du Renseignement] qui
sont impliqués dans les manœuvres visant à démettre Trump[9],
dans son dos, c’est que le plus grand nombre des gens à la fois au sein du
renseignement civil et militaire, contrairement à ce que vous êtes entendez
provenant de Brennan et consorts, avec la gauche.
Et
ça va continuer. […] Je ne veux pas développer le cas de Brennan, un catholique
irlandais qui est arrivé en Floride, qui n’a jamais été très brillant, puis
alla se convertir en Arabie Saoudite[10],
qui n’a jamais été entraîné pour être un professionnel, n’a jamais été au
combat… et alors il ne faut pas s’étonner de ce que l’on obtient la fin : vous
obtenez les pires bastringues [slugs –
limaces/paresseux/faux jetons] de la Communauté du Renseignement : ces
gens-là ne sont pas [à proprement parler] issus de la Communauté du
Renseignement, c’est bien différent de nerf n’importe quoi d’autre : si
vous zoomer et examiner de plus près les nouveaux hommes qui sont mis en place,
vous avez un commandant naval, vice-amiral de la Navy, des forces spéciales, il
est bien plus talentueux sous bien des aspect que Mike Flynn, il va amener dans
la place sa propre équipe, il va se débarrasser de ceux qui ont été amenés par
Flynn [et surtout par Brennan & Cie – AJ développe les source en NBP][11],
[…].
AJ :
Au sujet des démocrates et autres qui disent qu’ils vont démettre Trump, qu’en
dites-vous ?
SP :
ce que je dis c’est que j’ai été impliqué dans les changements de régime, avec
un certain nombre d’autres [opérationnel et analyste du renseignement], en
incluant ce changement de régime [Trump contre Hillary], et je peux vous
assurer que ce que vous voyez à présent, ce ne sont que les conséquences de ce
qui a été une manœuvre très rapide, un coup de scalpel net et sans bavure, au
cœur du parti démocrate. La nation, et en fait tous les gens qui ont voulu le
retour du capitalisme entrepreneurial, on réussit. Dès lors nous n’allons pas
reculer comme ça [Ce n’est pas une réussite que nous allons abandonner comme
cela], mais laissez-moi vous assurer d’une chose : la NSA, la communauté du
renseignement, le CSN, la Maison-Blanche, secrétariat à la défense, le
secrétariat à la sécurité intérieure [Homeland Security]… […] le fait est que
nous avons créé un Contre-coup [d’État], et que à présent nous contrôlons les
choses, nous ne sommes pas des amateurs nous avons fait cela depuis plus de 30
ou 40 ans : l’Union soviétique n’est plus notre ennemi, pas non plus la
Russie, même quand je l’ai mise à terre [l’URSS], je l’ai toujours dit : la
Russie va toujours rester notre allié, notre allié va être à présent l’Arabie
Saoudite, Israël, Dubaï, les Émirats arabes unis, [AJ : tout le monde est
allié dans ce nouveau système].
Le
nouveau système, je dois à présent donner crédit à bibi [Netanyahu] : il a
amené ensemble [rapproché] l’Arabie Saoudite, les Émirats arabes unis, Dubaï,
afin qu’ils partagent le renseignement et ils veulent tous travailler avec
Jared Kushner, afin d’apporter une solution aux palestiniens, et aux
Israéliens… […]
Je
veux dire qu’il s’agit d’une nouvelle approche et qu’il faut à présent
comprendre le réalignement au Moyen-Orient, qui est légitime. […]
La
Syrie veut la paix, Bachar al-Assad a eu assez de guerre, il ne veut pas de
nouvelle guerre, de même que l’Iran a besoin de se reconstituer, son
gouvernement, contrairement à ce que tous les autres gens disent. Le secrétaire
à la défense est méfiant [leery] vis-à-vis de l’Iran, c’est correct, Tillerson
comprend l’Iran comprend le Moyen-Orient mieux que tout autre Secrétaire d’État
que j’ai pu connaître (je ne l’ai pas approché personnellement). Le secrétariat
à la Défense est sous contrôle.
[…]
Vous avez raison, voilà où en est le bébé : vous avez l’école du parti
Démocrate qui sont en train de pleurer et de crier, qui sont encore dans leurs
couches, et qui ne peuvent faire quoi que ce soit. Mais le plus important c’est
que nous contrôlons à présent les institutions et les personnels, les flux
d’argent, nous contrôlons tous. Je ne suis pas autosuffisant ici, je dis juste
aux gens qui ont assisté au spectacle et ont été une partie de la révolution,
que la révolution n’a pas stoppé et continue parce qu’une partie de la
révolution, sa raison d’être, c’est que nous ne nettoyons nos propres gens et
nos propres institutions, nous ne nettoyons ceux qui se mettent sur notre voie,
et nous allons continuer à augmenter la croissance, nous allons continuer à
nous assurer que l’Amérique garde l’ascendance…
AJ :
tout ce que je sais, c’est qu’il tente de faire sauter les choses et de créer
des émeutes, je ne veux pas inciter Trump a une réponse trop forte, mais il
doit répondre à ces gens qui tentent de le renverser, de renverser le
gouvernement…
SP :
ça ne fait pas l’ombre d’un doute, mais il tente de renverser ils n’en auront
même pas l’occasion, croyez-moi. J’ai été dans le changement de régime depuis
trop longtemps, : nous avons anticipé cela, nous avons compris depuis le
premier jour comme je l’ai dit, bien en avance, il y a des années : nous allons
mettre en place un changement majeur, il y aura un Contre-coup, qui sera
efficace…
AJ :
Merci Dr. Pieczenik, c’est fascinant…
[1]
Référence à la « Surprise d'octobre »
évoqué par Pieczenik dans d'autres entrevues précédentes : les Américains
ont négocié avec l'Iran dans le dos de l'administration Carter, pour retarder
la libération d'otages américains, afin d'en faire porter le crédit à Reagan et
non pas Carter, facilitant l'élection de Reagan contre Carter. Pieczenik a
clairement dit qu'il s'agissait clairement d'une sanction d'origine sioniste,
contre les accords de camp David, par lesquelles le président Carter avait
forcé Israël à rendre des territoires supposés par les sionistes appartenir au
Grand Israël. On sait également que Sadate a pour sa part subi un châtiment
bien pire…
[2] Un
« acte positif » en droit, c'est le fait de faire quelque chose (par
opposition à un « acte négatif », le fait de s'abstenir de faire
quelque chose).
[5] « Jon
Stewart on Trump: 'We have never faced this before' » (CNN, 1er
février 2017).
[6] « WATCH:
Sen. Al Franken and Bill Maher say GOPers think President Trump is crazy -
Sen. Al Franken tells Bill Maher President Donald Trump "imagines
things", unlike other humans » (Salon.com, 11-2-17, vidéo ici) ;
« President
Trump exhibits classic signs of mental illness, including 'malignant
narcissism,' shrinks say » (Gersh Kuntzman,
NEW YORK DAILY NEWS, 29-1-17) ; « Is Donald
Trump Mentally Ill? 3 Professors Of Psychiatry Ask President Obama To Conduct
‘A Full Medical And Neuropsychiatric Evaluation’ » (Huff Post blog, 2/17/2016) ; « The
Mind of Donald Trump » (The
Atlmantic, juin 2016) ; « ‘Crazy like a fox’: Mental health
experts try to get inside Trump’s mind » (Stat News, Sharon Begley, 30
janvier 2017) ; « Opinion:
The Opinion of Leading Psychologists Is That Trump Is Mentally Deranged »
(PoliticusUSA, 28 janvier 2017).
A
contrario : « Trump
Isn't Crazy - I wrote the DSM criteria and he doesn't meet them », par
un vrai psychiatre (Allen J Frances M.D, Psychology
TOday, 31-1-2017).
[7] deboarding : le fait d’être sorti/radié du Board/Registre/Conseil de l’Association
Américaine de Psychiatrie.
[8] « At
Mar-a-Lago, Trump tackles crisis diplomacy at close range » (CNN,
14fev.2017) ; « Scenes
From Mar-a-Lago as Trump and Abe Get News About North Korea » (NYT,
13-2-17) ; « Trump
turns Mar-a-Lago Club terrace into open-air situation room »
(Washington Post, 13 février 2017).
[9] « "He Will Die In Jail" -
Intelligence Community Ready To "Go Nuclear" On Trump » (Zerohedge, 16-2-17) ; « ‘He
Will Die in Jail’ – Intelligence Apparatus Admits ‘Going Nuclear’ on Trump »
(Sputnik / Reuters, 15.02.2017) ; « He will die in jail’: Ex-NSA Analyst Says
Intel Community Going ‘Nuclear’ With Trump - "Now we go nuclear": War
between President Trump and intelligence community intensifies » (Infowars,
15-2-17) ; « US
intel community 'ready to go nuclear' against Donald Trump over Russia ties,
claims former NSA analyst - US President 'will die in jail,' says former
National Security Agency employee, John Schindler » (The Independent, 17-2-17).
[10]
Référence au fait qu'en effet John Brennan, tandis qu'il était chef de station
de la CIA en Arabie Saoudite, semble s'être converti, mais on peut considérer
qu'il s'agit d'une vraisemblable raison d'opportunité. Comme les hommes du GIGN
emmené par Paul Barril avaient dû se convertir « pour la forme »
avant leur intervention à la Neg, en 1979 (voir notamment Paul Barril : « Paroles
d'honneur », Télémaque/L’Essor, 2014,
p.13 & s.).
« John
Brennan is completely unqualified to be Director of Central Intelligence »
(Jihad Watch, 26-10-16) ; « Roger
Stone: CIA Director John Brennan Converted To Wahhabi Islam » (Right Wing Watch, 26-1-17). Démenti
évidemment par Snopes : «Central Islamist
Agency » (22-1-15). Voir
surtout : « Barack Obama's choice for CIA chief
'converted to Islam' former FBI agent claims » (Dailymail, 12-2-13) : article important et non anodin,
provenant d'une source britannique…
[11] Voir
l’exceptionnelle synthèse sourcée, sur un possible
« piège à canari » derrière l’éviction de Flynn : « Le président Trump et le général Flynn
tendent un « piège à canaris » aux journalistes menteurs. Une grande rafle
commence » (Numidia
Liberum - 16 février 2017, synthèse de sources
américaines) ; voir aussi « USA.
"Démission" du général Michael Flynn.
Le dessous des cartes » (Numidia
Liberum - 15 février 2017), traduction de What Does It Means [WDIM], 14-2-17 :
« Trump “Shadow Move” Of General Michael Flynn To Feared Spy Agency
Rattles Russia » (WDIM étant connu pour être une
« mule » pour ce genre d’information : « [additif
- NAVY 2] Note au sujet d'Obama préparant sa retraite à Dubaï : "Sorcha
Fall", les "mules", et la fiabilité des informations
"fuitées"... », CVR, 10 janvier 2016).
Pieczenik avait pointé
dans un de ses articles (« Trump
choisit Bannon pour le NSC [Conseil de Sécurité National] », CVR, 31
janvier 2017) l'importance de la façon dont le Président Trump a mis fin au
siège permanent du directeur de la CIA au CNS. Croiser avec Thierry Meyssan,
concernant le bras-de-fer livré par la
part vérolée de la CIA contre Trump et ses hommes : « La CIA refuse l’accès au
CNS de l’adjoint du général Flynn », Réseau Voltaire | 13 février 2017. Flynn
semble être muté au « Bureau of
Intelligence and Research » (dépendant du Département d’Etat).