Les obscurs acteurs
étrangers derrière la fraude électorale américaine
Par F. William Engdahl, 23 novembre 2020
Image:
Scanner optique « ImageCast » de Dominion, servant au comptage
de bulletin de vote de circonscription
Crédit photo
: Douglas W. Jones
Licence:
Creative Commons CC0 1.0 (domaine public)
Source: https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Dominion_ImageCast.jpg
Parmi les
comptes-rendus documentées des fraudes électorales américaines sommes
toutes « habituelles » durant le vote aux élections présidentielles du 3 novembre
2020, avec les habituelles fausses pièces d'identité, les électeurs votants
décédés et les votes par correspondance unilatéraux suspects [seulement en
faveur de Biden] dans les États fédérés « clés » dirigés par des
Démocrates, de plus en plus de preuves incriminent le rôle hautement
sophistiqués d'acteurs étrangers, de conserve avec des éléments provenant des
mauvais acteurs de l'État Profond américain. Ces derniers s’étant lancés
dans un effort impudent est hautement illégal, visant à renverser le Président
Trump et à le remplacer par un Joe Biden plus complaisant et surtout plus
compromis, qui serait davantage susceptible de suivre docilement l’agenda de la
« Grande Réinitialisation [Grand Reset] » du Forum Economique
Mondial ([FEM] - World
Economic Forum, WEF]) et de Bill Gates.
Au centre de cette manipulation peut être identifié un groupe d’entreprises
privées obscures, qui depuis 2002 sont positionnées afin de dominer les
élections, pas seulement aux États-Unis mais aussi dans beaucoup d’autres pays.
Si cette manipulation devait parvenir à son but sans être remise en cause, elle
aurait des conséquences catastrophiques, et pas seulement à l’intérieur des
États-Unis.
Aujourd’hui,
les entreprises qui fournissent les machines de vote aux États-Unis et les
programmes informatiques liés, sont dominées par trois entités : Dominion
Voting Systems, de Toronto (Canada), SGO Smartmatic établi au
Royaume-Uni, et ES&S [Election
Systems & Software] établi à Omaha (Nebraska).
Deux entreprises sur trois sont donc des compagnies étrangères. Ceci devrait
déjà fonder certaines préoccupations. Mais le problème réel va bien au-delà…
Loi HAVA de 2002 : externalisation du
recomptage des votes sous prétexte de « modernisation »
Jusqu’aux élections américaines de 2000, au terme desquelles une
fine marge de bulletins de votes papiers défectueux, le fameux recompte des
« bulletins mal percés [hanging chads] », avait été
déterminante dans l’élection de George W. Bush, le rôle des machines de vote
informatiques était très limité. Ceci devait changer en 2002, lorsque le Congrès
adopta une loi en apparence conçue pour résoudre le problème des bulletins de vote
à cartes perforées. Depuis lors, ce sont des entreprises privées qui
gérent les élections américaines. Le 29 octobre 2002, le Président G.W.
Bush signa en effet la loi dite « HAVA », pour « Loi d’aide
au vote de l’Amérique [Help
America Vote Act] ».
Cette loi créa une nouvelle Agence fédérale, la Commission pour
l’Assistance aux Elections des États-Unis (CAE [United States Election
Assistance Commission, USEAC] afin de servir de « chambre de
compensation » [mécanisme de centralisation des échanges] pour les
informations relatives à l’administration [mise en place] des élections ;
elle créait également des fonds fédéraux afin d’aider les Etats fédérés à améliorer
la gestion de l’élection, et à « remplacer les systèmes de vote
vétustes ». Cette loi proposait enfin de créer des exigences minimales
à suivre pour les Etats fédérés, dans différents domaines clés relatifs à
l’administration des élections.
[Mais] Russell Ramsland, un expert en cybersécurité qui avait
fondé LI Security Operations, devait dire alors dans une entrevue à la
télévision, que ces exigences minimales n’avaient jamais été créées.
Ce que fit la loi était, c’était plutôt fournir des fonds pour les Etats
fédérés afin d’externaliser leur gestion des élections en faveur de compagnies
privées comme ES&S, Dominion, Smartmatic et quelques opérateurs
plus petits. Tant et si bien qu’en 2018, ces entreprises privées de
recomptage électronique des votes contrôlaient 92 % de parts de marché des
élections américaines. [De fait,] les observateurs bipartisans surveillant
[monitors] ces élections, ne se trouvaient théoriquement plus en mesure
d’assurer l’intégrité du vote électoral. Les ordinateurs,
les logiciels des propriétaires et toutes leurs vulnérabilités possibles
étaient désormais sous contrôle [de ces entreprises privées extérieures].
Smartmatic et le précédent du Référendum
truqué de 2004 au Venezuela
Dès 2004, un certain nombre de jeunes programmeurs professionnels
de Caracas, Venezuela, furent appelés par le régime socialiste alors assiégé
d’Hugo Chavez, afin de l’aider, lui et sa Révolution bolivarienne soutenue par Fidel
Castro depuis Cuba, à survivre à un référendum. [Ce référendum, dit
« révocatoire/de rappel », du 15 août 2004, devait déterminer si Hugo
Chavez, alors Président du Venezuela, devait être révoqué de son poste ou bien
conserver son mandat. Or,] le Précédent du régime chrétien-démocrate précédent,
Rafael Caldera avait auparavant adopté une Loi qui exigeait la gestion automatisée
dudit vote par les sociétés de vote américaines ES&S, ainsi
que par les systèmes espagnols Indra, avait institutionnalisé la présence
[de ces opérateurs privés] dans le pays. ES&S était alors proche du parti Républicain
de G. Bush Jr.
En réponse à un appel d’offre dans la perspective de ce référendum
révocatoire de 2004 formulé par la CNE [Consejo
Nacional Electoral], l’Autorité électorale du Venezuela, un nouveau consortium connu sous le nom
de SBC Consortium fut constitué, et remporta l’appel d’offre afin
d’opérer le processus de recomptages des votes de ce référendum. Ce consortium SBC
comprenait Smartmatic (51%), Bitza software (2%) et
l'organisation des télécommunications d'État CANTV [Compañía Anónima Nacional Teléfonos
de Venezuela] (47%). Omar Montilla Castillo, le responsable
R&D des programmes informatiques de Bitza, était
un fonctionnaire du gouvernement de Chavez, nommé à ce poste par Chavez. Quant
à l’entreprise Smartmatic, elle avait été fondée quelques
années auparavant par deux ingénieurs vénézuéliens vivant en Floride, Antonio
Mugica et Alfredo Anzola. Le référendum de 2004 était leur première opération impliquant des
machines à voter. Ces Floridiens
pro-Chavez ont donc remporté l'appel d’offre et ont reçu pour cela 128
millions de dollars, comprenant la modernisation des machines de jeu Smartmatic
préexistantes, afin qu’elles puissent être utilisées pour ce processus. Apparemment, pour ces ingénieux
entrepreneurs vénézuéliens, ce ne fut pas une si grande modification, que de convertir
des machines de jeu truquées en machines à voter truquées...
Le consortium Smartmatic réussit
donc à falsifier le référendum pour Chavez, alors que Chavez était donné comme
perdant d’après les sondages. Mais il remporta une victoire « miraculeuse »
de 52% contre 48%. À l’époque,
le New York Times, alors un peu plus objectif qu’aujourd’hui, écrivit :
« Smartmatic était une entreprise peu connue sans expérience en matière de
technologie de vote, avant d’être choisie par les autorités vénézuéliennes pour
remplacer la machinerie électorale du pays avant un référendum litigieux, qui confirma finalement M. Chávez
comme Président en août 2004. »
Frauder le vote avec un flegme tout britannique
Aujourd’hui, Antonio Mugica siège à Londres, d’où Smartmatic supervise tout un réseau mondial de trucages informatiques des
élections. En 2014, Mugica, allié au Lord
Britannique Mark Malloch-Brown, annonça le lancement de SGO Corporation
Limited : une société faîtière/de portefeuille [holding] basée à Londres et dont l'actif principal est le
fabricant de technologies électorales et de machines à voter, Smartmatic. Mugica est PDG de SGO Smartmatic
et son cofondateur vénézuélien, Roger Piñate, siège également au Conseil
d'administration de la société à Londres. Smartmatic a aujourd'hui encore
de profondes racines vénézuéliennes, qui lui permettent de corrompre les
cercles de pouvoir de Chavez puis de Maduro.
Lord Mark Malloch-Brown, président
de SGO Smartmatic peut être considéré comme un personnage clé. Comme le montre l'excellente recherche de Matthew Ehret, Malloch
Brown a siégé au Conseil d'administration du Forum Economique Mondial de
Davos, le principal promoteur du programme dystopique « Grande
Réinitialisation [Great Reset]» du Programme/Agenda « 2030 »
de l’ONU. Il a également été membre du Conseil d'administration de la Fondation
« Société Ouverte [Open Society] » de George Soros, et du Fonds
Quantum du même Soros. Soros est l'un des principaux bailleurs de fonds
des candidats du Parti démocrate et groupes affidés, incluant le mouvement
« Black Lives Matters (BLM)». Malloch Brown a été par
ailleurs Secrétaire général adjoint de l'ONU sous le corrompu Kofi Annan, et fut
Vice-président de la Banque Mondiale. En tant que membre du Parti
travailliste, il est également membre du très secret Conseil Privé [Privy
Council] : une élite de plus de 500 personnes
sélectionnées par la Reine pour administrer les affaires de l'État britannique.
En 2008, juste après l'investiture de Barack Obama en tant que Président des
États-Unis, la future ambassadrice d'Obama à l'ONU, Samantha Power, remarqua que
« le principal intermédiaire entre la Grande-Bretagne et le candidat
[Obama] a été Lord Malloch Brown, le jeune ministre des Affaires
étrangères…» C'est donc la même personne qui dirige aujourd'hui le groupe
très controversé des systèmes de vote, Smartmatic.
Un autre membre du Conseil d'Administration
de SGO Smartmatic à Londres se trouve être Sir Nigel Knowles, le
PDG mondial de DLA Piper. DLA Piper était alors, en 2014, le plus
gros cabinet d'avocats du monde. Notablement, Douglas C. Emhoff, le mari de
Kamala Harris [la colistière de Joe Biden qui serait sa Vice-présidente]
est associé chez DLA Piper. Mais peut-être n’est-ce là qu’une simple coïncidence
?
Mais les choses deviennent encore plus
biaisées. Aux États-Unis, Smartmatic dispose d'un Conseil
d'Administration de quatre personnes. Le Président de Smartmatic USA
est Peter Neffenger, qui vient d’être nommé au sein de l’équipe de
transition de Joe Biden. Neffenger était dans l'Administration Obama en
tant que chef de l'Administration
de la Sécurité des Transports [Transportation
Security Administration – TSA]. Paul DeGregorio,
membre du même Conseil d'Administration de Smartmatic USA, a été
président de la Commission d'Assistance Electorale des États-Unis [CAE [Election Assistance Commission – EAC]) de 2003 à 2007. La CAE avait été créé par la loi HAVA de 2002,
afin « d'administrer les paiements aux États fédérés et de développer
les directives devant répondre aux exigences requises par la Loi HAVA,
d'adopter des lignes directrices volontaristes au sujet du système de vote, et
d'accréditer des laboratoires d'essais du système de vote et de certifier le
matériel de vote ». Siégeant également aux côtés de Neffenger et DeGregorio
au sein du Conseil d'Administration de Smartmatic aux États-Unis, Gracia
Hillman fut quant à elle la présidente de la même Commission d'Assistance
Electorale des Etats-Unis de 2003 à 2010, sous Obama. Leur site Web déclare que
« Smartmatic est le leader mondial de la technologie électorale et des
services de soutien sécurisés, accessibles et transparents. Nous croyons en
l'égalité et la justice pour tous. »
Afin de souligner ce que l'on ne pourrait
appeler qu’un biais extraordinaire, deux des quatre membres du
Conseil d'Administration de Smartmatic USA étaient donc à la tête de l'Agence
gouvernementale américaine dédiée au développement des lignes directrices pour
les systèmes de vote, et deux avaient été des Démocrates nommés ou en poste sous
Obama, l'un étant désormais conseiller de Biden. Tout
va bien, donc, en termes d’intégrité de ces élections
de 2020, ou bien nous aurait-on menti?
Les Systèmes de vote de “Sequoia” : « un
pont trop loin »
dans la fraude électorale aux Etats-Unis...
A présent, une autre entreprise appelée Sequoia
Voting Systems, fondée en Californie, va être le lien clé entre les
logiciels et les systèmes de Smartmatic d’une part, et d’autre
part l'autre société de vote géante impliquée dans ce qui va rester aux yeux de
l’Histoire comme l’énorme fraude électorale de 2020 aux Etats-Unis : la société
canadienne Dominion Voting Systems.
En mars 2005, Smartmatic a en effet
acheté les systèmes de vote « California Sequoia [Séquoia
de Californie]» à son propriétaire de l'époque, De La Rue : une
société britannique d'impression et de sécurisation de papier-monnaie. Smartmatic a affecté alors une grande
partie de ses équipes de développement à la refonte des anciennes machines à
voter désuètes héritées de Sequoia, et au remplacement de leur
technologie par des fonctionnalités et des développements exclusifs
d'avant-garde, ce qui a abouti à de nouveaux produits de haute technologie.
La situation de la coentreprise Smartmatic-Sequoia
fut florissante sur le marché américain, jusqu'à ce qu'une enquête du Trésor
américain sur les liens possibles de Smartmatic avec le gouvernement
étranger du Venezuela oblige Smartmatic à vendre Sequoia.
Ils le firent alors à l’occasion d’une vente regardée
comme trompeuse aux dirigeants américains de Smartmatic, qui étaient des
citoyens américains, à des conditions qui ne furent jamais rendues publiques, sous
le [nouveau] nom de SVS Inc. [Strategic Value Solutions], ce qui eut pour effet permit de faire
tomber les poursuites du gouvernement américain. Mais Sequoia, dorénavant
appelée SVS Inc. en tant que compagnie étatsunienne, était
toujours contrôlée par Smartmatics en tant que compagnie d’origine
vénézuélienne. Smartmatic a conservé la détention des droits de
propriété intellectuelle des produits électoraux actuellement déployés par Sequoia
aux États-Unis. En 2007, le professeur d'informatique à Princeton, Andrew
Appel, a témoigné en tant qu'expert dans une affaire judiciaire au New Jersey
impliquant les machines à voter Advantage de Sequoia, déclarant qu'il
était « très facile de remplacer le logiciel à l'intérieur d'une machine
informatisée afin qu'il fasse croire à l'électeur qu'il vote pour un candidat
alors qu’il vote en réalité dans la mauvaise colonne… Vous pouvez même le
programmer pour le faire uniquement le jour de l'élection. » La même année 2007, le Secrétaire d'État de Californie a
décertifié les machines à voter Sequoia lors des élections nationales,
déclarant que les machines à voter Sequoia permettaient « l'insertion
d'un programme malveillant de type “cheval de Troie“ via un périphérique de
stockage USB amovible qui pourrait modifier les définitions et les résultats
des bulletins de vote ». La décision a ajouté que les machines à
voter Sequoia pourraient être conçues pour [inclure la possibilité de] « déplacer
les votes d'un candidat à un autre et [que ce déplacement] ne soit pas
détectable sur le récépissé papier obtenu par l’électeur ». Remarquons
que ce sont là les mêmes genres de fraudes incriminées par les équipes
juridiques de Trump.
Enfin, ces Systèmes de Vote Sequoia contrôlés
par Smartmatic, alias SVS Inc., fut racheté le 4 juin 2010 par
une société canadienne auparavant obscure, Dominion Voting Systems,
une société spécialisée dans la fabrication de matériel de vote électronique et
de scanners optiques.
Dominion Voting Systems, sous l’égide de Carlyle, si
proche des pantins de l’Etat Profond…
À l'époque où Dominion, opérateur
canadien, avait racheté SVS Inc. [qui possédait] Sequoia,
cette dernière avait des contrats [en cours] dans 16 États. Dominion devenait
donc soudain, via Sequoia via Smartmatic basé à Londres, un acteur
majeur dans le secteur de plus en plus corrompu du vote informatisé aux
États-Unis. En bref, Smartmatic racheta
Sequoia, une société américaine, intégra ensuite sa technologie dans Sequoia,
et les juridictions l'ont vendue [ont forcé sa revente] à Dominion.
Cependant, afin de s’assurer que le canadien Dominion
resterait opaque à tout examen minutieux, la société fut reprise en 2018 en
tant que société privée par ses employés, unis avec une société de
capital-investissement bscure de New York, Staple Street Capital,
ce qui leur permit de se prétendre être une « Entreprise américaine »,
malgré son siège social au Canada. Ce qui est bien peu connu sur Staple
Street, les nouveaux propriétaires de Dominion, c'est que
plusieurs d'entre eux venaient du géant controversé du
capital-investissement, Carlyle Group Partners. William
Kennard, anciennement nommé par Obama en tant qu'ambassadeur de l'UE,
auparavant nommé par Bill Clinton en tant que président de la FCC, et ancien
directeur général du groupe Carlyle, est ainsi présent dans Staple
Street Capital. Hootan Yaghoobzadeh et Stephen D. Owens, tous
deux de Staple Street, siègent au nouveau Conseil d'Administration de Dominion
aux côtés du fondateur canadien, John Poulos. Ces deux homes ont également des
liens passés avec le groupe Carlyle.
L'État contesté de Géorgie compte huit
lobbyistes enregistrés de Dominion, dont Jared Thomas, ancien
chef de cabinet du gouverneur Républicain Brian Kemp. Le recomptage des votes la
Géorgie avait été criblé de corruption bipartite. En outre, la société Dominion
Voting Systems a admis avoir été un ancien donateur de la Fondation Clinton
et avoir embauché l'ancienne chef de cabinet de la présidente Démocrate du
Congrès, Nancy Pelosi, une certaine Nadeam Elshami, en tant que lobbyiste.
En 2016, on a demandé au Vice-président de
Dominion, le Dr. Eric Coomer, s'il était possible de contourner le
logiciel des systèmes électoraux pour accéder directement aux tableaux de
données qui gèrent les systèmes régissant les élections dans l'Illinois. Il a répondu : « Oui,
s'ils y ont accès. » Lorsqu'on lui a demandé qui cela
pouvait-il inclure, il a répondu : « Les vendeurs, les fonctionnaires
électoraux officiels, et les autres qui doivent s’en voir garantir l’accès ». Le même Coomer a été découvert en
2020, postant des publications Facebook favorables à Black Lives Matter et
attaquant Trump…
Lors de l'élection de 2020, Dominion
était responsable d'environ 50% de tous les votes dans 30 États fédérés, et
était en situation de position dominante dans tous les États dont le résultat
est actuellement contesté par les équipes juridiques de Trump, à savoir au
Nevada, en Arizona, au Michigan, au Wisconsin, en Pennsylvanie et en Géorgie. Les États ainsi contestés ont TOUS
basculé vers le Démocrate Biden, malgré d'énormes scores initiaux pour Trump
qui menait au résultat. Dans des douzaines de circonscriptions
électorales de ces États utilisant les systèmes du Dominion, le décompte
des voix a produit des statistiques virtuellement impossibles, telles que 100%
ou 105% de participation électorale ou même plus. Tout ceci rendrait même un Kim
Jong-Un envieux…
F. William Engdahl est consultant en risques
stratégiques et conférencier, diplômé en politique de l’Université de Princeton
et auteur de best-sellers sur le pétrole et la géopolitique. Son dernier livre,
« Le charme discret du djihad », est publié aux éditions demi-lune
(voir la note
de lecture du Saker Francophone). Article initial exclusif pour le
magazine en ligne New Eastern
Outlook.
Traduction
par Jean-Maxime Corneille, Chroniques de la Vieille République.
NDT : Pour être juste ici, ajoutons que lesdits
“sondages » américains anti-Chavez peuvent tout autant avoir été truqués.
Il convient de conserver à l'esprit ici que Chavez, du fait de sa politique
sociale et de ses résistantes à l’entrisme américain, était l’homme à abattre
du point de vue des Etats-Unis dominés alors par l’Etat Profond. Entre
élections truquées par Chavez et « changements de régimes » tout
aussi truqués contre Chavez, le sujet est ailleurs ici : la démocratie
est trop facilement soluble et manipulable dans le contexte des luttes
d’influences relevant de la guerre économique (pétrolières ou autres…) et/ou mondialistes…
Ajouter deux domaines de connaissances en
arrière-plan : d’une part, la réalité « proto-mondialiste »
des Forces qui œuvrèrent au XIXe siècle pour détacher les pays d’Amérique
Latine de la Couronne espagnole (COEURDEROY,
Jean Lombard : La face cachée de l’Histoire Moderne, éd. Saint-Rémy,
2012, chap XX)]; d’autre part, la rivalité
pétrolière anglo-américaine séculaire au sujet notamment du Venezuela, fort
peu connue
(ZISCHKA Anton : La Guerre secrète
pour le pétrole, Paris, Payot, 1934). Alors,
il est possible d’envisager une continuité historique de ces luttes
d’influences, tout en distinguant la marche parallèle de l'influence britannique d’une part, et du mondialisme
d’autre part, s’appuyant tantôt sur les Britanniques et plus récemment, sur les
Etats-Unis [voir note suivante]… Voir aussi les ouvrages de Caroll
Quigley : Tragedy and Hope Macmillan,
Histoire secrète de
l'oligarchie anglo-américaine (Le retour aux sources, 2015).