"Rahm Emanuel, Police, Univ. of Chicago: All Continuous Failures During the Anti-Trump Demonstrations in Chicago!" (S. Pieczenik)
Rahm Emanuel, Police, Université de
Chicago : toute une liste de défaillances continuelles durant les
manifestations anti-Trump de Chicago !
Tandis
que je faisais mes adieux à mon Commissaire de comté [county commissioner] de 26 ans, qui devait être déployés sous
l'égide de l'AFRICOM en tant que lieutenant de la Garde nationale de Floride,
et qui va ainsi protéger notre pays contre les terroristes musulmans
extrémistes, j'ai été atterré à la vue de tous ces jeunes poltrons gâtés[1] lâchés
afin de créer des troubles majeurs lors d'une réunion politique de Trump. Je ne
fus pas surpris qu'il y ait eu des protestations organisées par chaque
minorité, avec des griefs tantôt contre quelque chose, tantôt contre quelqu'un.
À présent, je suis quand même forcé
de remarquer l'ineptie de la police de
Chicago qui, une fois encore, a déployé ses vraies couleurs en tant que
représentants zélés du Maire dysfonctionnel Rahm Emmanuel.
Il
y a là une certaine dynamique qui est particulière à la politique telle qu'on
la conçoit à Chicago.
Cette
dynamique s'articule autour de plusieurs grandes familles "à la Al
Capone" comme les Pritzker, qui n'étaient
rien d'autres que des truands juifs qui ont tués et torturés tout le long de
leur chemin jusqu'à des postes politiques clés, sous Obama et les Clinton[2].
Ce que j'ai vu à la télévision hier,
était une amorce d'agit'prop[3] menée
par des petits groupes amateurs de noirs,
d'hispaniques, de musulmans, et de
Blancs qui avaient été bien formés
par deux organisations ad hoc[4],
intitulées de façon mignonne “Showing Up For Racial Justices”[5],
de même que “Black Lives Matter”[6]
(connue depuis les émeutes de Ferguson à l'été 2014). Sans rencontrer beaucoup d'opposition, ces
"enfants du millénaire" avaient
été préparés pour déranger le discours de Trump à tout prix, quelles qu'en
soient les conséquences pour eux-mêmes, ou pour l'organisation Trump, ou même pour l'Amérique.
Inévitablement,
quand une opération d'agit'prop est mise en place, de nombreuses personnes sont
blessées des deux côtés de la confrontation. L'agit'prop est une technique destructive efficace conçue pour créer le chaos et la violence. Donald Trump/Corey R. Lewandowski ont été suffisamment
intelligents pour annuler le discours, anticipant cette possibilité.
Mais
cette agit'prop ne s'est pas subitement déclenchée à Chicago, l'indice qu'il
s'agissait là d'une instrumentalisation fut caractérisé, a été illustré lorsqu'une
femme reporter non identifiée déclara qu'elle avait été manipulée par Corey, le bras droit extrêmement intelligent et
professionnel de Trump, qui est habitué à ce type d'hystérie absurde.
Qui est donc à blâmer, pour tenter de
mettre ainsi le feu au corps politique ? Je ne blâme pas vraiment les
démocrates, pour avoir une félonne [Hillary] et un socialiste [Bernie Sanders[7]]
se disputant la course à la Présidence. Par sa simple nature, le Parti
Démocrate est en train de mener une élection de type Alice au pays des merveilles, dans laquelle la réalité cède la
place à la fois à l'auto-illusion [Hillary Clinton] et aux vœux pieux [Bernie
Sanders].
C'est à l'intérieur des rangs de son propre parti que Trump doit
rechercher son Judas. Ils sont
nombreux, ceux qui ont pris parti pour son élimination [termination] (politiquement parlant, bien sûr). Pourtant, je connais un seul nom qui a fait
de l'agit'prop une partie de sa légende familiale, aux côtés des coups tordus
allant jusqu'à l'assassinat d'un POTUS [Président] américain[8].
Je veux parler bien sûr, de la famille Bush. Aucune autre famille [n']a été
[autant] impliquée dans l'assassinat d'un POTUS (JFK); de même que dans la tentative
ratée d'en faire assassiner un deuxième (Ronald Reagan).
« Rivalité fraternelle ? » Entre les frères
Bush, rivalisant dans leurs agissements délictueux...
Les
coups tordus et autres sales besognes [Dirty tricks] ont été leur métier*, parce qu'ils sont dénués
d'intégrité ou d'un quelconque talent, autre que l'auto-agrandissement ou la décimation
de vies américaines (9/11[9]).
Tandis
que Neil Bush, le plus abruti des abrutis [the
dumbest of the dumb], manœuvrait pour rejoindre les sales coups [dirty
tricks] de Ted Cruz, et son schéma : « Oh
oui, votons pour l'entrée d'un Canadien à la Maison-Blanche », les signes
d'une brutalité chez le parti Républicain deviennent de plus en plus manifestes
: un "danger clair et actuel" [“Clear
and Present Danger”].
Je
peux seulement dire à présent, qu'à
partir du moment où l'agit'prop a fait son entrée dans le processus électoral,
j'anticipe un cycle électoral qui promet d'être très turbulent. Il s'agit de ce
au sujet de quoi j'ai déjà averti : une vraie Révolution Américaine !
Laissez-moi
déclarer un simple fait : Corey R. Lewandowski, le Directeur de Campagne de
Trump, est un natif du New Hampshire qui croit ardemment en la devise de cet
état : « vivre libre ou mourir » [“Live Free Or Die”] ! Il s'agit là
d'un avertissement sans frais, à ceux qui pourraient être enclins à penser que
ces manifestations sont conçues uniquement pour l'amusement de la jeunesse
"du millénaire", qui n'ont rien d'autre à faire que de créer des
émeutes dans les rues au sujet de tout et de n'importe quoi.
Car
dans le même temps, laissez-moi faire mes adieux et souhaiter bonne chance à
ces jeunes hommes et femmes qui sacrifient leur vie, afin de permettre à ces
"jeunes" avoir une chance de perturber la "liberté de
parole" et la civilité.
Laissez-moi
terminer avec un vieux proverbe écossais :
«
Personne ne me provoque impunément [nemo
me impune lacessit]. »
Additif :
–Autre exemple de l'instrumentalisation des minorités, notamment noires,
au soutien des candidats promus par les mondialistes afin de détruire les
États-Unis :
« États-Unis : La
communauté afro-américaine se mobilise pour Hillary Clinton » (Fdesouche, 29 février 2016) :
« Parmi les 12 États qui voteront
lors du « Super Tuesday », le Texas est particulièrement attendu.
Bastion des républicains, il représente un enjeu important pour Hillary
Clinton. La candidate démocrate sait déjà qu’elle peut compter sur le vote
noir, notamment celui des bikers. » : « Primaires américaines : au
Texas, les bikers noirs derrière Clinton » (I-Télé,
29 févr.
2016, présenté par le très incompétent Olivier Ravanello, enthousiaste relais
de la propagande mondialiste)
« En Caroline du Sud samedi, la candidate à la primaire démocrate Hillary Clinton a remporté la quasi-totalité du vote noir, 86%. Un meilleur score que celui de Barack Obama en 2008. A la veille du Super Tuesday, l’ancienne first lady a réussi à mobiliser cette communauté, contrairement à son adversaire Bernie Sanders. » (« La communauté afro-américaine se mobilise pour Hillary Clinton », BFM-TV, 29 février 2016)
–Sur les manifestations de jeunes couards instrumentalisés à l'occasion
de la démolition sociale des États-Unis, et la future guerre de tous contre
tous : question cynique et pleine d'humour, « les médias sociaux seraient-ils en train de
créer une génération de couards?».
Voir également l'équivalent aux
États-Unis de notre « Manif pour tous
», au sujet de l'avortement (en gardant bien à l'esprit que les Protestants
américains peuvent être tout à fait hystériques sur la question), comparée à la
veulerie du parti Républicain américain ( parallèlement aux troubles politiques
et aux tentatives de récupération qui avait pu avoir lieu en France) : «Millennials, March for Life, and Cowardly
Republicans [les jeunes, la
marche pour la vie, et la lâcheté des républicains] » (Politichicks, Rene Ellmers, 30 janvier
2015)
Voir
aussi : « Les fascistes sont de retour : réunion politique de Trump à
Chicago empêchée par des militants de gauche » (Dreuz, source à prendre avec précaution, Jean-Patrick
Grumberg 12 mars 2016).
[1] "cowardly millennials" : mot à mot "lâches/poltrons/couards enfants du millénaires / génération Y" (c'est-à-dire la
génération devenue adulte dans les années 2000).
[2] Pour un exceptionnel témoignage de la genèse cette
collusion entre crime et politique à Chicago, voir : « U.R.S.S.
U.S.A. » (Pierre Fontaine,
Nouvelles Editions Latines, 1960).
[3] "A primer of agitprop" : mot à mot "un apprêt d'agit'prop". L'agitation propagandaire correspond à
l'agitation d'une foule à fin de propagande (propagation d'idée à visée
politique), jouant spécialement sur la psychologie des foules afin de faciliter
justement la propagation des idées politiques.
Sur la
propagande dans son sens exact (politique/idéologique), voir « Petite histoire de la désinformation »
(Vladimir Volkoff, Ed° Rocher, 1999).
Sur la
psychologie des foules, voir « Psychologie
des foules » (Gustave Le Bon, 1895, réédition Kontre Kulture)
[4] "cut-out" : "découpées", au sens "conçues exactement pour un emploi déterminé ", d'où
l'expression latine ici : "ad hoc"
("pour cela").
[5] “Showing Up For Racial
Justices”, mot à mot : "faisant apparaître les justices
raciales", traduisible également par "démasquer/dénoncer/faire honte
aux injustices raciales", ou encore "faire émerger la justice
raciale".
[6] “Black Lives Matter”
: "les vies noires importent", c'est-à-dire qu'elles sont aussi
importantes (sous-entendu : "... que les vies des blancs"...).
[7] Sur le passé
marxiste de Bernie Sanders, voir : «
Bernie
Sanders is a Freemason & Communist [Bernie Sanders est un franc-maçon et un communiste] » (suppose ici au
préalable, au préalable, de mieux comprendre la dualité interne à la Franc-maçonnerie
: héritière du réformisme chrétien, mais qui fut gravement infiltré à partir du
XVIIIe siècle surtout).
Mais ceci peut expliquer certaines prises de position polémiques de Bernie Sanders,
donnant dans la démagogie et servant indirectement une lutte raciale artificielle
que les mondialistes ourdissent contre les États-Unis : « Quand tu es blanc, tu ne
sais pas ce que c’est d’être pauvre »
(débat entre les candidats du parti démocrate à Flint, Michigan,
6 mars 2016, retransmis par CNN, repris par Fdesouche).
Voir aussi «Bernie
Sanders wrong to say, 'When you're white ... you don't know what it's like to
be poor' » (Politifact, 7 mars 2016).
Voir aussi sa confrontation
musclée « All You Need to Know about Bernie Sanders » (TUT Broadcast March 5, 2016) : « en réunion politique à l'Hôtel de ville de
Cabot, Vermont [VT], il perd son sang-froid et devient défensif puis agressif,
en défendant les bombardements honteuses d'Israël sur Gaza. Et tandis qu'il
tente de distraire et de détourner le sujet (il le fait toujours en tant que
politicien), par un « n'est pas le seul problème du Moyen-Orient : avez-vous
entendu parler de l'EI? ». Démonstration honteuse. Il appelle ensuite la police
d'État contre protestataire, et fait clairement preuve d'une attitude de type «
moi et tout le reste de vous autres », que les gens à l'extérieur du Vermont
voient rarement »
[8] Il s'agit là
d'une référence à peine voilée, aux fait que le nom de Bush Sr. fut
régulièrement cité parmi les tireurs réels, à l'occasion de l'assassinat de
J.F.Kennedy. Steve Pieczenik y a fait des allusions de plus en plus claires ces
derniers mois (et il le dit clairement une ligne plus bas), à mesure qu'il
s'agissait de contrer la candidature de Jeb Bush, mais c'est quelque chose qui
est su depuis longtemps dans les milieux bien informés. Pour un par exemple de
livre qui fut accessible au grand public en évoquant ce point clairement : « Les vrais maîtres du monde » (Luis Gonzalez-Mata, Éditions Grasset & Fasquelle, 1979).
*: en français dans le texte.
[9] Ce n'est plus
une allusion ici, c'est une confirmation de ce que s'il peut unique a déjà dit,
au sujet de la responsabilité indubitable du POTUS Bush Jr. dans les attentats
du 11 septembre 2001.