3 janv. 2017 : « CIA Black
Ops Commander: The American Republic Has Been Restored » :
Alex Jones discute avec un ancien commandant
d’opérations noires/spéciales, le Dr. Steve Pieczenik, au sujet de comment Donald
Trump est déjà en train de restaurer la République américaine.
Résumé sur le site
de Pieczenik (vidéo coupée : https://www.youtube.com/watch?v=Wet-Bm-rTCA
(Circular Times / Infowars / Dr.S. Pieczneik PhD, Circular Times) :
–Victoire de
Trump,
–pas de piratage
russe des élections,
–Assange est un
bon héros
–Information
d’initié pour le public : des nouvelles pour l’Amérique.
–Le pathétique
président Obama
–l’ampleur de la
stupidité d’Hillary Clinton (qui a permis de la piéger), Bill Clinton est
presque aussi bête qu’elle.
–Le juif JOHN
KERRY et ses tics de langue
–COmey, la CIA et
toutes les scories qui ont besoin d’être nettoyées à Washington D.C.
–Ce qu’il se passe
à présent, la trame des évènements : Russie, Chine/Coréedu-Nord, fausses
nouvelles & Cie.
AJ : 16 jours encore
attendre avant la renaissance de la République : les marchés boursiers
sont à la hausse, des millions voire des milliards d’investissements annoncés,
et ce n’est qu’un début. Trump demande à présent tous les documents concernant
les [O.N.G.] Open Borders, sur qui a pu donner de nombreux ordres de ne pas
intervenir [stand downs], aboutissant
à faire passer des gens atteints de maladies comme la lèpre, ce qui est une fellonie[1],
et donc ils vont être poursuivis par le nouveau Ministre de la Justice.
Du coup les
instigateurs ont peur, également ceux qui essayaient d’orchestrer une guerre
contre la Russie, de tourner les djihadistes contre l’Europe, ce sont des temps
dangereux à vivre mais également exaltants.
J’ai un grand
nombre de sources et j’en ai beaucoup, et il ne s’agit pas de me vanter ici
(nous avons été les premiers à parler de Benghazi, avec le Colonel Shaeffer et bien
d’autres, comme le Dr. Steve Pieczenik, Tosh Plumley[2], des gens ayant travaillé pour différentes Agences du Gouvernement...)…
mais d’après mes sources, il m’a été dit que les russes n’avaient rien à voir avec le soi-disant piratage de l’élection
américaine mais qu’il s’agissait d’Agences de Renseignement américaines
sans savoir clairement qui. Puis nous avons eu l’[ex-]Ambassadeur britannique [Craig
Murray] et d’autres qui se sont rendus à New York, Washington DC, pour dire que
les fuites représentaient en effet les Agences
de Renseignement américaines[3]…
Le Dr. Pieczenik, qui semble avoir lui aussi ses
sources de toute évidence, eut la possibilité de venir dire clairement avant la
fin des élections, qu’il s’agissait en effet d’un “Contre-coup“ de la part des
Agences de Renseignement américaines.
Et à présent nous
sommes en attente de la suite : est-ce
que Hillary, Obama, Georges Soros vont faire encore plus de grabuge, ou
bien alors ils [les Agences de renseignement américaines, qui] font savoir
qu’ils divulgueront davantage de choses (au sujet de Hillary Clinton, John Kerry, et d’autres gens au sein du CFR, ayant
approvisionné l’EIIL/Al Qaida depuis
quatre ans, et au sujet de tous les
gens qui ont été pris à œuvrer pour faire gagner l’EIIL, à leur donner du renseignement), de
la part de nos militaires qui savent ce qu’il s’est passé : toutes ces
choses vont être divulguées : trafic de narcotiques, blanchiment
d’argent, 30 ans d’implication des Clinton qui ont touché de l’argent [payroll]
des communistes chinois, du temps où il travaillait pour [2’20’’ le scandale] Chinacom
& Cie. Donc tout ceci va sortir au sein du parti Démocrate[4] :
vous voulez que ça sorte, ça va sortir…
Et l’Etablissement
[l’appareil du parti] Républicain est tout aussi mauvais : ils essaient de
bloquer Trump, Paul Ryan[5]
le porte-parole [speaker of the House]
et les autres, disant qu’« on a besoin d’être plus fort contre les
Russes, parce qu’ils semblent avoir aidé Trump ». Ces gens sont
vraiment les pires ordures et traîtres possibles.
Tout ceci rejoint tout à fait ce qu’ont dit le Colonel
Shaeffer, le Doc. Pieczenik, Tosh Plumley et tous les autres auxquels j’ai pu
parler en aparté, y compris les généraux que Trump est en train de promouvoir
en ce moment même.
Et aussi ce qu’avait dit Seymour
Hersh qui a fait sortir les infos il y a un an de cela[6],
afin de donner de l’audience à tout cela dans les autres médias importants,
pour dire : « ça c’est de l’information précise » : la seule opération russe qui s’est
déployée, ce fut celle de nos propres militaires : avec le Chef d’Etat-Major
[Gen. Ray Odierno] qui
a aussi dit [qu’Obama a laissé laissé l’EIIL gagner en puissance [run wild][7],
donc Obama a fait comme si il n’avait
pas agi mal à ce sujet-là, mais tout en essayant de saboter autant qu’il le
pouvait [l’action contre l’EIIL]. C’est sorti à présent, le NYT[8],
rappelant ce qu’avait dit le CFR : « pourquoi
nous avons besoin d’Al Qaïda ? »[9],
le problème c’est qu’il fut exposé en public qu’il s’agissait bien d’Al Qaïda,
c’est pourquoi ils ont changé le nom en “EIIL“.
Donc : [rappel
du CV de Pieczenik] : ancien chef de guerre psychologique pour de multiples
Agences [de Renseignement], auteur de livres à succès en coopération avec Tom
Clancy et d’autres, consultant pour des films hollywoodiens diverses, c’est le Dr. Pieczenik, un érudit qui s’est
réellement démené notamment depuis six ans [mai 2011] pour nous faire
comprendre l’involution de l’Etat, les manœuvres des mondialistes partout dans
le monde, et il fut le premier que j’ai pu entendre qui ait été à ce point
optimiste : et [nous comprenons pourquoi avec ce qui] se déroule en
effet aujourd’hui même : il s’agit d’un réel tournant aujourd’hui :
l’établissement mentalement malade comme
George Soros doit juste s’en aller, nous ne voulons pas avoir à faire
sortir toutes ces choses, je ne suis qu’un citoyen moyen ici, mais il s’agit de
ne pas s’intéresser uniquement football et au base-ball : vous voyez les
Agences aujourd’hui, la police, le FBI, les militaires, qui se mobilisent,
ce n’est pas grave que la moitié du public s’en désintéresse en partie, j’en
suis navré, mais le public qui réfléchit
comprend ce que nous vivons…
Donc le Dr.
Pieczenik : psychiatre, Docteur médical, du MIT de Harvard, impliqué dans
des opérations sous couverture, fondateur des Delta Force avec le général Boykin, Shoomaker, et d’autres parmi mes grosses sources
militaires me parlaient de Pieczenik comme quelqu’un de sérieux, une
« rock star » dans le milieu. Il n’aime pas que je rappelle son
pedigree, mais il aime venir nous parler des enjeux qui connaît bien… [par
comparaison] j’aurais dû avoir Chuck Yaeger à
l’émission, il y a quelque chose comme deux ans de cela, j’ai eu des contacts
avec sa famille, il vit à Houston (Texas), ils m’ont dit que Chuck aimait mon
émission, j’ai dit « pourquoi pas ? », il voulait parler de
certains problèmes sérieux, mais ensuite son avocat s’en est mêlé… Mais qui
donc sait qui est Chuck Yaeger aujourd’hui ? C’est qu’il était impliqué
durant la Seconde Guerre mondiale puis [les essais aéronautiques ensuite]… Mais
là quelqu’un comme Pieczenik, est
beaucoup plus excitant, quelqu’un de multirôle, qui s’est assis pour fumer
des cigarettes Castro, c’était en 1957 pour la CIA, je veux dire : ça c’est
cool !
OK, il s’agit tout
de même d’une somme épique d’éléments, je ne connais pas encore vos vues
particulières sur ce tout ceci [actualité, début janvier 2017]
AJ : [présentation
de SP] depuis votre perspective, vos sources, et où nous en sommes dans ce
Contre-Coup [d’Etat, qui fut annoncé auparavant, pour mettre en échec
le Coup d’Etat subtil d’Hillary Clinton et des mauvais intérêts derrière elle]
initié par les agences de renseignement et par le peuple américain contre le
système mondialiste de détournement [de la nation américaine] ?
SP : oui,
pour l’énoncer sans détours, [votre résumé] est assez juste/précis. Rappelez-vous je suis un citoyen américain,
un vétéran avant tout préoccupé par [le détournement de] notre pays comme je le
dis auparavant : ça aréellement commencé avec le 11 septembre 2001, ça a
été une continuité entre [Bill] Clinton, Bush Jr. et Obama.
Obama est arrivé
en tant que candidat issu de la discrimination positive [affirmative action], créé par la CIA comme je l’ai dit à plusieurs
reprises : il n’a eu aucune expérience, aucune réalisation personnelle, et n’a
absolument rien créé d’autre qu’un désastre partout dans le monde.
Les gens qui travaillent avec moi discrètement, ces
gens qui ont été capables de comprendre l’intégrité de la République, ont été
primordiaux :
ils m’ont permis d’annoncer que nous étions en train de mettre en place un Contre-coup :
nous avons attendu d’Hillary [nous avons
tendu une embuscade à Hillary pour] qu’elle fasse exactement ce qu’elle a fait.
Je l’avais dit depuis le début que Hillary était loin d’être aussi brillante
que tout le monde le pensait, pas plus que ses conseillers. Une fois
qu’elle est tombée dans le piège, que nous avions mis en place et vous aussi
[Alex Jones/Infowars ont fait partie du piège], quand je vous ai dit qu’elle n’était pas compétente, qu’elle n’avait
réellement aucune idée de ce qu’elle était en train de faire, qu’elle n’était
ni physiquement ni mentalement capable de devenir la Présidente des États-Unis,
elle a tenté de s’en prendre à vous. Et c’était exactement ce que nous
avions espéré qu’il se passerait : ce qui était réellement stupide [de sa
part], c’était réellement d’en venir à dire que « Alex Jones (et les gens derrière lui, comme moi [Pieczenik] et
d’autres) [ose remettre en question la
vérité officielle… »][10]
AJ : …
exactement, c’était exactement notre but
et je n’ai pas pu le croire qu’ils soient tombés dans le panneau !
[2 :28]
SP : … mais
ils ont fait, Alex ! Et dans le monde du Renseignement, très franchement,
c’est assez pathétique. C’est ce que nous appelons un « jump shot » [tir en suspension au
Basket] : ce fut la chose la plus facile au monde, mais le plus important
dans cela, c’est que les gens avec
lesquels je traite (rappelez-vous que je n’ai pas été payé, que je ne
représente pas une organisation officielle, je suis exactement un citoyen des
États-Unis, aussi simplement que vous puissiez vous le représenter), m’ont donné l’autorisation d’aller de
l’avant pour dire : « ok, nous
allons faire fuiter des e-mails qui sont pertinents concernant Hillary, Comey, la CIA, et tout un groupe
d’individus qui vont être compromis et j’ai dit cela avant que cela ne se
réalise ».
Les Russes n’étaient pas impliqués dans cela[11], Poutine a bien
d’autres choses à faire plutôt que de se mêler de notre élection : il n’avait
rien à voir avec tout ça, et en fait tout ceci a été complètement
créé par ceux d’entre nous qui ont voulu voir restaurer l’intégrité de la République.
Et
Trump est arrivé dans cela en tant qu’une nouvelle voie [un nouveau vecteur]
pour la République, et face aux gens qui étaient impliqués dans toute
un ensemble de chicaneries. Et comme vous les voyez à présent, c’est quelque
chose qu’aucun autre Président n’a fait : il a littéralement
clarifié/nettoyé la Républicains qui tentaient de se débarrasser d’un Comité Ethique[12].
Venons-en à
présent à Julian
Assange : je ne le connais pas, je ne l’ai jamais rencontré, mais je
vous dirai qu’il est un patriote de ce
pays : il a permis à un grand
nombre de ses services [Wikileaks] d’être accessible pour ces gens avec
lesquels j’ai eu à traiter, et qui étaient préoccupés comme je l’étais
moi-même. Et il a été en ce sens le point de rencontre/canal[13].
Donc quand il a dit de manière répétée que les Russes n’étaient pas impliqués,
et qu’aucun parti (Républicain ou Démocrate) n’était non plus impliqué,
comprenez ses mots comme une garantie.
À présent, j’ai pu
arriver dans votre émission il y a quelques semaines [avant la fin des
élections] pour dire : « regardez : Hillary et les démocrates
ont créé un Coup [d’Etat], appelé un coup [d’Etat] civil, et à notre tour nous
avons, nous (tout un parti de gens
impliqués/concernés/préoccupés [Renseignement notamment militaire et Armée en
tête]) avons mis en place un Contre-coup ». Et comment cela s’est passé ? Ce fut une surprise
pour beaucoup de gens : ça a été une fuite organisée de tous ses
e-mails, vers vous et vers tout le pays, mais rappelez-vous : vous [Infowars] avez
été le fer de lance de beaucoup de ce qu’il s’est passé. Je sais
que vous [Alex Jones] n’aimez pas être encensé, mais c’est vrai : votre
émission et votre voix ont été un élément important à fin de constituer le fer de lance de notre mécontentement et
de notre colère, à travers quelque
chose qui s’est avérée constructif, et la
partie constructive consistait à se débarrasser de la corruption au sein de la
CIA, dans la Communauté du Renseignement, la corruption du DNI, la corruption du secteur
civil et la corruption au Congrès, et des candidats qui étaient en lice.
Tout ceci a pu se dérouler. À présent, ce que nous attendons, c’est que Trump transforme ses mots en actes.
[pause 5 :27 :
concernant les fuites contre Hillary, les éléments sont devenus tellement
compromettants, notamment quant à ses liens avec la Chine, qu’Hillary Clinton
& consorts ont tenté dans ce cas de contrôler la presse, de créer l’Omerta
pour ne pas que ça aille plus loin. Également concernant la santé d’Hillary
Clinton, ces absences, ses chutes… mélange de paranoïa et de contrôle maniaque.
À présent selon les sources d’Alex Jones, des négociations ont lieu en
coulisses pour faire comprendre à Obama et à son ancienne équipe de lâcher
l’affaire sans heurts, sinon les révélations via WikiLeaks continueront[14]…
Trump n’est pas directement impliqué mais il ne sait, et face à lui toute une
dynamique de multiples sabotages se met en place[15]].
SP : vous
avez certainement raison, je ne désapprouve pas. Mais qu’est-ce que
l’incompétence ? quand vous êtes incompétent… comme Hillary, et ceux qui
l’entourent, et [George] Soros lui-même : ceux que l’on appelle les […5 :47], ces juifs
travaillant avec les nazis… vous obtenez ce genre de gens à l’arrivée. Nous ne
sommes pas préoccupés, par ce qu’ils ont déjà été éviscérés, et quand je dis
éviscérés [subjugués/dominés], je sous-entends à la fois intellectuellement,
émotionnellement, l’entier 5 :58
[…] est inexistant, littéralement ils n’ont plus aucun recours, ils
peuvent faire ce qu’ils veulent mais à ce point où nous en sommes…
[par exemple]} Trump
a parlé à Monsieur Slim qui possède le New York Times[16].
Ce qu’il s’est passé après cette réunion, c’est que le New York Times a mis en accusation et condamné [indicted and convicted] cette Administration [Obama] pour les suppressions sévères qui ont ciblé à
répétition les écrivains et les “fuiteurs“ [leakers
- gens responsables des fuites][17].
En d’autres termes, ce qu’il s’est passé c’est que le New York Times lui-même
fustigé Obama et Hillary, et le groupe entier [de leurs
conseillers] pour dire qu’ils ont
poursuivi davantage de journalistes que toutes les administrations précédentes ;
et le fait qu’il se soit agi [pour l’écrire dans le New York Times] d’un ancien éditeur du Washington Post qui fut
impliqué dans le Watergate à l’époque, pour dire que cette administration
[Obama] était bien plus pire que Nixon, [est révélateur]…
Donc ce que vous voyez là sous vos yeux, c’est une
contre-attaque de chacun de ces éléments qui ont été ciblés [par les
révélations du New York Times], qui tentent de s’en prendre au New York Times,
au Washington Post et à Fox (remarquez qu’à présent, Megan Kelly va aller on ne
sait où, chez NBC ou ailleurs…[18]),
mais en fait ils [Obama, Hillary et leurs conseillers] ne sont plus pertinents
[sont complètement hors-jeu].
L’enjeu le plus
important,
c’est que nous ayons pu émerger en travers de tout ça, et vous l’avez dit,
c’est le fait que maintenant nous soyons, que vous soyez [Alex Jones] devenu la
voix principale de ce que l’on appelle les médias alternatifs. Et en réalité, les médias alternatifs sont les médias [au sens étymologique,
medium, les vrais vecteurs/moyens de transmission de l’information], parce que
Internet est devenu notre outil [pour la communauté du Renseignement, afin de mettre hors-jeu ce qui mettait en
danger l’intégrité de la République].
AJ : [coupure]
et c’est la raison pour laquelle ils essaient de nous cibler en nous reprochant
de produire de fausses informations, avec une arrogance de tenter de faire
passer une loi mettant les agences de renseignement au-dessus de la FCC
afin de préserver Obama et Hillary… mais ça ne va pas marcher.
SP : non, de fait Obama n’a pas de légende, nous
l’avons littéralement mis à nu avec toute son absence de crédibilité et de
légitimité,
qu’il n’a jamais eu depuis le tout début, il n’avait ni l’un ni l’autre.
Lorsqu’il est venu dès le début, j’ai dit qu’il s’agit d’un homme qui a été créé par la CIA, John Brennan est tout un autre tas
de crétins [morons], afin de
compenser le fait que l’Agence [la CIA de Brennan] nous a amené jusqu’au 11
septembre 2001, dans lequel ils [Brennan et les néoconservateurs] ont été
impliqués… donc ils [les planificateurs, notamment néoconservateurs] ont pensé qu’un musulman ou un individu
mulâtre, sans arrière-plan sérieux autre que son homosexualité, aurait été
excessivement vulnérable et contrôlable [facile à contrôler pour eux]. Ils
l’ont amené [coopté] dans la place : il n’avait aucun historique
d’accomplissement[réussite] personnel, aucune réalisation dans quoi que ce soit
où que ce soit[19],
à part [d’avoir été sous le mentorat de] Peter Geithner, l’ayant guidé à l’étranger
dans certains postes[20].
[8 :24 « poste » en fin de phrase ?].
La vérité en fait, c’est qu’il [Obama] n’a rien
accompli, le nombre de scandales dans lequel il a été impliqué est phénoménal :
Sandy Hook, le non-sens de la capture Ben Laden, la Libye : il a créé un
tel problème en Libye qu’aujourd’hui nous ne pouvons pas y faire face.
[/17 :17]
AJ : je suis totalement d’accord avec vous mais laissons ce sujet-là pour plus tard,
restant sur la politique intérieure. Avec la presse commençant à évacuer les
épaves de l’ère Obama, mais tout en demeurant loyal à Soros. Avec [Jeff] Bezos
[Amazon], attaquant les soi-disant fausses nouvelles, NSM[BC] nous tirant
dessus à présent… Il semble que la réelle rupture est en train de se passer en
ce moment même, c’est très intéressant…
SP : je sais que vous
n’aimez pas être encensé, mais une fois encore il s’agit d’un enjeu dans lequel
vous et moi avons été impliqué depuis 14 ans : quand vous voyez les
dirigeants prédominants des compagnies de haute technologie, incluant Jeff
Bezos [Amazon], s’asseyant à côté de [à la table des négociations avec] Trump[21],
c’est le baiser de la mort pour quiconque pense qu’ils vont encore pouvoir
attaquer Trump à travers le Washington Post [côté Républicain]. Parallèlement,
Trump est allé voir Carlos Slim, et ce fut le baiser de la mort pour quiconque
du côté Démocrate, à gauche, pensait encore pouvoir utiliser le New York Times
pour attaquer Trump.
Donc Trump est
brillant en termes de stratégie, il est littéralement en train de déjouer et
dévier toute capacité pour les médias PC [Mainstream :
Principaux Courants/Politiquement Corrects]
de l’attaquer avec une crédibilité quelconque[22]. Donc ce qui se
déroule, c’est que grâce à votre
émission, grâce à d’autres médias qui sont en train de devenir l’alternative au
New York Times, au Washington Post, etc… [les médias PC prennent peur,] et du
coup maintenant, ils sont tous en train d’attaquer Obama : pour la première
fois que je lis [dans ces journaux] qu’ils attaquent Obama, le qualifiant de
pire que Nixon en termes de Watergate [scandales].
AJ : oui, ce
torrent nouveau a débuté il y a une semaine tout au plus…
SP : correct,
c’est exactement vrai [: les médias/firmes multinationales
anti-Trump retournent leur veste]. Donc vous pouvez presque le
calculer à partir des images montrant Trump assis à la table avec telle ou
telle personne, qui va alors être coopté et en effet, que on voit donc que
Basis et Slim ont été cooptés[23].
AJ : le
Washington Post a justement été pris en flagrant délit de faux drapeaux/fausses
nouvelles vendredi dernier, prétendant que les russes allaient prendre le
contrôle du réseau électrique de la côte Ouest [des États-Unis], qui fut
dévoilé par d’autres sites comme Infowars ou Drudge en quelques heures[24],
et l’on a vu que les médias PC ne se défendaient plus les uns les autres en cas
de mensonge, qui tendrait à prouver que des ordres sont donnés en vue de lâcher
certains “mignons“ du Washington Post, car comme nous savons, il n’y a jamais
eu de personnes issues de la CIA au sein du Washington Post [antiphrase
ironique]…
SP : Bien, ils peuvent
avoir des connexions avec la CIA, mais la clé c’est ici que..
AJ : non, je parle des
fondations de gauche et autres officines pourvues en opérationnels [de la CIA].
SP : Je comprends,
mais mon
point c’est que la CIA [dans sa part déviante/subversive] est juste hors-course
[irrelevant] : c’est la raison pour laquelle Mickael Flynn[25]
a été inclus dans la Maison-Blanche, c’est la raison pour laquelle vous allez
avoir un militaire à la CIA [Mike Pompeo[26]],
et vous avez un autre militaire au
Secrétariat [Ministère] à la Défense : il ne s’agit pas pour nous
[les militaires] de nous placer en vue d’aller en guerre, il s’agit simplement
pour nous [les militaires] de stopper ce non-sens consistant pour des civils
qui n’ont jamais été à la guerre, de créer pourtant toujours plus de
guerres : il s’agit pour nous de nous assurer qu’il soient neutralisés.
AJ : Exactement,
et face à cela nous avons tout un tas de
gens “branchés“ essayant de jouer la carte de la guerre, et qui ont détruit le
pays à l’occasion de ce procédé.
SP : Correct.
À présent vous avez compris. C’est
exactement ce qu’il s’est passé avec Bill Clinton, avec Bush Jr. : la
discrimination positive fondée sur la stupidité et la gabegie [spoilage], un gars qui n’avait aucune idée de ce qu’il faisait, qui a attaqué
notre propre pays pour aller en guerre en Irak, qui fut un désastre.
À présent nous avons eu un plus gros
désastre encore : Obama qui n’a
eu aucune idée de quoi faire avec un demi-million de gens qu’il a contribués à
tuer en Syrie[27],
et 1 million de réfugiés qu’il a créé par son
inaction et son incapacité à penser stratégiquement et tactiquement. Ceci
constitue une mise en examen de Obama et [du personnel] de sa Maison-Blanche.
Ce fut une répétition de l’épisode inepte [de Bush Jr.] qui se révéla être une
discrimination positive : Susan Rice : elle est
noire, Valery Jarrett,
elle est noire. Dès lors que vous avez déjà discrimination positive, que cela soit
sur le fondement de la couleur de peau ou de quoi que ce soit d’autre, vous
mitigez/transigez sur le vrai enjeu qui est celui de la compétence.
AJ : ça revient à du népotisme
SP : Ce n’est pas
uniquement du népotisme…
AJ : C’est du
népotisme si vous prenez Bush Jr ou autre : ils sont objectivement des
idiots…
SP : Correct, mais
quand vous avez ce type de népotisme, et que vous avez ce type de discrimination
positive [affirmative action], que vous pouvez tout autant appeler du
népotisme, quand être une femme devient plus important que cette question de la
compétence, alors vous perdez/ruinez la crédibilité de la République. Et c’est
contre cela que je me suis battu et contre lesquels vous vous êtes battus, et
contre quoi nos militaires se sont battus. Pourquoi les militaires ? Parce qu’à l’instar des médecins, les militaires sont socialisés de manière
à être une profession, dans laquelle vous ne pouvez pas faire de fautes : vous
ne pouvez tout simplement pas envoyer cavalièrement des gens en guerre, où ils
peuvent mourir[28].
Vous avez un homme
comme James
Mattis qui est surnommé “chien fou
[Mad Dog]“, mais en fait il a été plus loin intellectuellement qu’aucun
Secrétaire à la Défense que nous avons eue précédemment. C’est complètement
absurde. Quand vous pensez à Robert Gates ou |William
Sebastian] Cohen [1997-2001] ou [Donald
Henry] Rumsfeld : c’était des
abrutis, des individus pathétiques, qui ont travaillé d’une façon qui relève de
l’entregent/entremise[29],
et ensuite ils ont obtenu le boulot par ce qu’ils étaient du côté opposé, et
qu’ils ont joué des coudes avec la capacité d’entremetteurs. Ces gens ne
fonctionnent que sur l’avidité/l’entregent/le carnet d’adresses [pandering] qui
est demandé à notre époque aux politiciens, et cette époque touche à sa fin.
Je vais faire une
autre prédiction : du fait d’Internet, nous allons développer notre pouvoir
vis-à-vis du gouvernement fédéral, davantage de pouvoir va revenir aux Etats
fédérés et aux Comtés [Counties], et nous allons commencer à éliminer/juguler
le besoin de Sénateurs et de députés du Congrès : ils nous ont fait perdre
notre argent, notre temps, et en fait sont devenus un obstacle à la bonne
marche du Gouvernement…
AJ : ils se sont
comportés comme des tsars…
SP : correct, ou alors
j’appelle ça une garderie [nursing home] pour ceux qui ne sont plus
capables de travailler nulle part ailleurs : ils [les Députés/Sénateurs] sont devenus pathétiques, et ceci qu’ils
soient Républicains ou Démocrates. Vous avez des gens comme James McDermott que j’ai
d’ailleurs recruté quand j’étais psychiatre pour enfants et adultes : [cet
homme est] un total désastre quand je l’ai amené dans ce domaine, un complet
désastre [lorsqu’il a exercé] à son office médical de psychiatre régional. Mais
néanmoins il fut élu [coopté] à travers la corporation
Boeing, pour l’État de Washington.
AJ : laissez-moi vous poser une
question […] je suis d’accord que nous faisons jusqu’à présent du bon boulot…
mais il y a tant à faire en ce moment, regardez simplement l’état du parti
/l’Etablissement [Establishment] Républicain/Démocrate,
[23 :30], des
sortes de clubs de campagne dans lesquels ils se font dérouler le tapis rouge
dans un festival d’arrogance de narcissisme, promouvant dose des idées
anti-russe ou anti marché-libre [se faisant payer pour faire le jeu des
monopoles], copinage et Cie… je ne pense
pas que Trump sorte du bois sur tous les sujets [en même temps], il y a aussi
un moment [de l’action, au sens cinétique comme temporel] car nous vivons des
temps dangereux.
SP : Je suis d’accord
avec vous, mais ce que Trump comprend et ce que Obama a fait avant lui, c’est en fait
que les Ordres Exécutifs [du Président] vont de fait
court-circuiter/obvier le besoin de l’action du Congrès. Si les
Républicains n’entrent pas en lice, avec Trump, ils vont perdre et ils seront cooptés
[par d’autres intérêts].
AJ : ça constitue de
fait une agression contre le pays, et le Congrès de le savoir : concept
mauvaises personnes corrompues commencent à manœuvrer [pour saboter], ça va
pouvoir être utilisé contre eux en retour… Nous ne non pas les laisser nous
stopper dans cette dynamique pour faire redevenir ce pays grand à nouveau.
SP : Correct, mais souvenez-vous : ce que Trump a
fait, c’est d’amener Miss [Elaine
Lan] Chao, qui est la femme de Mitch McConnell, ce
qui donne un avertissement à Mitch McConnell : « nettoyez vos acteurs
ou dégagez ». Et Trump a fait ceci clairement : « ou bien vous êtes/montez en ligne avec lui
[McConnel avec Trump], ou bien vous sortez du jeu et ne serez impliqué dans
rien… ».
AJ : Et concernant Paul Ryan, il persifle
encore, où en est-t’on ?
SP : Paul Ryan n’est rien d’autre qu’un
politicien qui n’a rien à faire et qui n’a jamais créé une affaire… n’a
jamais rien fait d’utile…
[…]
AJ : il est gratifiant
de voir, depuis notre perspective, comme des gens intelligents et impliqués
nous donnaient une vue d’ensemble de la situation, un large spectre nous
permettant de comprendre la vérité. Des pans malades mentalement, bouffis de
leur importance artificiellement donnée par les médias… On l’a vu clairement
avec Hillary Clinton devenant plus laides à mesure qu’elle perdait la bataille,
comme une sorcière. Donc le succès d’Infowars [des médias alternatifs] a donc
été de marteler la vérité, allant à l’encontre des narratifs artificiels
délirants. Et ça, ça a vraiment été la force de cette émission, d’avoir pu
accueillir les membres du Renseignement, de la police, des militaires… on a bien
vu des attaques contre ces lanceurs d’alerte, mais le public n’a pas suivi
(parce qu’en partie réinformés par les médias alternatifs]. Ça a été comme une
première vague de gens réinformés, tentant d’en convaincre d’autres… pour
retrouver la prospérité… […] qui doit en remercier d’autres ?
SP : Je veux vous
remercier : vous avez été très modestes au sujet de votre capacité. Mais
la réalité c’est que dans mon monde, quand j’ai essayé d’accéder à la radio
après le 11 septembre 2001, il y a eu un unique homme qui a eu le courage d’y
aller, et c’est un simple mot que ce courage, et cet homme ce fut Alex Jones,
et il s’agissait de votre audience : votre
audience a été phénoménale partout de par le monde : j’obtiens des
réponses d’Australie d’Angleterre ou de partout ailleurs : ce sont des
gens merveilleux mais souvenez-vous : un moment de courage peut mettre à bas
tant d’Administrations [Gouvernements] et tant de problèmes que vous ne pouvez
pas sous-estimer ce que vous avez fait.
À présent, je ne
veux pas appeler ceci une victoire parce qu’il n’y a pas de victoire…
AJ : comme je l’ai dit
il
s’agit d’une continuité/d’un continuum
SP : c’est un
continuum exactement, c’est correct, Alex : un continuum fait de notre
lutte continuelle afin de clarifier et nettoyer ce qui est un vrai bordel
aujourd’hui, et d’utiliser le dernier outil que vous utilisez, que Trump a
utilisé, et que les Américains peuvent facilement comprendre : les médias
sociaux.
À présent, nous
allons être dans un monde plus gros, nous affectons/faisons face au Brexit, que
je vous avais annoncé à l’avance…
AJ : reparlez-nous
avant tout ici de la situation en termes de changement de régime aux
États-Unis, l’état de la situation des États-Unis.
[…]
SP : Je pense que ce que Trump doit faire à
présent, c’est de s’assurer que les gens qu’il place dans toutes les
institutions, soient réellement sélectionnés avec rigueur [“vetted out“]. Qu’est-ce que je veux dire
par cela ? Pour bon nombre d’entre nous, et à l’émission d’Alex Jones, et
au sein du mouvement des lanceurs d’alerte/chercheurs de vérité [Truthers /
Vériteurs] : nous pouvons voir une réapparition de ceux qui ont été et sont des
néoconservateurs, en particulier : John Bolton, Elliot Abrahams, Paul
Wolfowitz, Richard Perle, David Wurm, et tout un tas de personnes ce ne sont que
des sycophantes et au fond, se rassemblent autour de Washington et Trump, et
essayent d’expliquer dans quelle mesure en fait ils n’ont pas vraiment fait de
choses mal pour le pays, qu’ils n’ont servi, et qu’ils sont essentiels à la
bonne marche de notre Gouvernement. Ce n’est pas vrai.
Trump a besoin de
nettoyer l’entière zone des néoconservateurs, ce que Mike Flynn comprend, ce
que James Matthis comprend aussi. Et Trump doit nettoyer cela parce qu’ils sont
dangereux pour notre République : ces gens sont les mêmes personnes qui
n’ont jamais été tenues pour responsables le 11 septembre 2001, ou bien l’ordre
de ne pas intervenir [Stand Down]. Voilà la première chose.
La seconde
chose : le General James Mattis, [32 :00] doit
réellement se positionner à grands pas en fonction des idoles dont il veut
suivre l’exemple, et c’est également mon idole : le général George
Marshall : lorsqu’il est arrivé avant la Seconde Guerre mondiale, il a
évincé trois ou 400 généraux et amiraux par ce qu’il avait besoin d’une nouvelle équipe de commandement, comme ce colonel à la
retraite de 59 ans du nom de Dwight Eisenhower, qui est sorti pour prendre la
tête du EUROCOM [Commandement des forces armées américaines en Europe] :
il avait une sage compréhension de qui
étaient les gens talentueux. Il s’agit du même cas que James Mattis va
avoir à résoudre : nettoyer le Pentagone : nous avons un
ratio effectifs combattants/effectifs non combattants [“teeth to tail ratio“] de 1 pour 1 (un
combattant pour un non combattant de l’armée), ce qui n’est pas acceptable. Ce
que cela signifie, c’est que nous avons un
bureaucrate pour un combattant, du jamais vu dans l’histoire militaire
américaine. Nous avons besoin d’un ratio d’environ 15-20/1, en d’autres mots : il s’agit de se
débarrasser du demi voire trois quart de million de bureaucrates, et nous
devons promouvoir les jeunes lieutenants et capitaines en position de pouvoir,
de commandement et de contrôle [command-and-control].
Deuxièmement :
le problème constitué par l’EEIL ou AL
QUaida doit être résolu très vite : non pas sur le champ de
bataille mais avant tout chez nous : ceux qui l’ont créée, pour les nommer
la CIA et consorts, et les civils qui ont été impliqués, doivent être tenu pour
responsables de tout cela. Ce n’est pas [l’EIIL/Al Qaida] un ennemi
qui est né de nulle part : il s’agit d’un ennemi qui a été créé par notre
propre CIA, par notre propre Communauté du Renseignement, avec recours à des
mercenaires armés[30].
Si
nous ne nettoyons pas tout cela, ceci va constituer un chef d’accusation/une
mise en examen contre notre République américaine : le problème va au-delà de la question de
bombarder ces gens : vous ne pouvez pas bombarder seulement la terreur.
Mais vous pouvez [engager] la responsabilité des
responsables : John Kerry est responsable, Hillary Clinton est responsable,
Obama est responsable, John Brennan est responsable, et la liste continue
encore et encore...
Si nous ne tenons aucun de ses personnages pour
responsables, nous allons répéter à nouveau les méfaits, négligences des
Administrations Clinton et Bush Jr.
Nous devons avoir un Comité pour un
procès militaire [War Trial
Committee] qui doit être mis en place, tout à fait comparable à ce qui a
été fait après l’Apartheid : ce
Comité pour un procès militaire doit être un élément de réconciliation mais il
doit amener devant lui tous ces gens
qui ont été responsables du 11 septembre 2001 : Bush Jr, Cheney, Rumsfeld,
Condoleeza Rice…
Une fois que nous
aurons exposé cela devant le public Américain, mais aussi devant le monde
entier, les musulmans du monde vont voir que nous traitons tout le monde avec
une justice égale, mais aussi longtemps que nous continuons à jouer les
ambassadeurs juifs pour Israël, ça ne marchera pas.
Ce n’est pas un
accident que la seule fois que nous avons connu du succès avec Israël, et un
pays musulman, ce fut sous Jimmy Carter : premièrement parce qu’il n’était
pas juif, deuxièmement parce qu’il était un homme très brillant qui a eu la
volonté de risquer son capital [de crédibilité] politique pour réunir les deux
camps ensemble et aboutir aux accords de Camp David ; troisièmement ce fut
le fait que nous ayons eu Stanfield Turner, qui fut directeur de la CIA [de 1977 à
1981], un militaire d’ailleurs arrivé premier à Annapolis [Académie Navale - United States Naval Academy - USNA], nous fûmes capables d’aboutir à
un Traité qui Dieu le sait, a duré pour 40 ou 50 ans.
[En comparant]
avec John Kerry : nous avons un individu qui État idiot de la CIA labellisé
“Skull & Bones“[31],
littéralement un homme qui n’a jamais été très brillant…
AJ : Kerry
n’a jamais été très brillant, mais surtout il a des tics nerveux de la langue
qui font penser à des troubles mentaux/neurologiques… en tant que médecin et
psychiatre, que pouvez-vous nous en dire ?
SP : Je ne
peux pas vous dire grand chose au sujet de ses mouvements de langue, mais je
peux vous dire beaucoup au sujet de son narcissisme, depuis l’époque où nous
l’avons ramassé dans l’Administration Nixon puis dans les Administrations
subséquentes, et quand il est allé au Vietnam, et a amené avec lui une preuve
filmée, et ceci était complètement hors de propos[32]...
[un tel point que] nous ne pouvions croire ce qu’il [prétendait y] avoir fait :
AJ : ce sont
des photos qui ressemblent au canon d‘une arme
SP : non
AJ : fondamentalement il est un individu
pathétique complètement bête : Il
fut un juif, dont le père était un juif qui se sont créés un genre de nom venu
d’Irlande mais il est typique de ces
politiciens qui ont joué des années durant avec les dollars des contribuables
afin d’arriver en jouant des coudes jusqu’à la position de Secrétaire d’État.
En tant que Secrétaire d’État, il a accompli très peu de choses : le
Traité avec l’Iran fut quelque chose que nous voulions, nous les militaires,
uniquement parce que nous avions besoin de contrebalancer l’Arabie Saoudite.
Le traité en lui-même et ses
dispositions doit être réexaminé, et bien sûr le montant en argent qui a été
dépensé pour les otages, se chiffrant en milliards de dollars… de cela [John Kerry] doit être tenu pour
responsable.
Donc, nous devons
revenir à chacune des Administrations précédentes, et tenir des audiences
publiques comme nous avons eu en Afrique du Sud : ce que nous avons fait de
mal, comment avons-nous fait ces choses mal, et ceci est vrai pour Obama, pour
Bush Jr., et ensuite nous pourrons procéder en tant qu’un pays [digne], en tant
que la première Superpuissance [du monde] que nous sommes et que nous pouvons
continuer à être.
AJ : car nous perdons
notre aura de puissance bienveillante [“soft power“].
SP : Il ne s’agit pas uniquement
d’un pouvoir doux [soft power] : dans mon monde, les corruptions sont bien plus
létales qu’aucune arme [en termes d’influence et de crédibilité].
AJ : bien sûr. Mais
revenons à Hillary Clinton, avec un certain nombre de Chinois sous uniforme ou
sans uniforme, évoquant leurs liens durant les années 1990... est-ce uniquement
une affaire d’argent, ou bien est-elle en quelque sorte une agente
chinoise ?
SP : je ne sais pas si
elle est un agent, je ne pense pas qu’elle soit à ce point [intelligente]… elle est en fait tellement autocentrée sur
elle-même qu’elle prendrait de l’argent de n’importe qui, n’importe où, et s’en
accommoderait…
AJ : et candide vous
en tant que psychiatre, de quelqu’un qui vole par exemple des meubles partout
où elle va… ?
SP : vous savez, elle
est une femme qui a eu de nombreux problèmes psychologiques, incluant le fait
que son père était… je ne veux pas aller plus loin et développer son histoire,
mais son histoire est assez évidente pour quiconque, en termes de kleptocratie, sa capacité à voler à
créer la collusion, la cooptation, et sa totale incapacité à penser réellement
les choses en termes de résolution des problèmes, ou d’élaborer une stratégie
qui conviendrait à la Nation, non pas uniquement à elle-même. Et elle-même, ses propres idées
de référence sont une défaillance dans son costume, de même que pour Bill Clinton qui a contribué à sa chute.
Je veux dire qu’il s’agit probablement de la preuve la plus évidente et je l’ai
dit de façon répétée, et je les ai avertis, que Bill Clinton contribuerait à
saper sa campagne, et comment l’a-t-il fait ? Il s’est frayé un chemin vers
l’avion de Loretta Lynch, et a passé 15-20 minutes auprès d’elle[33].
AJ : oui, elle l’a dit
qu’elle regrettait, parce que c’était illégal[34]…
[collusion/trafic d’influence].
SP : bien sûr que
c’est illégal ! Mais c’était Bill Clinton dans ce qu’il peut avoir de plus
fin [ironie] ! Il ne pouvait pas ne
pas se mêler des affaires de sa femme, il ne pouvait pas ne pas se mêler
des affaires du pays : c’était Bill Clinton, et j’avais prédit qu’il ferait quelque chose qui saperais sa campagne
[à Hillary].
AJ : et il l’a
fait !
SP : il l’a
fait ! Il n’a pas pu se retenir ! […] Mais voyez-vous, Bill est sa propre création : il n’est pas un homme de réussite, de
vrais accomplissements, il est fondamentalement un homme dispensant des
mensonges mielleux depuis son Arkansas[35],
et il fut placé là par Sam Walton qui avait été un membre de la Communauté du
Renseignement, en charge du rapatriement des Italiens et Irlandais dans des
camps, que nous avions aux États-Unis[36].
Mais le fait est
que Walton [PDG de Walmart]
est un déversoir bien pratique pour l’expansion chinoise ou au fond [pour la camelote chinoise]…
[sous-entendu : il serait logique que la corruption chinoise passe par les
Clinton pour faciliter la pénétration du marché américain vient Walmart]
AJ : en fait on [Kissinger] a lancé ça dans une les années
1970, et maintenant on voit ce que ça a causé [comme dégâts pour les emplois
américains][37].
SP : Exact. Et vous
devez vous souvenir que Sam Walton
n’était pas ce doux innocent américain : il fut un opérationnel du Renseignement
très sophistiqué, je crois qu’il était capitaine à cette époque, durant la
deuxième guerre mondiale, tandis qu’il était en charge des camps de
concentration italiens et autres étrangers, mais pas des Japonais. Et il est resté au pouvoir [au sein du Renseignement
américain] et y a bâti [son réseau/ses affaires] par le moyen de la corruption,
et des négociations libres avec les Chinois, et à travers les banques qui
étaient au-delà [sans lequel les transactions n’auraient pas pu être possibles].
Je que ce n’était pas uniquement Hillary
qui était compromise : dès les années 1980, nous avions l’épreuve que Bill
Clinton a été compromis vis-à-vis des Chinois, que Al Gore avait reçu de
l’argent, Hillary aussi…
AJ : et de la même manière qu’ils ont donné les
secrets des missiles… qu’ils ont donné les réacteurs à la Corée du Nord avec
lesquels ils font des bombes…
SP : parce
que s’ils veulent aussi créer de la tension stratégique, contre laquelle nous
les Américains, allons avoir à nous confronter et fondamentalement, financer le
complexe militaro-industriel : il s’agit là d’un concept obsolète,
développé par Kissinger avec tout un groupe d’autres personnes : nous n’avons
pas besoin de cette tension de stratégique [pour justifier l’existence du
complexe militaro-industriel]…
AJ : oui et ce
faisant, nous leur donnons [aux Chinois/à la Corée-du-Nord] trop d’importance
stratégique, une importance stratégique qu’ils n’ont pas. Il clame qu’il s’agit
de tension stratégique, en fait ils ne font que vendre leur âme…
SP : laissez-moi être franc : la Chine est assise
au bord d’un précipice très dangereux.
AJ : mais je le sais,
j’en ai assez de leur arrogance, que vont-ils faire de cette bombe à
retardement hérité de l’ère Obama ?
SP : parce que c’est
une réponse : il faut comprendre le « complexe de l’Empire du
milieu » : on ne vient vers la Chine en suppliant, mais pas en tant
que maître[38]. Or nous sommes venus de manière répétée vers
la Chine en disant : « nous voulons que vous fassiez cela » [comme
des maîtres]. En retour les Chinois ont réagi à cela. Mais les Chinois ont des
problèmes majeurs en termes de corruption, une majeure instabilité fiscale, une
énorme fuite de capitaux…
AJ : et fuite des
cerveaux…
SP : correct. Et pas
uniquement : il s’agit aussi du
fait qu’il n’y a plus de dollars là-bas : ils sont en train de perdre leurs
réserves [de change] à vitesse grand V, et ils peuvent compter et ils ne
peuvent pas compter sur 3000 milliards[39]…
AJ : je suis d’accord,
et c’est pour cela que les grandes banques disent à Trump que les États-Unis
peuvent ordonner n’importe quoi la Chine… et assez franchement la
politique de Trump vis-à-vis de la Chine sera assez bénéfique sur le long
terme : ils vont avoir à se réformer et à stopper le contrôle centralisé.
SP¨ : correct, et c’est
ce qu’a dit Trump à plusieurs reprises (je pense que Michael Flynn et d’autres
étaient derrière mais je suis d’accord avec ça) : « la Corée du Nord, c’est le problème de la Chine. Si vous ne pouvez pas
tenir en main la Corée du Nord, ne venait même pas nous voir : c’est votre
création, c’est votre problème, vous savez exactement »…
AJ : exactement :
« arrêtez d’utiliser ce petit
abruti, nous savons que c’est vous {derrière] ».
SP : oui, le fait est
que ce jeune homme Kim Jung Un, a été entraîné en Suisse, a été en pensionnat
là-bas, parle très bien anglais, il parle aussi français et plusieurs langues,
il aime le basket ball, et il a envoyé/joué de nombreux opérationnels au Canada
et en Europe, qui veulent maintenant changer les choses en Corée du Nord, mais
ce n’est pas [encore] suffisant…
AJ : vous avez été en
mesure d’aller en Corée-du-Nord, vous connaissez ces gens..
SP : voilà je les
connais dans la mesure je l’ai suivi depuis 20-30 ans…
AJ : ils vous ont
laissé sortir du pays…
SP : son grand-père [à
Kim Jung Un] était un homme très important parce qu’il fit faire volte-face à
la Corée du Nord, et [à cette époque la Corée du Nord] fut plus prospères que
la Corée du Sud[40].
Mais quand il partit, et que son fils (le père de Kim Jong Un) [prit le
pouvoir], ce fut une déviation : il avait combattu les Japonais, il était
vraiment un « combattant de la liberté », puis la corruption et le népotisme ont progressivement dégradé la base
financière de la Corée-du-Nord, qui fut alors doublée[41]
par la Corée du Sud et d’autres pays qui étaient habitués à continuer de
travailler.
A présent Kim Jong Un [n’a plus beaucoup de leviers
d’influence autres que l’arme nucléaire] : ça ne va pas marcher, en fait il
est loin d’être capable de délivrer une tête nucléaire sur un missile [MBIC –
ICBM], contrairement à ce que de nombreuses personnes disent, et en fait ce qu’il veut c’est la
reconnaissance, être un État-nation légitime, et il ne va pas l’obtenir si son
seul modus operandi est d’utiliser ces systèmes de missiles. Il ne sera reconnu que s’il démissionne et
permet aux Chinois et à d’autres pays de venir chez lui et de commencer à
inverser le budget de la Corée-du-Nord.
La vraie peur de
la Corée-du-Nord et de la Chine, est que nous les mélangeons ensemble. On d’autres
mots : nous avons été impliqués dans l’amalgame de l’Allemagne de l’Est de
l’Allemagne de l’Ouest : nous n’avons jamais pris en considération le manque
d’intégrité financière et la grande dette des Allemands de l’Est, et après la
réunification, nous avons réalisé qu’il s’agissait d’un drain financier énorme
pour l’Allemagne de l’Ouest. Et la Corée-du-Nord est un problème encore plus
gros : si ils [la Corée-du-Nord]
s’effondre (et nous pouvons faire s’effondrer le système très vite…), la Chine
le sait : il y aura des milliers si ce n’est des centaines de milliers de
Coréens du Nord, qui se répandront…
AJ :
[analogie avec la crise à l’Ouest de la Russie en Ukraine], mais pourquoi
est-ce qu’il agit de façon aussi belliqueuse, est-ce que c’est juste un acte de
confiance [excessive en ses moyens]?
SP : oui,
c’est le modus operandi basique, mais
aussi dans le même temps il essaye de se
rassurer à une époque de transition politique : ils veulent que nous agissions d’une façon qui est différentielle par
rapport aux Chinois, et non différentielle vis-à-vis de Taïwan. Et Trump a
fait ce qu’il fallait faire : en fait il a fait un appel à Taïwan pour dire : « vous pouvez devenir le point de levier d’une
négociation de 30 ans », [une négociation] qui en fait n’est pas allée
très loin. Les Chinois ont plus besoin
de nous que nous n’avons besoin de la Chine : leurs exportations sont à
bon marché et vous pouvez aller [les trouver] chez Walmart. Mais leur
légitimité est un réel problème : il y a en fait deux éléments de leur
problème : le premier, c’est l’eau :
ils n’ont pas d’eau, un demi-milliard de Chinois au nord du fleuve Jaune et du
Yangtse, qui n’ont absolument pas d’eau[42]
; et la deuxième [partie du premier] problème c’est l’énergie. Mais j’ai prédit que s’il doit y avoir une guerre, cette guerre se ferait entre la Chine et
l’Inde par-dessus l’Himalaya [pour l’eau].
Le second élément,
c’est ce dont nous avons parlé : il n’y
a pas d’intégrité financière en Chine. En fait la Chine ne peut pas vous
donner un nombre qui soit valide ni légitime. Ils veulent dire que leur taux de
croissance est fixé à 8 %, je dirais que je n’y crois pas.
AJ : [retour à la
situation aux États-Unis, tentative de modèle de censure à la chinoise pour
cacher la réalité de l’état de la classe politique américaine : Pelosi [chef de file des
démocrates à la Chambre des représentants
depuis 2003] semble dire que tout va bien, et qu’elle va continuer… on a
l’impression d’une classe dirigeante en plein délire entouré de béni-oui-oui
(“yes-men“). Malgré avoir été pris la main dans le sac en faisant voter des
morts en essayant de trafiquer les votes dans les Etats fédérés. Je vois ça
quand quelque chose de très positif [une classe politique qui s’autodétruit], à
condition qu’ils ne nous conduisent pas sur le sentier de la guerre à la
création de leur processus d’auto-illusion/destruction[43].
Ma préoccupation c’est d’achever la conquête du parti Républicain, subjugué les
mondialistes, puis d’aller de l’avant par une avance technologique qui
permettra au tiers-monde de sortir de son sous-développement. Puisqu’à l’opposé
les mondialistes ont décidé que nous allions de tous de voir crever de ce
système inadapté… utilisé comme un modèle de consolidation, qui finira par tuer
tout le monde dans de grandes guerres inutiles. Non, nous devons stabiliser le
Tiers-monde et utiliser l’avance technologique pour cela, colonies spatiales,
systèmes d’extraction…
SP : Le problème avec
le DNC
c’est un problème d’âge : vous avez trois des dirigeants majeurs qui vont
sur leurs 70 ans, et ils ne veulent pas abandonner leur pouvoir : Nancy Pelosi n’a jamais
eu de légitimité contre cela durant ces 30 à 40 dernières années : elle est
venue d’une zone sécurisée de San Francisco ; Steny Hoyer du Maryland,
est un autre problème… Jim Clyburn [ ?] également[44].
Donc le problème réside l’intérieur même du parti démocrate : ou bien ils
nettoient et ils seront revigorés, autrement[45]…
AJ : qu’elles ne vont
pas le faire [c’est ce qu’a dit Pelosi]…
SP : c’est de l’illusion, c’est exactement ce qui
arrive quand vous vous pensez trop important, ce qu’elle [Pelosi] n’es pas.
Mais de leur vie durant ils ont aliéné leurs propres éléments constitutifs, il
n’y a donc plus de parti démocrate. Mais pour ce en quoi nous sommes concernés.
Ce fut le coup final contrecoup final, pour
nous, ce fut de nous débarrasser du parti Démocrate et de le rendre impotent…
AJ : et s’ils continuent
ils prendront encore d’autres coups mais cela fait des dommages au pays alors
nous devons nous débarrasser du cancer, c’était un avertissement…
[1] « How
Trump’s Plan To Build A Wall Is Developing » (Liberty Headlines, 3-1-17) ;
« Obama
Opens the Border to More STDs » (Center
for Immmigration Studies, Février 2016) ; voir aussi la page
facebook : US Illegal
Alien Crime Report ; « ONE
MILLION MORE MUSLIM FREELOADERS TO THE U.S.: The real quid pro quo for rich
Arab donations to the Clinton Foundation » (Zeitgeist, Septembre 2016).
[2] « Benghazi Whistleblower Tells All » (Infowars.com – 26 Octobre 2014,
vidéo ici : « Benghazi
Whistleblower Tosh Plumlee Tells All »).
[3] « Former
British Ambassador Claims Source Of Podesta Leaks "Comes From Within
Washington" » (Zerohedge, 2-11-16) ; « Former
UK Ambassador Says Source Of Clinton Emails Was "Disgusted"
Democratic Whistleblower » (Zerohedge, 14-12-16) ; « WikiLeaks
figure says ‘disgusted’ Democrat leaked Clinton campaign emails »
(Washington Post, 14-12-16) ; « INSIDE
JOB? Ex-British ambassador turned Wikileaks envoy slams CIA theory Russia
hacked Clinton campaign emails claiming sources were ‘disgusted’ members of her
own Democratic party » (The Sun,
15-12-16) ; « EXCLUSIVE:
Ex-British ambassador who is now a WikiLeaks operative claims Russia did NOT
provide Clinton emails - they were handed over to him at a D.C. park by an
intermediary for 'disgusted' Democratic whistleblowers » (Daily Mail, 14-12-16) ; « UK
Ambassador Craig Murray: “I’ve met the person who leaked them [Podesta emails],
not Russian – it’s an insider” » (The
Duran, 12-12-16). Voir aussi « ‘Furious’
German spies frozen out by UK intelligence after ‘leaking to WikiLeaks’ »
(RT, 16-12-16).
[5] « How Ryan
and Trump’s uneasy peace could quickly fall apart », titre changé en
« Ryan Re-Elected Speaker as He Tries to Forge Peace
With Trump » (Reuters, 3-1-17).
[7] « Obama's
Former Army Chief Of Staff Rips Administration's Handling Of ISIS »
(GOP – Site officiel du parti Républicain, 20 mai 2016) ; « Fmr
Obama Army Chief of Staff Odierno: Islamic State Is ‘Expanding,’ ‘I Don’t Know’
What US’ Strategy Is » (Breitbart, 20 mai 2016). Comparer :
« Chief
of staff [de la Maison Blanche]: Obama administration 'historically free of
scandal' » (The Hill, 01/15/17).
[8] « Audio
Reveals What John Kerry Told Syrians Behind Closed Doors ... » (NYT, 30 sept. 2016) ; « Leaked
Kerry Audio Shows Obama Wanted ISIS To Grow in Syria - Trump proven right
about Obama being the founder of ISIS » ( 4-1-2017) ; « leaked
Audio : Obama wanted ISIS to grow » (WND, 2-1-17) ; « leaked
audio : obama wanted ISIS to grow » (Infowars, 3-1-17, vidéo ici).
[9] « Al-Qaeda's
Specter in Syria » (Nice Ed Husain, Adjunct Senior Fellow for Middle
Eastern Studies, 6 août 2012) ; « CFR
Strategist Praises Al-Qaeda Bombings In Syria » (Infowars, 7 août 2012) ; « A
Council on Foreign Relations Love Letter to Al Qaeda » (Activist Post,
11-8-12) ; « Senior CFR official: Free
Syrian Army needs al-Qaeda support Special »
(Digital Times, 27-8-12) ; « Council
on Foreign Relations: Syrian Rebels Need Al-Qaeda Now » (Anti-Media, 3
sept 14) ; « Why We
Need al-Qaeda » (Ahmed Rashid, New
York Review of Books, 15 juin 2015) ; « Accepting
Al Qaeda - The Enemy of the United States' Enemy » ( CFR:
Support Al Qaeda to Defeat ISIS - U.S. "would be better served by keeping
the terrorist organization afloat..." » (Infowars, 11 mars 2015) ; « U.S. Support for Al Qaeda-Linked Rebels Undermines
Syrian Ceasefire »
(Huff Post, 05/21/2016) ;
« The US
and Russia may have just sealed Al Qaeda's fate in Syria » (Business
Insider, 6 Jul 2016).
[10] « Hillary
Clinton Directly Attacks Alex Jones - Alex Jones triggers Hillary
Clinton! » (Infowars, 25-8-16) ;
« Paranoid
Hillary Smears Alex Jones During Conspiracy-Obsessed Rant - Claims Vladimir
Putin is "Godfather" of the 'Alt-Right' » (Infowars, Paul Joseph Watson 25-8-16) ;
« Hillary
Clinton’s alt-right speech, annotated » (Washington Post,
25-8-16) ; « Read
The Full Text Of Hillary Clinton’s Speech On The Alt-Right »
(huffington Post, 25-8-16) ; discours complet de Hillary
Clinton (en réunion politique [meeting] à Reno, Nevada), attaquant
directement Alex Jones concernant les suspicions sujet des attentats du 11
septembre 2001, et d'autres attentats comme Oklahoma City
et Sandy
Hook. Des attentats dont les versions officielles ont été frontalement
remises en cause par Steve Pieczenik. Voir aussi dans le NYT :
« He
Calls Hillary Clinton a ‘Demon.’ Who Is Alex Jones? » (NYT, 13 oct
2016).
[11] « Assange
to Hannity : Source For Wikileaks was not russian government »,
(Fox 3 janvier 2017)
[12] « Ethique :
le Congrès américain fait marche arrière face à Trump (Libération, 3 janvier 2017) ; « Etats-Unis:
la volte-face des républicains sur la réforme du Comité d’éthique » (RF, 03-01-2017).
[13] On dirait la « mule », en matière de
Renseignement : un canal primaire pour faire passer une information, qui
est ensuite reprise dans un second temps par d'autres sources.
[14] « Exclusive: Group
Behind DNC Hack Exposed, Obama Must Surrender: More Leaks To Come » (Infowars, 3 janvier 2017).
[15] « Pelosi’s
daughter leads effort to block Trump through Electoral College » (Washington Times - Monday, 12 Décembre 2016).
[16] « Donald
Trump a dîné avec le milliardaire mexicain Carlos Slim » (Paris Match, 22/12/2016).
[17] Voir :
« La
Légende d’Obama n’existe qu’au LaLa Land! » (CVR, Pieczenik, 3 janvier
2017)
[18] Sur Megin Kelly,
rappel : « [Washington
Post] "Donald Trump Vs Megyn Kelly" : rions un peu avec l'hypocrisie
du système anti-trump... sujet sérieux derrière : l'orchestration médiatique de
la démolition du modèle américain » (CVR, 31 janvier 2016).
[19] « The
wreckage of Obama’s Legacy » (NYT, 19-11-16)
[20] « Obama
a travaillé pour Peter Geithner
au sein de la Asia Society, une organisation de couverture pour la CIA, et fut
intimement impliqué dans des “affaires“ internationales avant qu'il ne devienne
Sénateur d'État » (Blog
de PIeczenik, 7 septembre 2015).
[21] « Why
is Donald Trump threatening Amazon and Jeff Bezos? » (C-Net,
28-2-16) ; « Donald
Trump, the russians, and Trump's real enemu, the bezos post »
(Breitbart, 19-6-16) ; « Here's
how Amazon CEO Jeff Bezos introduced himself to Trump, after months of
animosity » (Business Insider, 14-12-16) ; « Jeff
Bezos congratulates Trump, who has threatened Amazon and The Washington Post »
The Verge , 10-11-16) ; « Jeff
Bezos congratulates President-elect Trump, after offering to shoot him into
space » (CNBC, 10-11-16) ; « Why
Did Jeff Bezos Make Nice With Trump? Amazon Depends On It » (Forbes, 10-11-16) ; « Amazon
CEO Jeff Bezos is suddenly making nice with Trump — there’s a big reason
why » (Business Insider, 13-11-16) ; « « Amazon
v Donald Trump? Jeff Bezos may soon face his biggest challenge yet »
(Guardian, 18-11-16) ; « Jeff
Bezos promet à Trump de créer 100.000 emplois » (Figaro,
12/01/2017).
[22] « President
Trump to shut out the Mainstream medias - The official death of
establishment media control [le Président Trump va contourner les médias en
passant par les réseaux sociaux : la mort officielle des médias contrôlés
par l’Etablissement] »Trump
to Continue "Freaking Mainstream Media Out", Will "Boldly
Use" Twitter For Policy Announcements [Trump continue “d’effrayer
les médias PC“, va user hardiment de Twitter pour annoncer sa politique [22]»
(Zerohedge, 2-1-17).
[23] La “cooptation“ à
un terme spécifique, en termes d'influence (lobbying),
de Relations Publiques (en matière civile), de guerre psychologique (qui est le
volet militaire de l’influence/ des RP) et plus globalement de
Renseignement : il s'agit d’ « associer autant de membres importants de la
communauté [cible] que possible, particulièrement ceux qui ont été engagés dans
l'action non violente, aux côtés du gouvernement », d’après le Général britannique Frank
Kitson (« Low Intensity Operations », p.87,
disponible depuis 2011 seulement aux éditions Faber & Faber). Frank Kitson
fut l'architecte de la Contre-insurrection britannique en Irlande du Nord, qui
servit de modèle pour toutes les opérations de l'OTAN par la suite (cité par
Roger Falligot dans « Guerre
spéciale en Europe - le laboratoire irlandais », 1980, p.275).
[24] « Russian
hackers penetrated U.S. electricity grid through a utility in Vermont,
officials say » (titre changé ensuite en « Russian
operation hacked a Vermont utility, showing risk to U.S. electrical grid
security, officials say », Washington Post, 31 décembre 2016) ;
« ‘Russian
hackers’ penetrate US power grid — Washington Post » (RT,
31-12-16) ; « Washington
Post Stirs Fear After False Report of Power Grid Hack by Russia - Story quickly
falls apart after investigation finds claims to be inaccurate » (Infowars,
31 Décembre 2016) ; « Washington
Post Caught Spreading More Fake News About "Russian Hackers" »
(Zerohedge, 31-12-16) ; « Russia
Hysteria Infects WashPost Again: False Story About Hacking U.S. Electric Grid »
(The Intercept, 31-12-16) ;
« 'Fake
News' And How The Washington Post Rewrote Its Story On Russian Hacking Of The
Power Grid » (Forbes, 1er janvier 2017). Rappel d’un
précédent hystérique juste avant le dénouement des élections américaines :
« The
Russians are Coming! – Clinton/Obama Cabal Preps Election Day False Flag Option
to Stop Trump » (Oathkeeper, 4-11-16) ; « [Infowars
- NBC News] Orchestrer la soumission orwellienne en faveur d’Hillary : la
Sécurité Intérieure prête à suspendre les élections… sous quel prétexte ? »
(CVR, 8 novembre 2016). Sur la prétendue influence russe, voir : « The
CIA, Washington Post, And Russia: What You're Not Being Told »
(Zerohedge, 20-12-16).
[25] Comparer avec le
jugement du monde : « Etats-Unis :
Michael Flynn, un revanchard au Conseil de sécurité nationale » (LE
MONDE | 18.11.2016).
[26] « Donald
Trump propose un nouveau ministre de la justice et un directeur de la CIA »
(Le Monde.fr avec AFP, AP et Reuters | 18.11.2016).
[27] « Syria
will stain Obama’s Legacy Forever » (Foreign Policy, 29 décembre
2016).
[28] Bernard Lugan a
eu les mêmes propos en France sur l’Armée française en Afrique, bien plus
lucide sur les situations locales que les politiciens...
[29] NDT : “Pandering“ : terme issu proxénétisme à la base. En termes de qualité individuelle,
il s'agit d'être capable d’entregent, pour le dire de façon pudique : être
capable de "jouer des coudes » comme un
entremetteur/souteneur/proxénète. Termes associé notablement avec la
politique : il s'agit de la capacité à exprimer ses
vues en accord avec les préférences du groupe auquel on tente de faire appel, à
plaire dans l'idée d'obtenir un soutien en termes d'argent ou de vote,
indépendamment des valeurs personnelles de celui qui cherche à plaire. Pourrait
se traduire par “flagornerie politique/populiste“ (vers l’électorat), ou
“prostitution électorale“ (vers les soutiens, sponsors, lobbies/groupes
d’influence pour récolter des sponsors qui sont nécessaires au financement
des campagnes électorales États-Unis, induisant au final un système tout à fait
vérolé).
[30] « leaked audio :
obama wanted ISIS to grow » (Infowars, 3-1-17, vidéo ici)
[31] Société
estudiantine de Yale bien connue pour être un creuset de recrutement de la CIA.
[33] « Bill
Clinton’s airport run-in with Loretta Lynch was no accident »
(NY-Post, 3 oct. 2016).
[34]« Loretta
Lynch ‘regrets’ Clinton meeting aboard plane: ‘I wish I had seen around that
corner’ » (Washington Times, 19 décembre 2016) ; « Lynch
says reaction to Bill Clinton meeting was 'painful' » (CNN, 18-12-16).
[36] Voir : «Hillary
Clinton : “Une Femme dans la foule” » (Pieczenik via CVR, 7 octobre
2016).
[37]Point extrêmement
important ici : Wall Street a joué la « vodka-cola » puis les délocalisations d'emplois américains en
Chine, oeuvrant contre la substance même de la nation américaine. Kissinger,
connu de longue date pour avoir était un traître prosoviétique, ayant été le
chef entremetteur avec les Chinois par la suite. Croiser les sources suivantes
: « Les sources de financement du
communisme » (Pierre de Villemarest, Editions éd. CEI, 1984) ;
« La double face d’Henry Kissinger »
(Pierre de Villemarest, chronique de décembre 2002, reproduite dans « Faits et Chroniques interdits au
public », Tome 1, Pierre et Danielle de Villemarest, William D. Wolf,
Aquillon, 2003) ; « Vodka Cola »
(Charles Levinson, Edition Stock, 1977) ; «
Pétrole, une guerre d'un siècle »
(F.W. Engdahl, Editions J.C. Godefroy,
2007).
[38] « The Middle
Kingdom mentality » (Martin
Jacques, The Guardian, 15 avril
2005).
[39] « Chine
: les réserves de change au plus bas depuis mars 2011 »
(Figaro/Reuters, 07/11/2016). « Chine :
les réserves de change ont fortement reculé en 2016 » (Latribune.fr |
07/01/2017) ; « La fonte record des réserves de change chinoises est
« tout simplement intenable » » (Le Monde.fr | 08.02.2016) :
« A force de vendre des dollars pour soutenir le yuan, la banque centrale
chinoise a fait tomber ses réserves à 3 230 milliards de dollars,
soit un plus bas depuis mai 2012. ». Voir aussi : « Le Talon
d'Achille de la Chine est sa chance en or » (F. W. Engdahl, 14 oct
2015).
[40] Parallèle à la
fin de l’ère stalinienne, où l'on pouvait vaguement croire à un modèle
soviétique vertueux par la technologie au service du peuple.
[41] NDT :
« co-opted », que l'on pourrait traduire un peu trop vite par “coopté“
(choisi en tant que membre par d'autres membres d'un groupe élu), a également
de notre sens : « inclure quelqu'un dans quelque chose, souvent contre sa
volonté », ou encore « utiliser les idées de quelqu'un
d'autre », idée que nous avons exprimée ici par “doubler“).
[42] « China’s
water Problems are even worse than you think : report » (WSJ,
13-1-15)
[43] « Sanders,
Pelosi, and Schumer unveil their first step in fighting Trump’s
presidency » (Fusion.net, 29-12-16) ; « How
Schumer and the Democrats are preparing to fight » (Washington Post, 9
décembre 2016).
[44] « For
Democrats to recover, Nancy Pelosi and her team should go » (Washington
Post, 25-11-16).
[45] « Robert
Reich : the democratic party needs to clean house » (Newsweek,
10-11-16)