Tryptique+remember Yorktown / réddition / Cheesapeake

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1 janvier 2017

Obama tente de paraître fort dans ses derniers jours !

Obama tente de paraître fort dans ses derniers jours !

Le « règlement de comptes à O.K. Corral » d’Obama : d’inutiles sanctions contre des piratages russes supposés !


Il y a huit ans, j’avais averti le public Américain que nous avions une créature de la CIA dans la personae artificielle de Barry Sorel, aussi connu comme [a.k.a] Barack Hussein Obama[1]. Il s’agissait d’une idée stupide, consistant à cornaquer un agent mulâtre de la CIA à travers l'assemblée législative de l'Illinois jusqu'aux sommets de la Présidence des États-Unis. Il n’a eu aucun antécédent professionnel, pas plus que de réalisations significatives. Il fut littéralement l’« l’homme qui n’a jamais été [man who never was] ».

 À présent, huit ans plus tard, la CIA de concert avec Obama, a décidé de punir les Russes pour un acte présumé de piratage, qui est supposé avoir aidé Trump a gagné la course présidentielle de 2016. Rien ne pourrait être plus loin de la vérité. À présent, la vérité nous pouvons dire que la vérité est devenue totalement étrangère à la fois à Obama et à son actuel DCI [Directeur de la CIA], John Brennan.
Obama finit donc son Administration de la même façon qu’il a pu arriver jusqu’à la Présidence : par un catalogue de doléances personnelles engendrées par sa situation en tant qu’homosexuel, mulâtre dont le monde tout entier ne gravite qu’autour de fictions et de vœux pieux. La triste vérité de cette dernière confrontation entre le POTUS et le Président Russe Vladimir Poutine, n’est rien de plus qu’un moment de pure farce.

Dans le film « règlement de comptes à O.K. Corral », le Doc Holliday (Kirk Douglas) et Wyatt Earp (Burt Lancaster) ont tué un tas de cowboy desperados en 30 secondes. Pourtant, dans la vraie vie cette fusillade alléguée a eu une fin tout à fait différente.
Obama prend ici des mesures de représailles puériles, digne de cette fiction, en expulsant 35 opérationnels russes et en sanctionnant personnellement cinq entités russes et quatre autres individus. À quelle fin?
En moins d’un mois, Trump va devoir inverser les directives d’Obama AU PLUS VITE ! Si j’étais dans l’équipe de transitions de Trump, je recommanderais que la première visite internationale du président Trump soit pour la Russie, afin d’embrasser personnellement le président Vladimir Poutine. Poutine a tiré avantage de l’ignorance de l’arrogance des Administrations Clinton/Obama. Il n’a eu aucun respect pour Hillary Clinton en tant que Secrétaire d’État ou pour quiconque [au sein de ces Administrations].
Pourquoi donc en aurait-il ?

Quand une soi-disant « Fondation Clinton » sans but lucratif, se prostitue via les Frères Podesta vis-à-vis de la Russie en échange de concessions sur des mines d’uranium. Hillary a suppose-t-on, réprimandé les Russes concernant leurs incursions présumées illégales à la fois en Crimée et en Ukraine. Mais aucune Administration démocratique n’a mené autant de guerre, d’incursions désastreuses dans des terres étrangères que l’Administration Obama avec HRC [Hillary Rodham Clinton] et John Kerry à la tête de sa politique étrangère.
À présent, Susan Rice, Samantha Powers et Ben Rhodes, le groupe le plus dysfonctionnel de Conseillers de la Maison Blanche [WH] depuis les faucons-pigeons du 11 Septembre [9/11 chicken hawks] de Bush Jr, ont décidé qu’Obama devrait avoir une “légende“ qui persisterait [après son départ] : celle d’un homme fort lorsqu’en fait il a été invariablement faible et indécis durant ces huit dernières années.

Soyons à présent réaliste : Hillary Clinton a perdu les élections parce qu’elle n’était ni honnête, ni crédible, et réellement, juste malaimable. Aucun piratage au monde (même du côté du CND (Congrès National Démocrate, [DNC][2]) n’aurait pu faire quoi que ce soit afin de sauver sa candidature. Elle fut paresseuse, inepte et dénigrante dans ses attitudes à notre égard, nous « les déplorables vétérans et contribuables américains »[3]. Il n’y avait rien que la Russie fît, ou ne fît pas, qui aurait pu nous dissuader, nous votants, de sortir pour utiliser nos votes contre la machinerie Obama/Clinton.
J’ai eu une expérience extensive avec et contre les Russes. Clairement, je préfère travailler avec les Russes. J’ai un respect immense pour eux et pour les sacrifices historiques massifs qu’ils firent durant la Deuxième Guerre mondiale.
J'ai toujours respecté pour principe le fait de traiter les Russes comme j’aurais moi-même voulu être traité. Pourtant, je n'aurais jamais crâné ou provoqué un quelconque russe, sans même parler de leurs Services de Renseignement professionnels, le FSB ou le GRU.

Si j’étais Obama, je me préparerais plutôt à acquiescer le fait que tout type de revanche, et c’est valable pour n’importe qui, exige de creuser deux tombes : une pour votre opposant, et l’autre pour vous-même.

Il y a un vœu proverbe juif qui s’applique tout à fait à Obama et Compagnie :
« La fierté (ici : la revanche) est le masque de nos propres fautes » (“Pride [revenge] is the mask of one’s fault!”)



[2] NDT : allusion subtile ici, à la façon dont Hillary gagne l’investiture démocrate par fraude contre Bernie Sanders…
[3] Référence à : « Hillary Clinton Calls Many Trump Backers ‘Deplorables,’ and G.O.P. Pounces » (NYT, 10-9-16). Le manque de crédibilité et la fatigue notable d'Hillary Clinton apparaît d'autant mieux aujourd'hui… Rappr : « Une Présidente américaine au cerveau endommagé, le doigt sur le bouton nucléaire ? » (F. William Engdahl via CVR, 22 août 2016).