Obama tente de paraître fort dans ses derniers jours !
Le « règlement
de comptes à O.K. Corral » d’Obama : d’inutiles sanctions contre des
piratages russes supposés !
Il y a huit
ans, j’avais averti le public Américain que nous avions une créature de la CIA
dans la personae artificielle de Barry Sorel,
aussi connu comme [a.k.a] Barack Hussein
Obama[1]. Il s’agissait
d’une idée stupide, consistant à
cornaquer un agent mulâtre de la CIA à travers l'assemblée législative de
l'Illinois jusqu'aux sommets de la Présidence des États-Unis. Il n’a eu
aucun antécédent professionnel, pas plus que de réalisations significatives. Il
fut littéralement l’« l’homme qui
n’a jamais été [man who never was] ».
À
présent, huit ans plus tard, la CIA de
concert avec Obama, a décidé de punir les Russes pour un acte présumé de
piratage, qui est supposé avoir aidé Trump a gagné la course présidentielle de
2016. Rien ne pourrait être plus loin de la vérité. À présent, la vérité
nous pouvons dire que la vérité est devenue totalement étrangère à la fois à
Obama et à son actuel DCI [Directeur de la CIA], John Brennan.
Obama finit
donc son Administration de la même façon qu’il a pu arriver jusqu’à la
Présidence : par un catalogue de doléances personnelles engendrées par sa
situation en tant qu’homosexuel, mulâtre dont le monde tout entier ne gravite
qu’autour de fictions et de vœux pieux. La
triste vérité de cette dernière confrontation entre le POTUS et le Président
Russe Vladimir Poutine, n’est rien de plus qu’un moment de pure farce.
Dans le film
« règlement de comptes à O.K.
Corral », le Doc Holliday (Kirk Douglas) et Wyatt Earp (Burt Lancaster)
ont tué un tas de cowboy desperados en 30 secondes. Pourtant, dans la vraie vie
cette fusillade alléguée a eu une fin tout à fait différente.
Obama prend ici
des mesures de représailles puériles, digne de cette fiction, en expulsant 35
opérationnels russes et en sanctionnant personnellement cinq entités russes et
quatre autres individus. À quelle fin?
En moins d’un
mois, Trump va devoir inverser les directives d’Obama AU PLUS VITE ! Si j’étais dans l’équipe de transitions de
Trump, je recommanderais que la première visite internationale du président
Trump soit pour la Russie, afin d’embrasser personnellement le président
Vladimir Poutine. Poutine a tiré avantage de l’ignorance de l’arrogance des
Administrations Clinton/Obama. Il n’a eu aucun respect pour Hillary Clinton en
tant que Secrétaire d’État ou pour quiconque [au sein de ces Administrations].
Pourquoi
donc en aurait-il ?
Quand une
soi-disant « Fondation Clinton »
sans but lucratif, se prostitue via les Frères Podesta vis-à-vis de la Russie
en échange de concessions sur des mines d’uranium. Hillary a suppose-t-on,
réprimandé les Russes concernant leurs incursions présumées illégales à la fois
en Crimée et en Ukraine. Mais aucune Administration démocratique n’a mené
autant de guerre, d’incursions désastreuses dans des terres étrangères que l’Administration
Obama avec HRC [Hillary Rodham Clinton] et John Kerry à la tête de sa politique
étrangère.
À
présent,
Susan Rice, Samantha Powers et Ben Rhodes, le groupe le plus dysfonctionnel de
Conseillers de la Maison Blanche [WH] depuis les faucons-pigeons du 11
Septembre [9/11 chicken hawks] de Bush Jr, ont décidé qu’Obama devrait avoir
une “légende“ qui persisterait [après son départ] : celle d’un homme fort
lorsqu’en fait il a été invariablement faible et indécis durant ces huit
dernières années.
Soyons à présent
réaliste : Hillary Clinton a
perdu les élections parce qu’elle n’était ni honnête, ni crédible, et
réellement, juste malaimable. Aucun piratage au monde (même du côté du CND
(Congrès National Démocrate, [DNC][2])
n’aurait pu faire quoi que ce soit afin de sauver sa candidature. Elle fut
paresseuse, inepte et dénigrante dans ses attitudes à notre égard, nous « les déplorables vétérans et contribuables
américains »[3]. Il n’y avait rien que la Russie fît, ou ne
fît pas, qui aurait pu nous dissuader, nous votants, de sortir pour utiliser
nos votes contre la machinerie Obama/Clinton.
J’ai eu une
expérience extensive avec et contre les Russes. Clairement, je préfère
travailler avec les Russes. J’ai un
respect immense pour eux et pour les sacrifices historiques massifs qu’ils
firent durant la Deuxième Guerre mondiale.
J'ai toujours
respecté pour principe le fait de traiter les Russes comme j’aurais moi-même
voulu être traité. Pourtant, je n'aurais jamais crâné ou provoqué un quelconque
russe, sans même parler de leurs Services de Renseignement professionnels, le
FSB ou le GRU.
Si j’étais
Obama, je me préparerais plutôt à acquiescer le fait que tout type de revanche,
et c’est valable pour n’importe qui, exige de creuser deux tombes : une pour
votre opposant, et l’autre pour vous-même.
Il y a un vœu
proverbe juif qui s’applique tout à fait à Obama et Compagnie :
« La
fierté (ici : la revanche) est le masque de nos propres fautes » (“Pride
[revenge] is the mask of one’s fault!”)
[1] « Obama
avant Barack : Que vaut Barry le biopic sur la jeunesse du président américain
? » (Le Figaro, 23/12/2016).
[2]
NDT : allusion subtile ici, à la façon dont Hillary gagne l’investiture
démocrate par fraude contre Bernie Sanders…
[3]
Référence à : « Hillary
Clinton Calls Many Trump Backers ‘Deplorables,’ and G.O.P. Pounces »
(NYT, 10-9-16). Le manque de crédibilité et la fatigue notable d'Hillary
Clinton apparaît d'autant mieux aujourd'hui… Rappr : « Une
Présidente américaine au cerveau endommagé, le doigt sur le bouton nucléaire ? »
(F. William Engdahl via CVR, 22
août 2016).