Trump est Président! La transition pacifique du pouvoir a prévalu!
Le couronnement américain est
terminé !
Le coup d’État[1] présent continue
d’être un succès !
Tandis que les manifestants ragent face aux prétendues injustices dans leurs
pays, Etats ou cités respectifs/ves, il serait sage pour eux de commencer par
reconnaître un fait simple : grâce à leur apathie invétérée et à leur
arrogance, nous qui avons initié une révolution attendue de longue date, sommes
parvenus à notre fin sans aucun semblant de violence ni de manifestation de
rue.
Lorsque cette “révolution Trump“ a été conçue, bien avant l’ascension
du candidat viable que nous connaissons à présent, nous autres de l’alt-droite[2] avons réalisé que
dans sa plus grande partie, la gauche américaine s’est trouvée dépossédée de
toute idéologie crédible et de tout candidat viable. La gauche a en effet ignoré
mes avertissements lui conseillant de rejeter HRC [Hillary], et Donald Trump
lui-même a insisté sur le fait que la vraie course pour la Présidence se jouait
entre lui et Bernie Sanders.
Les milléniaux ont échoué à
soutenir HRC, refusant de voter pour elle ou l’un de ses subrogés[3]. Le
clou final dans le cercueil de HRC et son équipe dysfonctionnelle est venu à
travers la double farce d’Uma
Abedin[4] et Anthony Weiner[5]. Ceci
a en effet permis que HRC et ses conseillers intellectuellement déficients soient
pris dans un piège en forme de guerre psychologique [psychological warfare trap], menée par les voies électroniques, via
les “e-mails” [fuités par l’entremise
de Wikileaks].
Point n’es besoin de préciser que ça
a marché sans l’assistance des
soi-disant pirates informatiques Russes. Je peux vous assurer à tous que malgré
le non-sens que fut la conclusion de la CIA et du DNI
dysfonctionnels et égarés, il n’y a plus aucune piraterie active Russe
impliquée, pas plus dans le Coup d’Etat [via Hillary] que dans le Contre-coup d’Etat
[via Trump]. Toute cette affaire était aussi
américaine qu’une tarte aux pommes[6]! Toutes
les investigations ne pourront révéler rien de plus qu’une chaîne d’accusations
et d’auto-récriminations qui, cela dit en passant, font aussi
partie du succès de ce Contre-coup d’État…
Je suis une toute petite partie d’un
mouvement plus large d’individus doués et engagés, qui représentent une longue
liste d’opérationnelles militaires et civiles, au service de la République et
de cette transition pacifique du pouvoir. Grâce au dévouement du Secret
Service [équivalent du SDLP,
ex-SPHP], de la police tant au niveau local ou étatique que fédéral, et d’autres
opérationnels militaires ou du Renseignement, Trump a pris ses fonctions à la
Maison-Blanche ce 20 janvier 2016 sans incident.
La violence qui s’en est suivie sur la K Street de Washington a été anticipée, si ce n’est facilitée par des membres de
l’opposition facilement identifiable. Même l’inutile marche de
solidarité des femmes était sur nos radars. Elle ne fut que le résultat
d'un mouvement politique complètement débordé sur ses flancs et berné dans les
grandes largeurs[7], une énième réponse née des arcanes guindées
de la Gauche [de la politique américaine].
Ce dont nous sommes à présent témoin
en Amérique, c’est la conséquence d’une nation qui a été dorlotée, traitée de
façon trop indulgente et surprotectrice [coddled] des décennies durant par ses
Présidents et têtes de files du Congrès. Ces
“élites“ se sont assurées que le
désir/sentiment national s’atrophiait et que la croissance intellectuelle se détériorait,
chez la plupart des citoyens américains.
La notion de changement est alors devenue verboten [interdite]! La plupart d’entre nous [les
citoyens normaux] ne faisons même plus partie des discours politiques, qu’ils
soient Démocrates ou Républicains. La
notion de sacrifice pour notre République, a été complètement effacée de tout
mandat relié à la citoyenneté : “Bébé
ancré“[8] et “Cités sanctuaires[9]“ sont
devenus les nouveaux shibboleths[10] de
la gauche, qui n’a jamais pleinement réalisé que la véritable citoyenneté américaine n’est pas un droit invétéré pour
quiconque venant juste d’apparaître dans ce pays pour y produire un descendant.
Face à cela, cachée parmi les
artefacts des [fausses] nouvelles inventées de toutes pièces et autres sondages
biaisés, se sont dévoilés des éléments secrets de la “Majorité Silencieuse [Silent Majority]” naguère si chère à
Nixon : bien des gens ayant servi à
l’étranger ont exigé un changement dans notre droit de la naissance, face à un
esprit de gouvernement corrompu et stagnant. Le président Donald Trump a
enfilé le manteau de l’autorité[11], en toute
connaissance de cause. Lui et sa remarquable famille ont travaillé sans
relâche pour aller chercher les votes électoraux nécessaires partout aux
États-Unis.
Ont-ils directement fait partie du
Coup d’Etat et du Contre-coup ? Pas à ma connaissance. Il s’est agi avant
tout d’un dur effort visant à solliciter autant de votes que possible, sans
utiliser pour autant les antiques et habituelles méthodes pour atteindre ce
succès. Ainsi, nous parlons d’une “révolution Twitter“ !
À présent, Donald a fait sa
sélection de Conseillers clé et de chefs de Cabinet. Suis-je d’accord avec
tous ces choix? Pas nécessairement ! Comme de nombreux autres qui ont fait partie de ce Coup en forme de
révolution, nous allons attendre pour voir ce qu’il se passe ensuite. Je
lui souhaite le meilleur ainsi qu’à sa famille.
Le changement de régime est un art
subtil qui ne survient pas de l’hystérie de la multitude. Il s’agit de quelque
chose de comparable à un agile coup de scalpel du chirurgien, orchestré à la
lumière du jour, fût-ce sous le nez et dans le champ de compétence d’une HRC, d’un John Brennan, d’un James Clapper ou du
reste de la CAR [Communauté
Américaine du Renseignement] et du FBI.
La grande anthropologue américaine, Margaret Mead, a dit un
jour :
« Un petit groupe de gens réfléchis
pourrait changer le monde. Et en effet c’est la seule chose qui l’ait
réellement changé »…
[1] Référence ici en
fait au “Contre-Coup d’Etat“ qui a
été mené par la Communauté Américaine du Renseignement et l'Armée contre le
Coup d'État “doux“ tenté par Hillary
Clinton et les réseaux qui la soutenaient. Voir la chronologie puis le
résumé de l’affaire (« Hommage
des patriotes français au Dr. Steve Pieczenik PhD », CVR, 9 novembre
2016 ; « [IMPORTANT]
La vérité sur la victoire de Trump : Analyse et synthèse. », CVR, 21
novembre 2016).
[2] Alt-right (abréviation
d'alternative
right) : alt-droite (droite alternative
américaine), considérée par les
propagandistes bien-pensants comme « une mouvance de droite nativiste, suprématistes Blancs
(américains), Antisémite, conspirationniste et
opposée à l'immigration et au melting-pot
intégrationniste », d’après la
définition qu’en donne Wikipedia qui la présente comme un « courant réactionnaire du Parti républicain » et
l'associe volontiers « aux mouvances Néo Nazi et au Ku Klux
Klan ». Dans la réalité, il s'agit plutôt d'une réaction purement
patriote née au sein des milieux conscients des intérêts stratégiques des
États-Unis (davantage de droite par la force des choses puisque la gauche est
devenue un creuset idéologique s'éloignant grandement de la réalité, à grands
coups d'idéologies artificielles), n'ayant pas oublié l’histoire réelle des
États-Unis, c'est-à-dire l'histoire des menées subversives s'étant déployées
aux États-Unis et surtout à notre époque des suites du 11 septembre 2001. Les
écrits et déclaration de Steve Pieczenik depuis 2002, forment une trame
remarquable pour comprendre toute cette évolution.
[3] NDT :
évidemment, cette phrase est un petit peu tirée par les cheveux puisque bon
nombres de gens ont voté pour Hillary Clinton, incluant également des fraudes
électorales facilités par le système électoral américain… Voir « Les
100 prochains jours seront critiques pour l’Amérique ! » (CVR, 30
juillet 2016).
[4] Voir F.W.
Engdahl : « Le
vrai crime dans l’“Huma-gate“, ce sont les liens d'Hillary Clinton avec les
Frères Musulmans ! » (CVR, 3 novembre 2016).
[5] « “Les Trois Amigos”:
Anthony Weiner, Bob Filner, Eliot Spitzer » (CVR, 1er
août 2013) ; « Le
scandale Anthony Weiner sonne le glas du clan Bill/Hillary Clinton... »
(CVR, 19 janvier 2016).
[7] « Outwitted », jeu de mots ici avec
l'application Twitter, qui a été largement utilisé par Donald Trump pour
déborder les médias PC (Principaux Courants [Mainstream]/Politiquement Corrects).
[8] “Anchor babies” : terme
péjoratif pour un enfant né aux États-Unis d'une mère de nationalité étrangère,
n'étant pas admise légalement à un statut de résidente permanente. Le terme est
généralement utilisé en tant que référence dérogatoire au rôle supposé de
l'enfant, qui se voit automatiquement qualifié en tant que citoyen américain,
sous l'empire du droit du sol [jus soli] et des droits garantis par le 14e Amendement de la Constitution
américaine, et après avoir atteint l'âge de la majorité, il peut alors agir tel
un sponsor/une ancre pour d'autres membres de la famille susceptible de devenir
des citoyens américains. Le terme est également souvent utilisé dans le
contexte du débat concernant l'immigration illégale aux États-Unis, pour se
référer aux enfants des immigrants illégaux, mais peut aussi être usité pour
l'enfant de toutes immigrant.
Un terme
similaire, “bébé passeport ["passport
baby"],
a été utilisé au Canada pour les enfants nés à travers ce qui est appelé la “maternité [maternity] " ou le “tourisme des naissances [birth
tourism]". Il faut bien
comprendre par analogie qu'à travers cette sorte de « droit au regroupement familial », fondée sur le
“droit du sol“ (par opposition au “droit du sang“), que nous connaissons et qui
fut obtenu à l'occasion d'une fraude globale en France, c'est à terme toute
l'intégrité d'un Etat et même d’une civilisation tout entière qui peut être
atteint (en témoigne
également l'exemple récent de Mayotte : « Mayotte,
un Lampedusa français », Bernard Lugan,
Valeurs Actuelles, 31 mars 2011).
[9] “Sanctuary Cities” : aux
États-Unis et au Canada : des villes dont la municipalité a adopté une
politique de protection des immigrants
ne disposant pas de documents légaux, en s'abstenant de les poursuivre pour
violation des lois fédérale relatives à l'immigration, celle du pays [les
États-Unis] dans lequel elles sont pourtant situées. Un phénomène “d'écrantage“ juridique, qui menace à terme la cohérence
des États-Unis eux-mêmes à travers son ordre juridique (hiérarchie des
normes, les lois fédérales des États-Unis étant supposées primer sur les
lois des Etats fédérés constituant les États-Unis…). Une telle politique de
“cités sanctuaires“ peut être mise en place de manière expresse et précise par
la loi (de droit / de jure) ou observée seulement en pratique (de fait / de facto).
Le terme s'applique généralement aux villes qui n'utilisent pas les fonds
municipaux et autres ressources afin de faire respecter les lois nationales sur
l'immigration, et qui empêche habituellement la police ou les employés
municipaux de s'enquérir au sujet du statut d'une personne au regard du droit
de l'immigration. Le terme en lui-même n'a pas de signification légale précise.
En
Angleterre et en Irlande, une “Cité
de Sanctuaire [“City of Sanctuary”] est un lieu dédié à l'accueil des
réfugiés, demandeurs d'asile et autres personnes recherchant la sûreté. Le
mouvement s'est répandu à travers 80 villes, cités et zones locales en
Angleterre, au pays de Galles, en Irlande (République d'Irlande et Irlande du
Nord) et l'Écosse (Glasgow, Sheffield et Swansea par exemple).
L'emphase est mise sur le fait de bâtir des ponts et des connexions
compréhensives, ce qui est mené à travers l'augmentation de la vigilance, des
schémas amicaux et l'établissement de connexions culturelles dans les arts, les
sports, la santé, l'éducation, les groupes de fois et les autres secteurs de la
société…
[10] Schibboleth
(parfois francisé : chibolet) : phrase ou mot qui ne
peut être utilisé/prononcé correctement que par les membres d'un groupe, signe
de reconnaissance verbale révélant son appartenance à un groupe donné.
[11] NDT :
certainement ici une référence aux images de l'entrée en fonction du nouveau
Président Donald Trump : « Inaugural
address: Trump's full speech » (CNN, 21-1-17)