Tryptique+remember Yorktown / réddition / Cheesapeake

Tryptique+remember Yorktown / réddition / Cheesapeake
...SOUVENEZ-VOUS DE LA VIEILLE REPUBLIQUE... HISTORIQUEMENT : LE MEILLEUR DE LA VIEILLE EUROPE...PAS DE CIVILISATION SANS LIBERTE+INITIATIVE..."QUE ROME PRENNE GARDE A LA COLERE DES LEGIONS... --- ... REMEMBER THE OLD REPUBLIC --- HISTORICALLY : THE BEST OF THE OLD EUROPE --- NO CIVILISATION WITHOUT LIBERTY + INITIATIVE --- "LET ROME BEWARE THE LEGION'S WRATH"...

27 avril 2017

[IMPORTANT Un “Kabuki“ de guerre feintée, pour servir une fragile dynamique de paix.

Analyse CVR sur la frappe en Syrie :
« Un “Kabuki“ de guerre feintée, pour servir une fragile dynamique de paix »

« Prêtez attention à ce qui n’est pas dit et ce en quoi consiste l’art de négocier »
« Comprendre l'intention sous-jacente, pas uniquement les conséquences médiatiques ».

1- A première vue, le narratif de Pieczenik doit être compris dans un état d’esprit méricain hérité de la Guerre Froide, ou d’une guerre persistante « contre les rouges » (en l’occurrence contre la Chine communiste et la Corée du Nord) : une guerre anticommuniste qui fut tout à fait légitime dans l’immédiat après-Seconde Guerre mondiale, mais dont nous n’avons plus aujourd’hui qu’une vision brouillée, négligeant la puissance de l’activisme financier internationaliste qui avait promu ces révolutions rouges, tant bolchevique que plus tard en Chine.
Car cette idée bien comprise, est plus complexe qu’il n’y paraît : le sujet n’est déjà pas le même, si l’on connaît les dessous de la naissance de la Russie “rouge“ ou de la Chine “rouge“: qu’il s’agisse de 1917 en Russie ou de la Révolution communiste en Chine, ces deux événements eurent à la fois des précédents et surtout des causes qui n’avaient rien à voir avec la Russie ou la Chine. Nous parlons là d’un internationalisme financier tout à fait identifiable, basé à la City de Londres et à Wall Street, New York, et qu’en leur temps les patriotes de toutes les nations ont dénoncé (notamment les sources militaires et du Renseignement anglo-américain[1]) comme étant mû par des intentions ouvertement destructives : « un syndicat organisé pour la destruction des nations », dira le Comte de Saint-Aulaire[2].
Il s’agit de comprendre dès lors cette évolution américaine de type « vodka-cola »[3] non pas comme une lutte des États-Unis contre la Russie puis la Chine, mais bien plutôt contre une collusion entre Wall Street et la Russie bolchevique puis soviétique hier d’une part, puis d’autre part aujourd’hui avec la Chine communiste. Il convient de se rappeler d’ailleurs qu’elle fut initiée par le Secrétaire d’État Henry Kissinger qui joua un rôle crucial dans le rapprochement avec la Chine à partir de 1971 : notamment à l’occasion du voyage du Président américain Richard Nixon, rencontrant Mao Tsé Toung en Chine le 21 février 1972[4].
Du point de vue des intérêts stratégiques américains (que représente ici Pieczenik, tant par son verbe aujourd’hui que par sa carrière passée), il s’agissait alors de jouer la Chine communiste contre la Russie communiste, plutôt que d’affronter un bloc communiste unifié : ceci pouvait tout à fait se défendre d’un point de vue patriotique et militaire américain à l’époque, dans une optique romaine (« diviser pour mieux régner »), face à un système communiste conçu pour broyer les nations comme les peuples.
Sauf que ces intérêts stratégiques américains que Pieczenik représente furent en fait mis à mal par une diplomatie parallèle de Wall Street : le même type de diplomatie parallèle qui avait auparavant financé de bout en bout la révolution bolchevique depuis les États-Unis, de conserve avec la City de Londres.  Ceci au gré d’une rivalité entre les nations anglaises et américaines, mais surtout chapeauté par une communauté de vue messianique animant leurs intérêts financiers, spécialement les milieux sionistes : ces mêmes milieux financiers qui avaient joué la révolution bolchevique contre les intérêts de la nation anglaise puis américaine, aboutirent finalement à jouer la Chine pour y délocaliser leurs usines, maximisant toujours plus leurs profits. Sauf que l’aboutissement concret fut la destruction des emplois américains, et partant de là, du niveau social de la classe moyenne américaine lettrée, et de la nation américaine finale.
Ainsi le même Henry Kissinger qui avait été par ailleurs identifié de longue date comme traître prosoviétique, dès l’époque où il servait en Allemagne en tant qu’officier américain, juste après la Seconde Guerre mondiale[5]Joua de fait le “VRP de Wall Street“ en Chine aux côtés de Nixon, en 1972, initiant des délocalisations massives d’emplois américains. Et c’est encore le même Henry Kissinger qui fut le plus grand fauteur de guerre jusqu’à nos jours, tant au Moyen-Orient qu’ici en Asie, qui tente encore aujourd’hui de manipuler ouvertement la politique étrangère décidée à Washington[6], afin de servir des intérêts stratégiques qui ne sont pas américains. Les circonstances de l’affaire du Watergate, qui permit ensuite à Henry Kissinger de s’arroger un pouvoir illégitime sur toute la politique étrangère américaine, pouvoir illégitime culminant durant le choc pétrolier de 1973, doit également être compris comme cette diplomatie parallèle affairiste agissant de manière concurrente aux intérêts stratégiques américains[7] : une pure maximisation des profits de des grandes banques anglo-américaines, le pétrole s’avérant ainsi comme « l’accélérateur de la financiarisation du monde »…
Et toutes ces logiques sont encore patentes de nos jours : Wall Street sait s’appuyer sur d’autres relais affairistes comme Sam Walton (PDG de Wallmart), et jusqu’au sommet de l’État américain avec la corruption des Clinton, permettant la pénétration totale du marché américain par les marchandises chinoises : importation apparente de la désinflation, mais surtout libre-échange spéculatif de tradition aussi britannique que juive : « acheter pas cher pour vendre cher » : des esclaves d’un côté (en Chine), des chômeurs de l’autre (aux États-Unis), au bénéfice d’une minorité de compradores, intermédiaires financiers et serviteurs de l’Etat corrompus.

Mais le pire, c’est que cette logique de friction des peuples et des nations, instrumentalisant les plus pauvres pour ruiner les moins pauvres, peut conduire à des guerres. Il faut bien comprendre que les Chinois de bout en bout, ont bien plus été les otages que les acteurs de cet internationalisme financier finançant les idéologies rouges, à fin de destruction du corps social tout en maximisant les profits des intermédiaires financiers. C’est là une pure lecture factuelle des révolutions rouges.
Mais Kissinger en ce sens, doit être avant tout considéré comme une tête de réseau, n’agissant certainement pas seul au stade de la planification. Ce point est par exemple illustré par le fait que George Soros fut identifié dès l’époque du « précédent » de Tian'anmen, derrière un activisme ouvertement subversif contre la Chine : un activisme en apparence américain, en fait bien plus « internationaliste » qu’américains.
Mais toutes ces tensions peuvent déboucher sur des guerres, il nous faut bien en avoir conscience… Dès lors, il faut comprendre que ce sont les mêmes germes de ressentiment semés notamment par Henry Kissinger et consorts en Asie, qui se manifestent aujourd’hui, par un potentiel conflit entre les États-Unis et la Chine : un conflit qui en ce sens, serait tout à fait artificiel…

En ce sens, en déclarant que la Corée-du-Nord serait « une plus grande menace aujourd’hui qu’il y a 20 ans »… Pieczenik semble embrayer avec l’hystérie sioniste régulière contre la Corée-du-Nord, faisant partie de l’« Axe du mal » dénoncé depuis des années par les sionistes aux États-Unis. Pourtant Pieczenik a lui-même tempéré son propos dans d’autres entrevues et articles, y compris en éludant le problème de la Corée du Nord car il est en fait avant tout relié à la Chine : les États-Unis savent très bien que derrière les provocations nord-coréennes il y a la Chine, la Corée-du-Nord étant utilisée un peu comme un épouvantail par la Chine.

Pieczenik nous donne en fait ici des éléments de compréhension de l’intention de Trump vis-à-vis de la Chine : un acte clair signalant la résolution américaine vis-à-vis de la Chine, par opposition laxisme d’Obama, après plusieurs mois de jeu subtil entre la Chine et la Corée-du-Nord s’agitant rhétoriquement contre les États-Unis. Il s’agissait pour les États-Unis de sortir d’une position de faiblesse en termes de négociation, surtout après des années d’absence de volonté et de comportement erratique par Obama. Si l’ampleur de la déliquescence de la volonté américaine Obama vis-à-vis tant du Moyen-Orient que la Chine et comprise, alors l’opportunité de ce message américain subtil mais néanmoins viril doit être au moins compris d’un point de vue américain : la dissuasion évite le combat, et il est inconfortable de négocier en position de faiblesse, ce sont là des idées relevant de la pure Realpolitik.
Mais en même temps pourtant, les Américains signalent par cette réception prestigieuse des dignitaires chinois, leur absence de volonté de perturber les affaires chinoises. Cette position cette position semblant d’ailleurs sous-tendue par la conscience au sein des milieux d’influence américain (Armée et Renseignement) que la situation chinoise est fragile…

Deux éléments sont porteurs d’espoir en ce sens :
Premièrement, des signaux faibles d’importance, qui illustrent comme la Chine est en train de se débarrasser progressivement du communisme, comme la Russie l’a fait en un temps record. En témoigne par exemple le film « Le dernier loup » (2015), soutenu par les moyens généreux du gouvernement chinois alors qu'il fut réalisé par Jean-Jacques Annaud : le même réalisateur français qui avait été déclaré persona non grata sur le territoire chinois, pour avoir réalisé « Sept ans au Tibet » (1997).
Or la constante de ces deux films était la dénonciation des errances idéologiques du communisme face à la vraie constante cyclique de la vie et de la nature des nations, et certainement pas une dénonciation de la Chine... La même Chine qui hier avait été capable de reprocher cette prise de position courageuse de Jean-Jacques Annaud, a promu le même Jean-Jacques Annaud dans ce qui pourrait être le premier film dénonçant les conséquences concrètes du communisme sur la réalité chinoise, ouvertement soutenue par le gouvernement chinois lui-même.  Le Céleste Empire retrouve le chemin de sa propre histoire, comme la Russie renaissante d’aujourd’hui à renouer avec ce qu’elle était avant 1917…
https://www.youtube.com/watch?v=Dnm5A_w_F1k

Il y a également une deuxième lecture importante de cette frappe en Syrie : une mise en échec subtile des intérêts internationalistes et notamment juifs sionistes, animé par une pulsion d’autodestruction sans cesse dénoncée par Steve Pieczenik au gré de ses interventions

































2- Un jeu subtil, feuilletage des intentions :
Rappel de la situation juste avant : « US signals openness to Assad staying put » (CNN, 31 mars 2017) ; « U.S. Priority on Syria No Longer Focused on 'Getting Assad Out': Haley » (US News, 30 mars 2017).


J’étais un solide supporter de Trump avant cette attaque. Mais il n’est pas différent d’Hillary Clinton sous cet angle. C’est couvert de honte et son pays avec lui. Où est l’honneur dans ce qu’il vient de faire ? Quiconque avec un diplôme de lycée, c’est qu’il s’agit d’une d’un CMDP [coup monté sous faux drapeau], comme Obama l’a fait avant lui en 2013. Je suis embarrassé d’avoir soutenu Trump pour, ne s’agit pas là de la renégocier.
Il comprend que beaucoup de choses qu’il va devoir faire, ne peuvent pas être expliquées [en temps réel] au public,

Ce que Pieczenik dit en substance, c’est que Trump a fait cet acte de guerre pour influencer la Chine vers une politique de changement à l’égard de la Corée-du-Nord. Le message est qu’il représente potentiellement une bonne chose pour les intérêts à long terme des États-Unis, d’utiliser ce genre d’acte de guerre pour faire avancer sa politique, mais personne d’autre n’y a droit excepté éventuellement Israël et les défenseurs d’Israël.
Il est certainement regrettable de pousser des narratifs grossièrement faux [la prétendue attaque chimique] en tant que prétexte pour violer la souveraineté d’un autre pays, n’est pas le chemin de l’action juste. Aucun intérêt vital de l’Amérique n’était en jeu, seulement des intérêts vitaux israéliens. Il s’agit là d’une claire d’une violation du droit international, une violation, perpétré
Pourtant si est unique à raison, train de se rend la coupable de terrorisme, au moins dans la définition commune de ce terme.
La signification d’un acte de guerre


ouvertement impérialistes, « ordonner à toute nation souveraine ce qu’elle doit faire, ou la bombarder » jusqu’à ce qu’elle ne puisse poser de menace imminente aux États-Unis.
il y a par contre un deuxième point à comprendre qui concerne à la fois Israël, et les intérêts sionistes basés aux États-Unis que Pieczenik dénonce, les mêmes qui sabotent en ce moment même des efforts de politique de Trump, tant intérieurs qu’extérieurs :
donner un os à ronger aux sionistes et néoconservateurs, qui agissent de concert avec l’opposition intérieure au sein du propre parti de Trump (Paul Ryan & Cie)[9]
ui, donner un os à ronger aux sionistes tarés, chez qui Paul Ryan vient d'aller pérorer après avoir déployé son incompétence délibérée au Congrès.
« A l’AIPAC, Paul Ryan fustige l’Iran et affirme que les Etats-Unis ne toléreront plus le parti pris anti-Israël de l’ONU - Le président de la Chambre des représentants suggère de considérer les Gardiens de la Révolution comme une organisation terroriste et demande de nouvelles sanctions contre Téhéran » (Times of Israel, 28 mars 2017)

feindre


Il s’est agi en apparence de feindre de donner des gages à Israël, pour des raisons de politique intérieure (le système politique institutionnel américain permettant aux capacités de financement sionistes finançant les campagnes des parlementaires américains de bloquer toute action de Trump au niveau domestique)
La Chine et la Russie ne vont pas être impressionnés par cette attaque de vieux missiles Tomahawk en Syrie : ces nations sont toutes deux occupés à construire des systèmes d’armes de cinquième génération, ne sont plus d’humeur à recevoir des ordres de la part des USA. La paix prendra place uniquement à partir d’un monde multipolaire, et n’est-ce pas ce sont pourquoi Trump a fait campagne ? Il faudra tout de même que l’Amérique songe à cesser de mettre son nez dans les affaires des autresMAIS il faut avant tout bien comprendre que ce sont les intérêts affairistes poussent toujours aux guerres, des guerres mondialistes puisqu’elles servent une vision ouvertement spéculative du capitalisme initial et non plus productive : 
La Chine et la Russie ne sont pas impressionnés par cela. L’attaque en elle-même fut pathétique.


Sauf que cette attaque menée au gré d’un arrangement qui semble très clair avec la Russie (« Tomahawks sur la Syrie : Trump fait un cadeau inestimable à l’armée russe », Avic/Réseau International, 11 avril 2017), signifierait de choses en ce sens :
–un désengagement américain du Moyen-Orient, pour des raisons qu’évoque Pieczneik ici : « par la grâce » des néoconservateurs comme Eliott Abrams, de tous les néoconservateurs fauteurs de guerre qui avait pris en main les présidences de Bill Clinton, et surtout depuis le 11 septembre 2001 (auquel ils ont contribué, faits largement documentés et répétés par Pieczenik depuis 15 ans, entre autres) de Bush Jr, Obama et s’apprêtaient de faire de même avec Hillary Clinton. Toute l’action des États-Unis dans la zone a été discréditée, mais c’était une action qui devait servir les intérêts d’Israël. Or c’est une subtile entente entre les militaires américains d’une part, et la Russie et l’Iran en premier lieu d’autre part, qui aura permis au final de forcer Israël à ravaler sa fierté (Voir notamment : « Sey[mour] Hersh via ZeroHedge : les militaires américains ont transmis du renseignement à Assad, dans le dos d'Obama et de la CIA. » (CVR, 25 décembre 2015)

Trump donc va tenter de nous sortir de cette galère, et nos militaires vont vouloir faire pareil avec lui : pas nécessairement notre CIA mais nos militaires vont nous sortir de cette galère, et faire glisser nos préoccupations vers la mer de Chine du Sud
uniquement qui aura pour conséquence de restreindre encore de saper encore la crédibilité américaine dans le monde.

Mais ça me semble beaucoup trop tôt si c'est vraiment une entente...logiquement il n'aurait pas fallu le dire si tôt, ça ressemble à du contrôle des dommages.
Afin de tuer le narratif selon lequel il est trop proche de Poutine

Dénégation contacts russes préalables
« Remarks With National Security Advisor H.R. McMaster » (Rex W. Tillerson
Secretary of State, Palm Beach, Florida, 6-4-17)



 message qui aboutit à faire comprendre qu’Israël est finalement seul, complètement seul face non pas uniquement à la Syrie, mais à la fois face à « l’Axe de la Résistance » (Syrie épaulée par l’Iran et surtout la Russie, soutenant le Hezbollah, avec la Chine en soutien derrière), et face à l’inertie militaire américaine : l’Armée américaine laissant quelques jours l’hystérie sioniste encensée cette frappe en Syrie, pour s’apercevoir justement après il s’agissait d’un arrangement Russo-américain, sans aucune conséquences sur le soutien américain à Israël au final, un soutien qu’Israël mendie aujourd’hui ouvertement aux sujets du pétrole du Golan, volé de fait à la Syrie (« Le plateau du Golan, Israël, Donald Trump et la guerre du pétrole », William Engdahl,
De même piège interne :
Sur les « fuites » à Devin Nunes, possible « piège à canari » ici


L’énigme des 36 missiles égarés de Trump
Analyse de Bassam Tahhan, spécialiste du Moyen-Orient et de la Syrie, interviewé par Frédéric Saillot le 8 avril 2017
59 missiles US tirés, 23 buts/impacts constatés, 36 perdus (défaillances [3e génération, missiles de 40 ans, la Marine US liquide ses stocks] ou abattus).
Les Russes ont intérêt à ne pas trop en faire publicité - ont pu tester différents systèmes de DAM (Défense Anti-Missiles), russes ou qui sait, iraniens ?
Exemples dernier avion israélien abbatu, l’a été par un missile iranien
Le MinDef syrien a dit avoir descendu quelque tomahawk, combien ? non chiffré et que les civils sont morts à proximité de la base, possiblement par des éclats
donc possible scénario américain qui ne grandit pas Trump, la Russie garde la maîtrise du jeu, les avions russes ont eu le temps d’être détournés vers *khrénim* ou *tifor*, deux autres bases. Et dès le lendemain des avions décollait de la base ciblée pourrait attaquer l’EIIL
ð   scénario de papier + Trump passe pour une marionnette, et que dire des autres dirigeants qui ont encensé cette frappe
sur des accords secrets entre Tillerson et les Turcs : c’est certain. Opération montée en amont - armements chimique situé en zones contrôlées par les Turcs (khan chékhoun)
donc des nouvelles alliances : Israël, Qatar, Saouds, monde arabe factice essoufflé, sans projet… face à un axe de la résistance ayant bien la situation bien en main. Les analystes d’autres pays du monde arabe sont un peu simpliste (vision manichéenne) en représentant la Syrie comme le champion du monde arabe, mais parce que alliés sûrs derrière
idées d’influence : montrer que Trump est mieux qu’Obama : Trump ose frapper tel Superman
réaction de hollande lendemain, approuvant cette frappe avec Merkel. Communiqué du conseil de la défense qu’il a prise en défaut le soir même : priorité à la crise syrienne, nécessité d’une enquête sur les responsabilités dans l’attaque chimique plutôt en retrait par rapport à ce que te disait Hollande
attitude irresponsable (continuer à bombarder la Syrie - un pas de plus vers l’affrontement général) qui met en danger la France, et qui a pu s’être fait taper sur les doigts par la prudence de son conseil de défense
« Frappes américaines en Syrie : François Hollande convoque un conseil de défense - Après les frappes américaines en Syrie, un conseil de défense se tient à l'Élysée ce vendredi 7 avril. Béatrice Gelot se trouve en direct sur place à Paris » (France Info TV 07/04/2017)

possible qu’il y ait des généraux américains qui veulent la guerre
« terrorisme » (l‘Amb RU à l’ONU) : viol international sou des prétextes inventés
Russie prévenue - la Russie reste la gagnante dans la dans la région
Bachar al-Assad gagne également toujours en popularité (avions redécollant)
va donner encore plus de latitude à l’axe de la résistance contre raqqa
Trump a bombardé une base quasiment vide, trophée inutile
ne sera pas entraîné par les néoconservateurs
semble ne plus ne plus pouvoir prévenir les Russes (hotline/ligne chaude Ru-US supprimées
S-400 :  38 cibles en quelques secondes (un seul système) : catastrophique pour la renommée de toutes les flottes américaines :

Presque toute l’affaire était plutôt à l’adresse de la Chine/Corée-du-Nord






La marine US réalisera quelque chose d'exceptionnel dans le Pacifique

© REUTERS/ Yonhap
23:09 09.04.2017
https://fr.sputniknews.com/international/201704091030820839-groupe-naval-commandement/
La Russie se prononce pour un embargo commun avec les USA contre Daech
© Sputnik. Vitaly Velousov
11:09 10.04.2017


«Ciel ouvert»: les Russes survoleront les USA, les USA la Russie

14:00 10.04.2017


Frappes US en Syrie: tir de sommation ou «guerre mondiale»?

© Photo. pixabay
13:26 10.04.2017


Congressiste US: Assad envoie Trump «se faire f…» en reprenant les vols depuis Shayrat

© AFP 2017 JOSEPH EID
11:42 10.04.2017


L’Amérique serait-elle de retour ?

9 avril 2017

http://frblogs.timesofisrael.com/lamerique-serait-elle-de-retour/


Kissinger est la face obscure de Trump en Syrie

« Les frappes américaines contre la Syrie sont une erreur stratégique », a souligné l'Ayatollah Khamenei lors d’une audience accordée aux hauts commandants de l’armée iranienne

Israël craint un « croissant iranien » au Moyen-Orient

Posté dans Moyen-Orient par Laurent Lagneau Le 05-04-201

http://www.opex360.com/2017/04/05/israel-craint-croissant-iranien-au-moyen-orient/?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+ZoneMilitaire+%28Zone+Militaire%29&utm_content=Netvibes





mayo anti-Trump




profitent






missiles
antinavires
Yakhont
P-800 Oniks


isr vicie position ru sur sy



avion Isr descendu


Corée évacue


pas le patron











La réelle signification du rapport de la Direction du renseignement US sur « le choix de la Russie d’interférer dans l’élection »

The Saker, 8 janvier 2017 traduit par le Saker Francophone.

Corée du nord: Pékin et Moscou envoient des navires pour surveiller les agissements du groupe aéronaval américain

ParsToday


Pourquoi + MOAB

http://reseauinternational.net/derniere-frappe-us-en-afghanistan-rappel-des-faits-et-conclusions/














Syrie >>> Attaque chimique, quelle attaque chimique???
" ... La semaine dernière nous partagions une première analyse de Theodore Postol, professeur émérite en Sciences, Technologie et Sécurité nationale au prestigieux Massachussets Institute of Technology (MIT) qui contestait le rapport déclassifié de la Maison Blanche paru le 11 avril. Il avait depuis augmenté son analyse d’un addendum et d’une nouvelle note réalisée à partir d’une vidéo.
Son dernier rapport vient de paraître le 18 avril et s’intitule « L’attaque neurotoxique qui n’a pas eu lieu: analyse de l’heure et des emplacements des événements importants de l’attaque neurotoxique présumée de Khan Cheikhoun en Syrie, le 4 avril 2017 à 07h00 »
Comme son nom l’indique, cette analyse se fonde cette fois-ci, sur l’étude des données spatiales (lieu de dispersion présumé du gaz et trajectoire du nuage ; lieu habité sur cette trajectoire ; lieu où se trouve les victimes sur les vidéos) et temporelles (heure présumée de l’attaque ; heure sur les vidéos) réalisées à partir des allégations du rapport de la Maison Blanche et des différentes vidéos en circulation depuis. Les conclusions de ces trois précédents rapports sont à nouveau confirmées : la Maison Blanche aurait produit un rapport de renseignement erroné et mensonger. Mais cette fois-ci le constat est sans appel : « l’emplacement présumé de dispersion du gaz sarin à l’origine de l’attaque chimique du 4 avril 2017 à Khan Cheikhoun n’est pas celui d’une attaque neurotoxique. »"



[1] Au nombre des sources fondamentales pour comprendre ce point : les Amiraux Barry Domville (britannique, « From admiral to cabin boy », Edit. Boswell, 1947; réédition Historical Review Press, 2008), et Guy Carr (britannique puis canadien, «Pawns in the game », 1958; éditions française « Des pions sur un échiquier », Saint-Rémi, 2010), ainsi qu'un grand nombre de sources du renseignement britannique ayant opéré contre les bolcheviques (Sidney reilly, Cpt George Hill, Sir Paul Duke). Côté américain, notamment les généraux américains Patton et Marc MacArthur, repris plus tard par le "grand patron" du F.B.I. John E. Hoover, quant aux curieuses forces à ce point désireuses de raser et génocider l'Allemagne sans pitié ni respect du droit (Plan Morgenthau), et surtout contre des forces subversives visant à pervertir la nation américaine de l'intérieur.
[2] Genève contre la Paix, Plon, 1936. p.28.
[3] Référence à « Vodka Cola » (Charles Levinson, Edition Stock, 1977)
[5] « La face cachée d'Henry Kissinger », in « Faits et chroniques interdits au public » (Pierre et Danièle de Villemarest, William D. Wolf, Editions Aquilon, 2003, Tome I, p.21).
[6] « Kissinger est la face obscure de Trump en Syrie » (Nafeez Ahmed, 7 avril 2017, via Global Relay Network) ; « Trump est-il l’homme de (sous-)main d’ Henry A. Kissinger & Cie? » (William Engdahl, ne janvier 2017).
[7] Voir sur ce point l'irremplaçable « pétrole, une guerre d'un siècle » de William Engdahl (éditions Jean ciel Godefroy, 2007, chap.9).
[8] C’est notamment le sens de l'entrevue donnée par Pieczenik le 20 octobre 2015 à Infowars (Alex Jones) : https://www.youtube.com/watch?v=E2qyeHevYu0 ; transcription ici : « [Infowars] Le Dr. Steve Pieczenik défend les révélations de Trump sur le 11 septembre 2001 » (CVR, 20 octobre 2015).