Le jour du jugement : les
antifascistes sévèrement rossés à Berkeley.
La chasse aux soi-disant antifas
est ouverte !
Rappel : « [Brocéliande++]
Le vrai visage des manifestants anti-Trump que les médias français ne veulent
pas vous montrer... » (CVR, 6 février 2017).
Quand la gauche antifasciste biberonnée
par l’Université de Berkeley nourrie prend sa branlée face à des pro-Trump bien
contents de trouver contre qui exercer leur excès de testostérone.
Il est à parier que sous Obama
ou Hillary Clinton, on n’aurait pas tant laissé faire ce rétablissement de la
hiérarchie naturelle.
Quand la Contre-culture vide de
sens rencontre le bon sens : « L’éternel
retour du concret », séquence castagne dans une ambiance “summer
break“ :
Avec des personnages hauts en
couleur !
Éloquence contre éloquence ?
La provocation de roquet d’un
côté, la force tranquille de l’autre… qui gagne ?
Pour reprendre Al Capone « On
obtient toujours davantage avec un sourire un revolver, qu’avec seulement
sourire »
L’ennui c’est qu’avec des scènes
comme cela : il y aurait pu avoir des blessures graves voire des morts :
Le meilleur : les antifas jouent
les pauvres chéris et veulent un entraînement au combat et des armes à feu,
après avoir constaté leur globale absence de capacité combative au-delà de la
provocation, constatée sans appel face aux cohortes pro-Trump[1].
Mais pas de bol, en Californie, État
progressiste au possible, le droit au port d’armes est très restreint depuis
Reagan. Le serpent se mord la queue, les antifascistes pacifistes violents mais
entièrement, veulent soudainement s’armer : un furieux parfum de
bolchevisme !
Il suffit d’imaginer des
manifestants antifascistes provocateurs de ces images, avec des armes en main :
ça donne les meilleurs politrouks !
« Les confiscations
d'armes se terminent toujours en massacres de masse » (Bert Pachulski,
dissident polonais, 26 janv. 2013, Infowars)
« Si les catapultes sont
hors-la-loi, seuls les hors-la-loi auront des catapultes »
(proverbe romain)
Mention spéciale à une
sémillante antifa ses prix pour une guerrière, promettant de ramener « 100
scalps de nazis »… L’aventure a été de courte durée, mais sera-ce
suffisant pour la ramener à plus de raison ? Disons qu’elle avait pris ses
responsabilités.
[1] « Antifa
wants combat training and firearms after losing the ‘Battle for Berkeley’ »
(The Blaze, 21 avril 2017)