La guerre féroce de l’État profond contre
Trump, voit ses soutiens médiatiques malmenés.
Les “Mèmes/Mêmes“
fleurissent sur les médias alternatifs américains, montrant le POTUS Donald Trump mettant en échec CNN et
les Médias PC US, CNN en tête :
« This
Hilarious New Matrix-Style TRUMP VS CNN FIGHT VIDEO IS THE BEST ONE YET »
(Silence is Consent, 6-7-17).
« Donald
Trump : la réponse ironique de CNN sur Twitter » (France Info TV,
5-7-17)
…les supports
propagandistes s’en émeuvent même :
« “The Great Meme War” : comment les trolls
de 4chan ont porté Trump au pouvoir » (Les Inrocks, 28/03/2017)
Pourtant,
sur la guerre froide entre Trump et
les médias : Trump n’ayant pas assisté au dîner des correspondants de la
Presse à la Maison-Blanche (il est le premier à le faire depuis Reagan après l’attentat
ayant visé en 1981, mais ils les avaient appelés au téléphone).
Ben Stein (écrivains,
acteurs, avocats et commentateur politique) : « les
médias essayent de faire à Trump ce qu’ils ont fait à Nixon », durant
le scandale du Watergate (« Ben Stein: Media doing to Trump what it did to
Nixon » (CNN, 25 février 2017):
Le réel sujet qu’il faut comprendre
:
« Deep
State Begins Anti-Russia Media Blitz Ahead Of Trump-Putin Meeting [l’État
profond commence une guerre éclair médiatique Antirusse, à l’approche de la
rencontre Trump–Poutine ». (Zerohedge, 6-7-17)
Les médias volent en escadrilles pour
promouvoir toutes ces bêtises par effet de saturation/martelage médiatique, pour
promouvoir la destitution de Donald Trump voulu par l’État profond américain,
sur le fondement d’une soi-disant collusion Trump–Poutine.
Mais ça ne suffit plus : Le
dossier CNN et l'absence de preuves de la conspiration russe suite, les acteurs
principaux reviennent prudemment sur leurs conclusions…
Rappel du fond de l’affaire “russe“
: un soi-disant rapport absolument vide, alors que supposé prouver une
collusion entre Trump et Poutine :
« La
réelle signification du rapport de la Direction du renseignement US sur « le
choix de la Russie d’interférer dans l’élection »... (CVR/Saker, 8 janvier
2017).
Pour mémoire,
sur CNN prise la main dans le pot de
confiture :
« L’hystérie Antirusse
s’effondre, la Cour Suprême redevient raisonnable : les faux scandales se
dégonflent... » (CVR, 27 juin 2017).
Conséquence : effondrement des audiences de CNN et surenchère dans l’hystérie :
« CNN's
Ratings Collapse As Primetime Shows Draw Less Viewers Than Re-Runs Of
"Yogi Bear" » (ZeroHedge, 6-7-17)
Comparer, pour comprendre le caractère hystérique et
hors de proportion de toute cette affaire : Obama à Dmitri Medvedev (Nuclear
Security Seoul, 2012) : « après mon
élection [réélection], j’aurais plus de flexibilité ». Jamais Obama n’a
été pris à parti pour ces mots qui pourraient clairement être pris pour de la
collusion…
« CNN Host Has Emotional Breakdown -
Because People Don't Trust CNN Anymore » (Mark Dice, 1er
juillet 2017) :
C’est au tour du New York Times, héraut
de la cause anti Trump, de faire prudemment machine arrière : ce ne sont plus “17 Agences de Renseignement
américaines“ mais seulement quatre (DNI, CIA, FBI, NSA), dont le NYT prétend qu’elles
ont rendu compte de liens entre Trump et la Russie.
« Trump’s
Deflections and Denials on Russia Frustrate Even His Allies » (NYT, 25
juin 2017, correctif du 29-6-17).
Ce n’est
qui n’empêche pas d’autres auteurs du NYT de continuer cette fable des « 17
Agences » : « Trump
Misleads on Russian Meddling: Why 17 Intelligence Agencies Don’t Need to Agree »
(NYT, 6juillet 2017), « Trump
to Meet With Putin at G-20 Gathering Next Week » (NYT, 29 juin 2017)
En fait 3 agences
seulement (CIA, NSA et FBI) ,pas le DNI, d’après le DNI James Clapper lui-même,
à l’audience du 8 mai du Senate Judiciary subcommittee : « Full
transcript: Sally Yates and James Clapper testify on Russian election
interference » ( mai 2017).
« Cette
fois c’est Van Jones, un gauchiste professionnel et ancien officier de l’administration
Obama, qui qualifie l’affaire russe de gros burger de non-sens » :
« CNN's
Van Jones calls Russia investigation a 'big nothingburger' » (Conservative
National News, 28 juin 2017).
Mais le mal est
fait, et les démocrates subversifs font flèche de tout bois contre ce qu'ils
perçoivent à raison, comme une rupture du consensus médiatique mondialiste.
Dans cette affaire, ce sont toutes les barrières
mentales qui sautent face au
concret : la pression et l’endettement des journaux, la financiarisation de la
vérité, et le risque belliciste à terme puisque c’est une confrontation inutile
entre les États-Unis et la Russie qui est en jeu au final .
Il est intéressant de voir les réseaux
juifs sionistes, surpuissants à New York derrière notamment le NYT, mais aussi
partiellement rallié au soutien de Donald Trump, jouer une valse-hésitation eux
aussi : Alan
Dershowitz, ayant pourtant voté pour Hillary Clinton, sioniste belliciste
hystérique[1],
admettant pourtant qu’il n’y a pas de crime pour reprocher à Trump en l’état :
« Alan
Dershowitz Says Special Counsel Will 'Find No Crime' » (CNS-News, 22 mai
2017).
[1] « Dershowitz:
Israel Has Legal Right to Attack Iran » (Alan Dershowitz, Israel
National News, 12/12/11).