Petit rappel chronologique
pour comprendre l’ambiance aux États-Unis : tous les prétextes et évènements sont bons pour la mise sous tension constante
de la société américaine par instrumentalisation des antifascistes et autres groupuscules
gauchistes manipulés.
Rappel : « [Brocéliande++]
Le vrai visage des manifestants anti-Trump que les médias français ne veulent
pas vous montrer... » (CVR, 6 février 2017).
« Stratégie
constante de perturbation de la continuité de l’État par les manifestants
anti-Trump : qui bono? » (CVR, 15 mars 2017)
« Affrontements en marge des ralliements pro-Trump, et
suspicions d’agents provocateurs… » (CVR, 27 mars 2017)
« Le
jour du jugement : les antifascistes sévèrement rossés à Berkeley. »
(CVR, 29 avril 2017)
Lire également « Pétrole,
une guerre d’un siècle » de William Engdahl (éditions Jean Cyril
Godefroy, 2007, chap8), pour comprendre
tout ceci comme l’aboutissement du tournant postindustriel de 1957 aux
États-Unis : à partir de cette époque où la classe moyenne américaine
était lettrée, progressiste au vrai sens du terme (mettant sa foi dans le
progrès technologique et une vision juste du monde par le développement
économique), on a fait le choix aux États-Unis de former davantage de
sociologues que d’ingénieurs, tout en promouvant des mouvements subversifs comme
la contre-culture afin d’éroder, de saboter et de diviser la société américaine
(également par instrumentalisation de des questions raciales), tandis que les
guerres extérieures (Vietnam) ruinaient la confiance des États-Unis dans leur
propre modèle.
Compilation 2016 : véhémence et troubles à l’ordre
public fréquents en marge des ralliements pro-Trump, toujours créés par des
groupes antifas violents, mais les pro-Trump donnent le change.
Novembre 2016 :
Les couards les plus abrutis,
s’emmêlent eux-mêmes dans leur argument, ignorant les scandales associés aux
Clinton…
une journaliste allemande anti
Trump cache difficilement sa détresse
Janvier : agitateurs
tentant de perturber la cérémonie d’investiture de Trump
Février : reprochant
à la police de laisser s'exercer le premier amendement
Au superbowl, toutes les occasions
sont bonnes pour perturber l’ordre public
Avril : la promotion
de l’abrutissement chez les “Guerriers la Justice Sociale (GJS [Social Justice
Warrior – SJW] : on choisit les jeunes humains les moins bien réglés où
les vieux frustrés, on les finance et on les promeut sans fin partout dans la
société… Mais ils comprennent rarement que quand on choisit la violence on prend aussi des coups en retour.
Mai : les meilleurs SJW les
plus lobotomisés
La police dégage la voie
juin : provocations constantes, la police réagit
Un antifa tire un couteau face à
des vétérans qui savent se battre… mauvaise idée ! Remarquablement
incapacité et livré à la police sans violence hormis son immobilisation.
Autre best of d’antifascistes
arrêtés :
Une pauvre féministes SJW qui se
fait dire qu’elle a des problèmes avec son papa, se retrouve à deux doigts de
pleurer, et est défendue par un gentil petit SJW qui en deviendrait presque un
homme viril
Parmi les arguments : la fin suprématie blanche : d’où vient
donc cette idée ?
Juillet :
Emeutes Black Lives Matter à
Baton Rouge
L’enthousiasme quand il s’agit
de brûler des emplois américains, se termine mal
Toujours la sombre débilité des
GJS…
Latino légal patriote contre latino illégal aspirant SJW…