Trump rencontre enfin Poutine!
Félicitations à la fois à Poutine et
à Trump : des partenaires égaux en fin de compte !
Il est regrettable que les Médias PC[1]
sachent si peu de choses quant à la nature de la politique étrangère et des
types de personnalité. De plus, les MPC n’ont aucune compréhension des
fondements intellectuels basiques, concernant de quoi est fait la vraie
politique étrangère américaine. Au lieu de cela, ils se complaisent dans leur
monde de la fantaisie et des spéculation, quant aux soi-disant “interférences“[prétendues
de la Russie dans les élections américains de 2016] menant à des conclusions
hautement distordues.
L’ignorance
est prévalente dans les médias. Elle est une partie intégrante de leur zeitgeist[2]. Les fameux journalistes et reporters d’hier : Scottie Reston, David Binder, Walter Cronkite, etc… ont
été remplacés par des éditeurs d’aujourd’hui sortis des écoles de journalistes,
n’ayant absolument aucune base pour
évaluer une réunion entre les deux plus grands dirigeants du monde (comprendre
: deux personnalité [au sens psychologique]) comme Vladimir Poutine et Donald
Trump. Au lieu de cela, ils se répandent
en rumeurs et distorsions implicites, en fait spécifiquement fabriquées pour
les médias PC.
Comment est-ce que je le sais ?
Mais tout simplement parce que dans ma vie d’autrefois, j’étais un expert
dans la manipulation des Médias PC ! Des reporters seniors m’ont interviewé après des
événements majeurs comme le kidnapping d’Aldo Moro, impliquant un certain dénouement.
J’ai alors eu à nourrir ces journalistes fourbes (du New York Times), avec tous les non-sens qu’ils avaient voulu
entendre. C’est seulement bien des années plus tard que leurs histoires furent
complètement invalidées, par ma propre admission finale selon laquelle « j’avais délibérément égaré la presse » afin
de servir mon Gouvernement américain à cette époque[3]. Ce
type de rencontre duale se déroula bien souvent. À chaque fois, j’avais à
passer quelques temps pour étudier l’agenda caché [l’intention sous-jacente] du journaliste, et alors je jouais avec
tant que j’en avais besoin, afin d’accéder à ces exigences initiales, le laissant
au final dans un certain embarrassement.
À la fois Poutine et Rome sont des maîtres de la manipulation des médias
conventionnels. Ils jouent avec et ensuite ils piègent les
journalistes avec des “pots de miel [honey trap]“. Au final, à la fois les
journaux et les journalistes apparaissent comme aussi bêtes qu’incompétents.
Dans le monde du Renseignement, les
médias américains sont un artefact constitué de narratifs hautement artificiels,
souvent glorifié dans le milieu académique en tant que en tant que “journalisme
professionnel“ [comprendre : indépendant et pertinent]. Rien ne pourrait être plus éloigné de la
vérité !
Examinons ensemble quelques
exemples choisis :
–
Dans le cas
du 11 septembre 2001, nous savons bien
que les médias ont été cooptés à dessein
par le Juggernaut
américain unique : les différentes Agences militairo-civiles du Renseignement.
–
En
poursuivant, nous avons eu les néoconservateurs ayant bénéficié de passe-droits pour éviter la conscription [“draft-dodgers],
qui se répandent dans un marasme de mécontentement et d’ignominie, criant à la barbarie de Poutine et de la
Russie quand il ne fait que récupérer sa continuité territoriale naturelle
(la Crimée). Et aujourd’hui encore, la
presse n’a aucune connaissance concernant le fait que nous, les officiels
américains, avions promis à la Russie son port naturel sur la Crimée (Sébastopol),
lorsque nous avions mis à bas l’Union soviétique.
À présent,
Trump va faire ce qu’il a toujours bien fait. Il va acquiescer au mérite de
Poutine et lui donner l’accolade comme un collègue égal sur la scène
internationale. Ceci garantit à la Russie, une gigantesque masse de terre sur 11 faisceaux horaires
(aujourd’hui réduit à 9), le statut et la reconnaissance qu’elle a depuis
longtemps mérité.
Comme sur la photo de classe de ces
pays du G20, arrangée par la brillante [ironique] Angela Merkel : elle et ses collègues seront depuis
longtemps oublié tandis que l’Amérique maintient sa résurgence, dans les arènes
financières, militaires et civils du monde. Tandis que dans le même temps l’UE va voir sa puissance centralisée s’effondrer
aussi vite que possible. La France et l’Allemagne vont regretter le fait d’avoir
contracté une alliance impie à travers leur “Euro-marché [zone Euro]“ éthéré.
Ce qui attend l’horizon lugubre de l’UE, ce sont les inévitabilité suivante
:
–
Le Brexit
–
L’indépendance catalane en Espagne
–
Quatre banqueroutes de la Grèce
–
Les défaillances bancaires finales
en Italie et au Portugal,
–
le démembrement des autres
États-nations européens.
Tandis que l’Amérique va continuer à être la puissance financière et
militaire dominante du monde pour quelques décennies encore. La Chine va devoir attendre son
tour avant que son Initiative Une Ceinture Une Route ne soit bâtie, si elle
parvient à l’être entièrement. La Russie
va devenir un partenaire milite terre & majeur des États-Unis. Et la
photo de ce sommet du G20 va se dissoudre dans l’oubli…
Le fameux auteur et poète allemand Heinrich
Heine écrivit les mots suivants :
« Quand les héros quittent la scène, les clowns y font leur entrée »[4].
S’il vous plaît, applaudissez la
mère Merkel [s’inclinant devant le roi d’Arabie Saoudite alors qu’il est sur un
siège éjectable] au G20 !
Additif CVR : seul Obama avait osé s’incliner non sans ridicule devant le roi d’Arabie
Saoudite avant Merkel, ce qui représentait une honte en termes de soumission
des États-Unis d’Amérique.
La corruption massive des Saouds sur
la vie politique américaine, non sans lien avec Israël, fut largement dénoncée en
son temps par les milieux militaires aux civils qui ont soutenu la victoire de
Donald Trump.
Voir pour mémoire notre exemple ici (+sources
CVR), rendant compte de la lutte d’influence pour le contrôle des États-Unis ou
bien pour leur souveraineté et l’évitement de nouvelles guerres inutiles :
Voir également l’entrevue mémorable
de Pieczenik en septembre 2012, au lancement de son blog dont CVR est la
traduction française :
« [Infowars]
Dr. Steve Pieczenik chez Alex Jones, sur Benghazi, Israël, le 11 septembre
2001, Netanyahou, l’AIPAC, le Sionisme. » (CVR, 16 septembre 2012)
Rappel : Donald Trump himself, avait
posé les bonnes questions dès le jour même du 11 septembre 2001, quant à l’effondrement
hautement suspect des Twins et du WTC 7 :
Pour comprendre les interdépendances,
lire aussi la synthèse par Thierry Meyssan : « Sous nos yeux », (Edit.
Demi-Lune, 2016), pour comprendre la cohérence entre ces bonnes questions qui
furent posées par Donald Trump dès le 11 septembre 2001, et la façon dont
Donald Trump fut coopté par les milieux patriotiques américains, au gré d’une
lutte d’influence contre les réseaux sionistes bellicistes, bien qu’ils aient
en partie repris pied auprès de Donald Trump : cette lutte d’influence n’est
toujours pas terminée…
Rappel/éléments pour mémoire :
« [IMPORTANT]
La vérité sur la victoire de Trump : Analyse et synthèse. » (CVR, 21
novembre 2016)
[1] MSM = MainStream Medias : Médias
Principaux Courants/Politiquement Corrects [MPC].
[2] zeitgeist [esprit/vision du temps] : comprendre ici le temps
médiatique, l'arrière-plan mental relatif au temps (l'immédiateté du monde
de l'information) différent du temps réel de la politique étrangère (qui
raisonne sur le temps long).
[3] Sujet très sensible ici : Aldo
Moro fut kidnappé pour des raisons bien spéciales, afin de maintenir un clivage
en Italie entre les pros- et les anticommunistes, empêchant de fait toute union
politique de l’Italie, ceci afin de maintenir au final à la domination à la
fois mondialiste (Bilderberg) et américaine de l'Italie. Cette stratégie
américaine aurait été tout à fait légitime en 1945–1947 (dans le contexte d’un
risque absolument réel d'une bolchévisation complète de l'Europe), mais l’était
infiniment moins dans le contexte des années 1970–1980 : dans un contexte
où les réseaux Gladio de l'OTAN ont été utilisés délibérément pour maintenir la
docilité des nations d’Europe de l'ouest, spécialement l'Allemagne et l'Italie,
mais aussi de la France, de l'Espagne et du Portugal, ce que l'on sait moins. Lire
et croiser trois sources principales ici : « Pétrole,
une guerre d'un siècle » (W.
Engdahl, Edit Jean-Cyrille Godefroy, 2007) ; le très rare mais
très instructif ouvrage « Les vrais maîtres du monde » (Luis
Gonzalez-Mata, Éditions Grasset & Fasquelle,
1979) ; « Les Armées secrètes de l’OTAN » (Daniele
GANSER, Edit. Demi-Lune, 2011.
[4] « Nach dem Abgang der Helden kommen die Clowns und
Graziosos mit ihren Narrenkolben und Pritschen » (Ideen, das Buch le Grand, 1827, chap.11).