Le corps des Inspecteurs Généraux
(IG) du Département d'État a tranché : l'ex-Secrétaire d'Etat [Sec. State]
Hillary Clinton N'AVAIT PAS LE DROIT DE METTRE EN PLACE SON SERVEUR PRIVE!!!
Quand
[la division de] l'Inspection Générale[1]
(IG) [au sein] du Département d'État condamne l'utilisation par Hillary d'un
serveur privé pour ses e-mails, alors vous savez que HC[2]
est vraiment en difficulté. En outre, l'IG a également statué qu'elle [Hillary]
n'avait jamais demandé la permission d'avoir un tel serveur privé ; et si elle l'avait
demandée, elle ne se serait pas vu conférer ce droit d'en avoir un. En des
termes simples, Hillary a intentionnellement commis ce qui d'un
point de vue de la législation fédérale, constitue un crime.
Exactement !
Exactement !
[mensonge d'] Hillary Clinton,
le 10 mars 2015 [image Fox News]: « je
n'ai pas envoyé par e-mail aucun matériel est classifié à personne depuis mes
e-mails.
Il n'y a pas de matériel classifié [dans mes e-mails »]
Elle
savait pourtant depuis ses expériences précédentes (à la Maison-Blanche [WH],
en tant que Sénateur, en tant que femme du Président [POTUS], au sein des
Services Secrets, etc.), Qu'elle n'était pas autorisée à utiliser ou créer de
serveurs privés (dont un laissé seul [sans surveillance], dans une baignoire[3]
[d'un appartement] du Colorado).
Par conséquent, comme elle avait
coutume de le faire, elle a ignoré ces
interdictions[4]
et a essayé de contourner les lois fédérales pour finalement décider de les
briser.
Comme une fieffée sociopathe, HC se pensait au-dessus des systèmes complexes imbriqués de contre-pouvoirs [checks and balances] qui caractérisent les systèmes de sécurité étroitement surveillés du Département d'Etat. Encore une fois, elle a insisté pour enfreindre les règles fédérales. Encore une fois, elle a manœuvré pour transgresser les règles fédérales.
Comme une fieffée sociopathe, HC se pensait au-dessus des systèmes complexes imbriqués de contre-pouvoirs [checks and balances] qui caractérisent les systèmes de sécurité étroitement surveillés du Département d'Etat. Encore une fois, elle a insisté pour enfreindre les règles fédérales. Encore une fois, elle a manœuvré pour transgresser les règles fédérales.
« De nouveaux doutes au sujet du
"suicide" de Foster[5]»
Il
y a très peu de choses restant encore à ajouter, à ce qui est déjà connu
concernant ces "nains moraux"
[nains d'un point de vue des vertus morales] qui sont appelés les Clinton. Pourtant l'élément qui a toujours manqué à l'occasion de la plupart de
leurs transgressions collectives, a toujours été la probité [de l'Institution]
judiciaire. Quelque chose de tout à fait différent d'un impeachment pour avoir
menti au sujet des transgressions sexuelles dans la Maison-Blanche [WH] par
Bill[6],
rien de sérieux n'a été mis en œuvre
afin de stopper cette hécatombe d'avidité vorace et d'ambitions politiques louches.
Pourtant aujour'hui, le Département d'État
a fait courageusement un pas en avant sous le couvert de[7]
l'IG afin de stopper les communications privées d'Hillary, ineptes, infantiles
mais excessivement dangereuses. Hillary a dépassé les limites de la tempérance
et du comportement judicieux, lorsqu'elle a ouvertement menti sur
le fait qu'elle n'avait reçu aucun "Documents
estampillé Classifié" [“Classified-Marked
Documents”].
La
vérité est beaucoup plus laide qu'elle ne pourrait bien vouloir l'admettre
publiquement. Elle a, au fil des ans au sein du Département d'Etat,
effectivement compromis les METHODES ET LES SOURCES d'informations hautement
sensibles, qui appartenait par réflexe aux catégories TOP SECRET [S] et même
au-delà.
Et elle le sait!
Depuis au moins deux décennies ou
plus, j'ai refusé de recevoir une accréditation TS [Top Secret]. La raison était
et demeure aujourd'hui simple. j'ai réalisé que quelque soit mon assignation à
l'extérieur [à l'étranger], je savais que si je venais à être interrogé par des
forces opposées [aux Etats-Unis] (par exemple le Renseignement syrien, les militaires
jordaniens, le Mossad israélien, etc.], j'aurais pu dire honnêtement que je ne
savais rien et que je voulais en apprendre encore moins que rien.
Des remerciements spéciaux devraient
aller à l'ancien Secrétaire Assistant à la Sécurité Diplomatique [Assistant Secretary of Diplomatic Security], Eric Boswell, un agent
distingué du Service Extérieur [Foreign Service
Officer - FSO],
qui a courageusement déclaré sur Fox Nouvelles que « Hillary avait un blackberry non sécurisé qu'elle a utilisé dans des
zones non sécurisées hautement sensibles du septième étage[8]»
Elle a commis un crime, non pas une
ou deux fois, mais bien plus de fois encore.
J'adresse ma dernière supplication
au Directeur du FBI James
Comey et à son patron, le Procureur Général, Loretta Lynch : s'il vous plaît,exécutez la loi, comme il
est mandaté [prévu] dans un tel cas de parodie flagrante de la Sécurité
Nationale[9].
Pour moi, il s'agit là d'un cas qui déterminera
[la bonne marche de] notre système judiciaire interne pour le XXIe siècle.
Vont-ils donc faire ce que la loi les oblige à
faire?
Et la déclarer coupable?
Ou bien, vont-ils
se prosterner devant le POTUS [Président] qui a éludé sommairement et
illégalement la gravité des transgressions d'Hillary?
Nous vivons dans un chaudron
d'agitation politique. L'œil du cyclone est cette inculpation [indictment] d'Hillary. Ceci va décider
de la bonne marche de notre Nation pour le prochain demi-siècle ... ou plus.
Il y a un vieux proverbe hindou qui dit :
« Les dictateurs montent çà et là sur les tigres dont ils n'osent plus descendre ensuite...»
Note CVR : dans plusieurs entrevues
avec Alex Jones, le Dr. Pieczenik a clairement laissé entendre que Obama devrait
choisir entre la préservation de sa "légende" [en tant que Président]
en matière de politique internationale, et le sauvetage de Hillary Clinton...
Additif sur Hillary Clinton :
– «Clinton:
Destroy Syria for Israel » (New Observer,
22 Mai 2016 ), sur le faite que les
serviteurs de l'État américain en ont marre d'être instrumentalisés pour les
intérêts d'États tiers...
–« Clinton est vraiment dangereuse » (Diana Johnstone : Arrêt Sur Info, site Suisse aux analyses souvent très justes,
[1]Sur le corps des inspecteurs généraux : voir notre article précédent : « L'importance cruciale du corps des Inspecteurs Généraux de l'Administration Obama, mais ils sont en train d'être éviscérés! », 29 novembre 2015. Remarquons leur devise en français et la non interversion des mots : "Inspector General" [IG] et non "General Inspector" (l'ordre des mots est le même qu'en français alors qu'il devrait être inversé en anglais, c'est là une réminiscence des origines françaises de l'anglais ancien).
[2] Hillary
Clinton, qu'avec humour on pourrait ici assimiler à "Honorable
Correspondant", au sens ici où par
sa prétention à détenir un serveur privé pour recevoir ses e-mails classifiés,
HC [Hillary Clinton] agissait de fait comme un "HC" [Honorable
Correspondant], c'est à dire un pourvoyeur d'informations sensibles pour le
compte d'éventuels Services de Renseignements [SR] étrangers qui pouvaient
grâce à Hillary Clinton, espionner facilement n'importe quel secret transitant
imprudemment sur son serveur privé. D'où l'irritation majeure des serviteurs de
l'Etat américain car ceci a mis en danger des opérationnels américains... Voir notre article précédent : « Assange,
Snowden, Manning pourchassés/en prison pour viol de la Sécurité Nationale... et
quid d'Hillary? » (21 janvier 2016).
[3] NDT : selon les
sources, il s'agit tantôt d'une baignoire [bathtub]
de salle de bain (ce que dit Pieczenik, qui est bien informé), tantôt d'un
placard de salle de bain [bathroom closet]
: « Hillary
Clinton's private server was stored in a bathroom closet » (The Week, 18 août 2015); « Report:
Hillary's Email Server Was Kept in a Bathroom Closet in Denver » (Fox Insider, 18 août 2015) ; « Tech
Firm That Housed Hillary Clinton’s Private Server Kept Servers in an Apartment
Bathroom: Report » (The
Blaze, 18 août 2015). L'article initial
exclusif est celui du Daily Mail (18
août 2015) : «
EXCLUSIVE:
Hillary's email firm was run from a loft apartment with its servers in the
BATHROOM, raising new questions over security of sensitive messages she held ».
[4] NDT : "proscriptions" en anglais : alors
que subsiste le verbe
"proscrire", et l'adjectif "proscrit", le terme
"proscription" n'existe plus vraiment en français que dans sons sens historique.
[5] Wikipedia : « Vincent Walker Foster Junior (15 janvier
1945 - 20 juillet 1993) était un Conseiller de la Maison-Blanche pendant le
premier mandat du Président des États-Unis Bill Clinton et aussi un avocat
associé et un ami de Hillary Rodham Clinton. Sa mort a été classée comme un
suicide par plusieurs enquêtes officielles, mais reste un sujet d'intérêt en
tant que théorie du complot ». Voir aussi la page (en anglais) concernant ce
"Suicide de Vince
Foster". Il est très vraisemblable que si Pieczenik fait ici une allusion à
cette affaire, c'est que la CAR [Communauté Amériacine du Renseignement] en
connait les dessous...
[6] NDT : allusion
évidemment, à l'affaire
Monica Lewinsky.
[7] NDT : "in the
guise": "faux ami" ici,
signifiant en anglais non pas "à la
guise de" ("à la manière de",
dérivé du proto-germanique wisa ["façon/manière"]
que l'on retrouve en néerlandais
[wijze], en allemand [Weise], ou en suédois [visa])
mais ici "sous le couvert/la couverture de".
[8] « How Clinton’s email scandal took root » (Washington Post, 27 mars 2016). « Hillary’s Non-Secure Blackberry Had ‘Vulnerability’ On China Trip » (Breitbart, 26 janvier 2016); « Emails: Hillary Clinton Knew Her Blackberry Was Non-Secure by Feb. 2009, Continued Using it » (Breitbart, 12 mai 2016). « Clinton tried to change rules to use BlackBerry in secure facility for classified information » (FoxNews, 16 mars 2016). « Clinton used unsecured phone line, Blackberry risking national security » (Examiner, 16 mars 2016).
[9] NDT : « Please execute the law as mandated in such a blatant travesty
of national security ». L'utilisation de "execute" n'est pas anodine, puisque Pieczenik a déjà laissé
entendre qu'en termes de justice militaire, une telle transgression serait passible de peine de mort pour
Intelligence avec l'ennemi (car ayant mis en danger des personnels et
opérationnels américains...).