Hillary Clinton : “Une Femme dans la foule”
Hillary Clinton : Une femme dans la
foule!
Elle a débuté au fin fond de
l’Arkansas rural de racines ignominieuses, pour parvenir au faîte de sa
carrière politique et fuira en avant vers sa finale autodestruction. Ce
narratif particulier semble une réplique « en miroir » du scénario
d’un film américain classique de 1957 intitulés « un homme dans la foule [“A Face In The Crowd”]» , écrit par Budd Schulberg est dirigé par Elia Kazan.
Ce film me lança une étoile montante
alors inconnue, Andy Griffith, jouant Larry
"Lonesome" Rhodes, un dilettante alcoolique de la part Nord-Est rural de
l’Arkansas. En un temps record, il rencontre la fortune et une grande
réputation jusqu’à avoir de l’influence politique, grâce aux efforts de Patricia
Neal (un petit producteur de radio locale). Alors que je revoyais ce film la
nuit dernière, j’ai pensé tout d’un coup à deux habitants de l'Arkansas qui ont
utilisé leurs dons folkloriques pour la palabre hypocrite, auxquelles ils ont
dû leur ascension sur le m’a bien gras de la politique étatique [au niveau d’un
Etat interna aux Etats-Unis] puis nationale [fédéral]
En particulier, Lonesome Rhodes, était le portrait craché de
Bill Clinton, a vagabond itinérant n’ayant pas d’autres histoires que l’art de
faire croire à des histoires imaginaires [make believe storylines], qu’il a
créé afin de séduire une audience de croyants de plus en plus large. Clinton, à
l’instar de Rhodes, n’a dépendu que de la gentillesse d’étrangers, en
particulier Sam Walton, l’ancien officier du renseignement
militaire qui était en charge des camps d’internement Italo-allemands aux
États-Unis durant la Deuxième Guerre mondiale. Depuis cela, Rhodes/Clinton parvint
à utiliser
ses homélies pour voler la réélection de George H.W. Bush pour parvenir à
devenir POTUS [Président].
Parallèlement, j’ai imaginé ensuite
Hillary en tant que sœur d’arme de Bill, facilitant, encourageant et flattant à
la fois son émergence (à lui comme elle) au plus haut niveau du Gouvernement US
[USG]. En réalité, Hillary n’a rien accompli d’autre de tangible qu’une série
de palabres mettant l’action sur « le
fait d’être ensemble [‘togetherness’] » et toujours « plus de programmes sociaux
[more social welfare programs] », tandis qu’elle se rendait coupable
de toujours plus de frauder de félonies.
Comme Rhodes, Hillary ne croit pas
un seul de ses traîtres mot. Au lieu de cela, elle court les faveurs des
banquiers de NYC, et autres généreux donateurs, lui permettant d’amasser une
incroyable fortune basée sur rien d’autre qu’une collusion stratifiée
impliquant des schémas revenant à « payer pour jouer [pay-to-play schemes] »
(Fondation Clinton)].
À présent, ce que je sondais
l’internet, j’ai découvert que Marc Fisher, un journaliste du Washington Post,
avait eu une similaire à la mienne.
Pourtant, Marc comparait Rhodes à Donald Trump. Laissez-moi citer son
analyse intéressante :
« La façon dont Trump fracasse les règles établies, pourrait n’avoir
aucun précédent dans les annales des campagnes présidentielles, cependant le
modèle de ces fabuleux (et le potentiel pour une chute tout aussi dure), a été
évoqué dans « Un homme dans la
foule »... ou un charmant voyageur de l’Arkansas monte en flèche à partir d'une
cellule sale de prison jusqu’à son apogée en tant qu’une célébrité américaine
ayant du pouvoir politique ».
(
« Contrairement à Trump, Rhodes
n’a pas d’argent avant de commencer à tirer le public. Mais le reste de son
histoire est un portrait révélateur en forme d’avertissement, de ce qu’il
arrive quand un non-politicien capture l’imagination américaine, exprimant la
frustration et les aspirations du peuple, gagnant les cœurs et la confiance, et
dispersant dans le paysage de choix qui rappelle qu’au dessous de ses mensonges
ayant l’apparence de la réalité, il y a un mépris hargneux
Comme Trump, Rhodes offre un rappel
de ce que la démagogie d’une personne est un autre populisme. Ajouter une dose
d’arrogance, et le résultat ressemble à une chute dramatique qui attend son
heure ».
Bien sûr,
ce qui manque dans le discours de Marc, c’est le fait que c’est bien Hillary qui a commis le péché
capital d’arrogance, du mépris et de la criminalité par le viol de notre
sécurité nationale, assortis de son dédain pour des emails classifiés. De
manière similaire, il ne fait pas l’ombre d’un doute qu’Hillary souffre d’une
maladie de Parkinson sévère ainsi que de ses effets secondaires dangereux
concomitants (dystonie, pneumonie létale, commotion
cérébrale). Elle essaye pourtant de balayer
ces murmures qui commencent à rugir, quant aux fêtes qu’elle ne serait pas
mentalement ou physiquement capable d’endosser le plus stressant rôle qui soit,
celui de
POTUS.
De plus, la grande presse veut
occulter le fait que Trump fut et demeure un homme d’affaires plein de succès
sur de nombreux fronts. Ces enfants sont
élégants, sont des adultes productifs qui font eux-mêmes des carrières
crédibles. Chacun agit en tant que porte-parole et témoignage d’un citoyen
américain très qualifié qui veut « rendre
l’Amérique de nouveau grande “make America Great Again” ».
Foutue réalité, proclame
Hillary !
Ma destinée, ou rien d’autre !
Ceci représente le danger ultime
d’une ambition politique implacable pure, aveugle aux besoins de notre population
et face à notre position déclinante dans l'arène internationale. Hillary est une femme dans la foule qui voudra
réaffirmer l’incompétence de ces 30 dernières années, tandis que des
« politiciens professionnels », on les appelle, gouvernèrent et
ruinèrent notre pays !
Merci
à vous, Budd Shulberg et Elia Kazan (qui étaient tous deux des dénonciateurs au
sein des audiences du Comité d’extrême droite HUAC durant les années 1950,
dénonçant systématiquement leurs très chers « conspirateurs co-communistes
[“co-communist conspirators”] ». Ces deux-là expliquèrent leurs agissements
néfastes dans le film encore plus brillant qu’ils créèrent quelques années plus
tard : « Sur les quais [“On The Waterfront”] » avec Marlon Brando (sur les
mouchards !)
Autrefois
Hollywood était donc un lieu où des films intelligents, plein de réflexion et
de controverse était tournée. Aujourd’hui, comme il en va de ce que nous
appelons nos « honorables élections/politique »… ceci a aussi
disparu.
Il
y a un vieux proverbe dit quelque chose comme cela : « L'âge et la
trahison triomphent de la jeunesse et la compétence. »