Notre conclusion [CVR],
concernant cette histoire de l'amiral Williams :
Nous
sommes ici face en présence d'un véritable cas d'école : un habituel organe dispensant souvent de désinformation
avérée, mais qui peut aussi servir de canal dans le cas d'espèce, afin de faire
fuiter une information qui ne peut pas fuiter ailleurs.
Ceci
se passe en deux temps :
1- Dans un premier temps : nous avons très clairement vu que WhatDoesItMean.com sert
d'ordinaire en tant que canal de désinformation. Plus
précisément il s'agit d'une CoIntelPro, c'est-à-dire un
Programme de Contre-Influence [PCI], technique relevant du Renseignement
plus ou moins "gris" voire "noir" : "on" créée un groupe fantasque et vicié, on le médiatise,
puis on s'en sert afin de discréditer d'autres groupes qui reprendront bêtement
l'information, voire on finira par
"brûler" le canal à cor et à
cri (permettant de discréditer au passage les autres relais plus ou moins naïf ou pas assez renseignés, retransmettant le message visié et qui y auront cru
imprudemment). Le but étant ici que par effet de
contamination, les groupes véhiculant les mêmes idées non viciées, soit eux
aussi atteints...
Par extension, dans notre cas d'espèce ici : tout ce qui
reviendrait à contester la surveillance de masse, la légitimité de certains
cénacles de décisions internationaux (BilderBerg,
Trilatérale,
CFR...),
le caractère sérieux des enjeux soulevés légitimement par l'affaire d'Edward Snowden.
Il s'agit ici d'une technique de
"contrôle des dommages" ouvragée,
permettant de maquiller les vrais
aspects de l'affaire Snowden sous une saturation d'éléments divers. Ce qui aboutira à une confusion
décourageant les non-initiés, et permettra aussi par extension de
discréditer d'autres sujets : par exemple tout ce qui pourrait relever d'une
étude sérieuse et pragmatique de l'ésotérisme, des anciennes civilisations, ou
d'éventuelles présences de vies extraterrestres actuelles ou passées et de technologies associées, aura donc
vocation à être tourné en ridicule, discrédité et raillé...
L'art d'un bon PCI consistera tout
de même pour établir sa crédibilité, à mêler de la désinformation
potentiellement crédible, avec d'autres informations qui seront délibérément
farfelues, et/ou qui le deviendront graduellement. Ceci qui sera encore plus
intéressant : au début par exemple, certaines informations pourront être
regardées comme potentiellement crédibles. Elles susciteront alors un débat, et
pourront agréger à leur soutien un certain nombre de partisans. Ce n'est qu'ensuite, au fur et
à mesure graduellement, que ce qui
pouvait initialement passer comme crédible sera progressivement vicié.
Ainsi les premiers partisans seront victimes de leur propre enthousiasme, mais
également d'une imagination créatrice sans laquelle l'humanité ne peut pas
progresser (imagination qui sera d'autant plus brimée à l'occasion de ce PCI..).
Les autres individus n'y ayant pas cru pourront savourer leur triomphe, et se
renforceront d'autant plus dans une sorte d'obscurantisme confortable...
2-Dans
un second temps : c'est la fonction de "mule" de WhatDoesItMean.com qui doit être
ici comprise : dans le domaine du Renseignement, une "mule" est une petite source
d'information primaire, étant la première à faire naître une information. Cette information ayant vocation à être relayée ensuite, pour qu'elle
se diffuse à partir de cette source primaire.
Alors il existe deux possibilités :
A– soit l'information est plus ou
moins réelle, tout du moins potentiellement crédible, en tout cas elle sera comprise par ceux qui en sont
capables / ceux à qui elle était destinée uniquement à ceux-là
("asymétrie" de l'information ici, entre "initiés" et
"non-initiés"...) : ceux qui par exemple auront suffisamment
d'arrière-plan pour savoir la rapprocher
avec d'autres informations, leur permettant d'établir (ou tout du moins
d'envisager) sa vraisemblance.
B– Soit l'information est fausse,
mais dans ce cas elle servira très vraisemblablement à une opération d'influence, et/ou à une opération psychologique plus ou moins subtile : qu'il s'agisse d'une
désinformation (destinée au public "cible"), d'une intoxication (destinée uniquement aux
décideurs "cibles"), ou bien encore qui pourra servir en tant que
support au soutien de toute autre type de manipulation ultérieure...
Et
c'est là que l'hypothèse 2A nous semble crédible ici (information
vraisemblable, que l'on fait délibérément fuiter par un canal alternatif).
La raison principale étant à nos
yeux que Steve Pieczenik doit être
considéré comme une source bien informée.
Nous considérons en tout cas ceci comme un postulat, et partant de là, nous
considérons qu'il n'aurait pas relayé cette information si elle n'avait pas été au
minimum "vraisemblable".
Voilà donc ici un cas d'école
permettant de différencier un fait d'une information, puis une information d'un
renseignement : une "information" ne devenant un "renseignement"
qu'après avoir été passée par le triple tamis :
1–Crédibilité
de la source,
2–Vraisemblance
de l'information,
3–Recoupement(s)...
Concrètement ici :
1- nous considérons ici comme
postulat que S. Pieczenik doit être regardé comme une source crédible. D'autres
sources crédibles ont également relayé la même information, nous les avons
évoquées plus haut :
Que
l'information ait pu être reprise par Russia Today, on pourrait facilement considérer
que « c'est de bonne guerre » en
pensant à la tentation pour les Russes de discréditer un peu plus le
Commandant-en-chef américain Obama (sans comprendre l'éventuelle solidarité qui pourrait exister entre les
militaires et le Renseignement américains d'une part et russes autre part, qu'évoque
Pieczenik dans ses dernières entrevues).
Sauf que nous voyons bien que ce sont les
sources les plus officielles de l'Armée américaine qui confirment l'information
: Stars and Stripes et le Navy Times, le premier évoquant en effet la "mésutilisation"
du matériel informatique, la seconde évoquant clairement la "pornographie". Or nous avons vu
plus haut que cette hypothèse pornographique
est normalement techniquement impossible (nous pouvons même envisager un "piège"
contre l'Amiral Williams, par exemple un e-mail ou une autre technique informatique
ouvrant automatiquement un contenu de nature pornographique, remarquons au passage combien le puritanisme
peut rendre un État vulnérable...).
2-
L'information nous semble également vraisemblable,
nous allons voir pourquoi plus bas.
3-Le recoupement ensuite (outre les autres
sources crédibles évoquées plus haut), pourrait être effectué dans les temps
futurs (suivant les autres relais ou éléments complémentaires qui pourront
éventuellement arriver à notre connaissance). Nous pourrons également rapprocher cette information d'autres
recoupements, par exemple avec celle donnée plus bas concernant la mort de Tom Clancy...
Application
concrète et conclusion ici :
Ici, nous avons vu que cette information a d'abord
été
évoquée par Whatdoesitmean.com, dont le lien historique avec le siège de la CIA semble
établi (bien que nous ayons vu plus haut que le Renseignement militaire
était également évoqué, or il nous faut bien garder à l'esprit que S. Pieczenik est davantage associé
au Renseignement militaire qu'à la CIA).
Il est constant
et bien établi que le site Whatdoesitmean.com ait servi depuis
longtemps à mêler « du lard et du cochon
» : tantôt une fuite de fausses
informations, tantôt un vecteur d'information sensible, mais bien réelle.
Notre
conclusion est que Whatdoesitmean.com fonctionne
donc bien ici en tant qu'une "mule", afin de relayer en premier cette
information fuitée.
Puis des sources secondaires reprennent l'information : ADW-News, EU-Times, beforeitsnews.com, ou ailleurs, et par Steve Pieczenik
lui-même,
ainsi que plusieurs vidéos plus ou moins indépendantes ici, ou ici. Un élément est d'ailleurs
rajouté dans cette dernière vidéo («"Breaking News” Obama Purchased
$4.5 Million Home In UAE, And Wants To Be Secretary Of UN»), une information
qui peut être intéressante : l'hypothèse connexe qu'Obama veuille se
préparer une "retraite dorée" en briguant le poste de Secrétaire
Général de l'ONU après ses mandats (ce qui pourrait en effet
constituer une retraite opportune et surtout une immunité diplomatique, au hasard
contre ses activités "équivoques" dans l'exercice de son mandat, que Pieczenik à la
tête d'une bonne partie de la Communauté du Renseignement Américain lui
reprochent [«Benghazi Truth: Obama Was Running Secret
Army», entrevue Infowars,
9 mai 2013].
L'information est cependant contestée ici sur truthorfiction.com, et ici sur snopes.com, non sans
raison au regard de ce que nous avons évoqué concernant la fiabilité habituellement discutable de notre "mule" primaire...
Mais Snopes au moins, est une source spécialisée dans les démentis des informations, y compris celles qui sont assez crédibles mais gênante pour l'Etablissement... Là encore, un effort de pragmatisme est absolument nécessaire pour « séparer le bon
grain de l'ivraie »...
Au final, le vrai message est certainement celui-ci (image provenant de l'article
original primaire de Whatdoesitmean.com) sur : « Top
US Admiral Fired For Questioning Obama Purchase Of Mansion In Dubai ») : « Barack Hussein Obama se prosterne devant son
roi ». Comprendre donc, qu'Obama est corrompu par l'Arabie Saoudite, et que
dans ce cas, une large part de son activité au Moyen-Orient est viciée.
Rapprocher, concernant le caractère
vraisemblable de l'information et les-le recoupement tous deux évoqués plus
haut:
1–
Tout ceci rappelle furieusement le « scandale Petraeus », scandale sexuel opportun qui avait été monté afin
d'incapaciter le général David Petraeus, juste après l'affaire de Benghazi... tous ceci
avait été clairement évoque par S. Pieczenik, qui lança précisément son blog à
la suite de cette affaire (septembre 2012).
Voir
/rapprocher :
«États-Unis
: l'affaire Benghazi qui pèse sur Hillary Clinton » (Le Point.fr / AFP, 21 octobre 2015)
« Hillary
Clinton auditionnée pendant 11 heures sur l'affaire Benghazi » (Le Point/AFP, 23 octobre 2015)
«Benghazi,
IRS, AP : les affaires qui fragilisent Barack Obama » (Le
Monde.fr / AFP, AP Reuters, 14 mai 2013)
« Obama
a forcé Hillary Clinton à mentir sur l’affaire Benghazi » (Solidarité et Progrès, 28 juin 2014)
Rapprocher
surtout de : « pourquoi Andrew Breitbart, Michael
Hastings et Tom Clancy
ont-ils été assassinés » (28 décembre 2013). C'était pour avoir dit/voulu dire
directement qu'Obama était en fait acheté par l'Arabie Saoudite, et qu'il
n'était pas le seul à l'être...
En
témoigne l'entrevue suivante du Dr. Jim Garrow : "Why Andrew Breitbart,
Michael Hastings and Tom Clancy were Murdered" :
Le
Dr. Jim Garrow est médecin et semble (d'après cette entrevue) avoir pu observer
le corps de Breitbart. Il avait auparavant
révélé avoir été un opérationnel vétéran de la CIA (« BOMBSHELL!
Jim Garrow Reveals Career As Covert CIA Operative, Says Breitbart And Tom
Clancy Murdered By Obama Administration »),
à l'occasion de l'émission « The Wise Shall Understand » ["Le Sage doit comprendre", référence à
Daniel 12:10].
Garrow était aussi déjà intervenu
auparavant, évoquant notamment l'épuration par Obama de son appareil de
Commandement militaire, épuration du reste évoquée à plusieurs reprises par
Pieczenik : « Dr. Jim Garrow Claims Obama Asked Military Leaders If They Will “Fire On
US Citizens” [Now The End Begins, 4
février 2013] ».
"Why Andrew Breitbart,
Michael Hastings and Tom Clancy were Murdered" (transcription) :
« Il est une chose
communément sue par les milieux du Renseignement, que Barack Obama n'est pas un
citoyen américain mais un agent étranger
Dr. J.G. –oui
–mais est-ce que les
autres Agences savent pour qui ils travaillent?
Dr. J.G. –Oui. Oui,
ils le savent.
– Et vous pensez que
cette réponse, c'est "l'Arabie Saoudite".
Dr. J.G. –Et bien, je
sais que ceci est vrai, et c'est la raison pour laquelle Andrew Breitbart,
[Michale] Hastings et Tom Clancy sont morts.
–OK : Breitbart, aucun
doute dans mon esprit : "sorti du jeu". Il s'est vanté et ce qu'il a
fait a été incroyablement stupide...
Dr. J.G. –oui,
réellement abruti.
–Il s'est vanté le
jour précédant sa mort, que le matin [suivant] il révélerait des informations
choquantes susceptibles de mettre un terme à la campagne [de réélection]
d'Obama. M. breitbart tomba raide mort en rentrant chez lui le soir même, et
l'intérieur de son corps était rouge sang...
Dr. J.G. –Bien, plus
clair encore que cela en fait... le poids et surtout qui causa la mort de
Hastings et Tom Clancy, par ce qu'il avait partagé des données avec eux deux.
–Il y a donc une
connexion entre la mort de Breitbart, et celle d'Hastings comme de Tom Clancy?
Dr. J.G. –Entre tous
les trois, oui! Du fait des informations que Breitbart avait donné à Tom Clancy : il
était en train de travailler sur une nouvelle, qui aurait exposé [rendu public]
Obama en tant qu'un agent saoudien, infiltré à la Maison-Blanche. En fait il
savait exactement ce qu'était Obama en ce sens, et avait l'intention de
dévoiler cette information sous la forme d'un personnage de ce livre [les
nouvelles et romans de Tom Clancy, comme de S. Pieczenik, si elles sont en
apparence fictives, servent en fait à dévoiler subtilement certaines
informations qui ne pourraient pas l'être directement, technique classique dans
le monde du Renseignement et des affaires diplomatiques]... Le personnage
aurait donc été le Président des États-Unis : de véritables informations
concernant Obama en tant qu'"infiltré" auraient ainsi été révélées
sous la forme d'une nouvelle [fictive]...
–et vous pensez donc
que ces informations auraient donc établi clairement que ce Président [fictif,
dans la nouvelle] aurait donc été un agent saoudien "infiltré ici"?
Dr. J.G. –Oui,
absolument. Mais vous savez, c'est triste, Breitbart's "la Grande
Gueule [Big Mouth]"... C'est malin! Parce qu'ils sont tous morts à
présent...
–pensez-vous qu'il
s'agissait d'arsenic?
–Non, plutôt un autre
poison... c'est la raison pour laquelle ils n'ont pas montré de photos du corps
avant cinq jours, par ce que le gars ayant mené le travail [les analyses?] sur
le sang, savait quel poison avait été utilisé sur Breitbart, c'est la raison
pour laquelle il a été tué... [c'est
bien le médecin légiste qui a été tué par la suite[1]]
–...alors que le corps
aurait été supposé devoir être montré le matin même...
–... vous avez
compris... [comprends : il a bien été assassiné] »
Autre
entrevue du Dr. Jim Garrow détail clairement ces deux sujets : « Interview with Dr. James
Garrow that Obama does NOT want you to see » (Infowars, 23 janvier 2013). Article connexe : « Trail
of Death: Breitbart Coroner Turns Up Dead, Arsenic Poisoning Suspected
[traînée de morts : le médecin légiste de Breitbart trouvés mort,
empoisonnement à l'arsenic suspecté]» (By Patrick Henningsen, Infowars.com, 30 avril 2012).
De nombreux autres articles peuvent
être trouvés sur des sources évoquées plus haut en tant que "mules",
ou bien sur un certain nombre de sites de Réinformation Alternative [RA]
concernant Breitbart, Hastings ou Tom Clancy :
«Who
Killed Tom Clancy…Obama Administration…The Whistleblowers » (beforeitsnews.com,
18 octobre 2013)
« Tom
Clancy Dies at 66, but It’s a Mystery » (Liberty Voice, 3 octobre 2013). «BOMBSHELL:
Ex-CIA Agent Claims Obama Had Breitbart and Clancy Killed [révélation fracassante
: un ancien agent de la CIA accuse Obama d'avoir tué Breitbart et Clancy
» (ClashDaily, 11 octobre 2013).
Conclusion
:
Un recul et un extrême pragmatisme sont nécessaires face à ce genre
d'informations "fuitées". Cependant il ne faut pas non plus négliger la façon dont les choses
arrivent ainsi à la connaissance du plus grand nombre par des voies
alternatives, des fuites qui sont alors « calculées » :
Breitbart,
"grande gueule" ou martyr? Il est clair qu'il s'était livré à des révélation
imprudentes (ici sur MSNBC en 2011 : «Andrew
Breitbart's epic interview on MSNBC »,
à l'occasion de la sortie de son livre : « Righteous Indignation: Excuse Me While I
Save the World! [Vertueuse indignation : excusez-moi, je suis en train de
sauver le monde !] » , Grand
Central Publishing, 2011). Subsistent
en ce sens extrêmement peu de doutes qu'il ait été assassiné pour les raisons
sus-évoquées.
Mais
à la lumière surtout des réactions grandissantes la part des hommes du sérail (dont
nous voyons deux exemples ici avec Pieczenik et le Dr. Jim Garrow), il semble
évident sous l'angle des conséquences de cette mort, que ce genre d'assassinat de "martyr" a une fonction vertueuse en tant qu'effet a posteriori : celui de radicaliser
l'appareil militaire et les Services Renseignement contre les décideurs à
l'origine de ces morts iniques. Voilà en tout cas le sens très net
des trois dernière entrevues délivrée
par Pieczenik (20 octobre, 7 et 29
décembre 2015).
Rappelons
du reste que Tom Clancy
était de longue date un collaborateur de Pieczenik, et que son dernier ouvrage
de la série des Op-Center : « Out
of the Ashes » , fut coécrit avec Steve Pieczenik. Il
évoquait d'ailleurs précisément la situation Moyen-Orient, et avait notamment
pour objectif d'alerter le monde au sujet des guerres illégitimes et de la situation des chrétiens
d'Orient...
[1] « Michael Cormier, Forensic Technician for L.A. County Coroner, Dies Under 'Suspicious Circumstances' [Michael Cormier, ancien légiste du comté de Los Angeles, décède dans de des circonstances suspectes] » (L.A. Weekly, 27 avril 2012). Voir aussi « Conspiracy theorists cry foul after right-wing journalist Andrew Breitbart's 'coroner' dies of arsenic poisoning [les théoriciens de la conspiration poussent des cris nauséabonds après que le médecin légiste [ayant examiné le journaliste de droite Andrew Breitbart soit lui-même décédé d'un empoisonnement à l'arsenic] » ("Breitbart's coroner poisoned to death?" DailyMail, 2 mai 2012; remarquons que si la source britannique semble tourner le fait en ridicule, elle n'en donne pas moins des éléments complémentaires...).