Le maire de Chicago Rahm Emanuel et Barack
Obama : Bonnet blanc et blanc bênet[1]!
Il n'existe pas deux hommes se
rejoignant dans les mêmes limites émotionnelles et intellectuelles, et qui font
davantage pour détruire l'ethos américains que Rahm et Barack. Même leur nom
prospectif dénotent quelque chose d'étrange et distant. Rahm, né d'un
pédiatre ayant combattu dans l'EZL [Irgoun[2]], grandit et devint danseur de ballet. Tout sur son passé dénotent un processus de
socialisation qui conduirait un
homme normal vers une carrière efféminée[3].
Le
comportement extérieur de Rahm, constitué d'un mélange d'effronterie et [d'un
sentiment] d'insécurité criant, se combinant pour appeler désespérément l'attention
et complaire[4].
Auprès de ceux qui ont pu sentir qu'il avait un minimum de talent, comme les
Clinton ou Obama, il a été détaché à leurs services respectifs en tant que
"fixeur" [homme à tout faire][5].
Cependant, comme son frère [agent de star à] Hollywood, Ari Emanuel, son narcissisme les atouts de conduit dans un domaine d'activité
impliquant des mesures extrêmes en termes
de manipulation et prévarication.
Rahm
n’a jamais supporté d'avoir financé cet échec qu’est l’Obamacare en faisant en
sorte qu’Obama paie l’industrie pharmaceutique 80 milliards dans l’optique de
soutirer une reforme ratée du système de santé. De même, lorsque Ari a racheté
l'Agence William Morris Talent[6], il a lancé un système
de remboursements aux clients qui était à la limite de la malversation.
Aucun des frères
Emanuel n'a quoi que ce soit à voir avec l'Amérique, ou son ethos. Ils ne sont
rien d'autre que le produit de juifs de
la diaspora la loyauté à Israël a été de loin plus grande que leur
allégeance à ce pays [les États-Unis]. Ils ont été socialisés dans le but
d'aider les FDI [Forces de Défense Israélienne - Tsahal], à une époque où
beaucoup d'entre nous faisions notre service militaire où nous déclarions nous-mêmes
volontaires afin de servir dans l'Armée américaine, à l'occasion de beaucoup de
conflits. Leur socialisation a été centrée autour de la danse classique dans
une ville, Chicago, qui criait de toute sa violence et ses meurtres. Leur
scolarisation tendit à la médiocrité et au côté yin [féminin] de l'éducation.
Ainsi, la notion de sports "américains" comme le baseball, le
football, ou les armes leur était au mieux étranger, si ce n'est complètement
découragé [dans le cadre de leur socialisation]. Ari et Rahm ont été
transformés en garçons "Peter Pan", qui n'ont jamais eu à faire face
à la violence ou au combat "mano a mano" [combat au poing].
Chacun de a choisi une profession
dont l'arrière-plan comporte la ruse,
l'insinuation et les accès émotionnels, qui étaient les seuls moyens de s'entre-motiver.
L'intimidation par les pleurs ou les cris, puis la clé de voûte du succès
apparent de Rahm vers le mât de
cocagne de la politique. Leur
compagnon Obama, était
l'équivalent en plus sombre de chacun
d'entre eux, apeuré à l'idée d'adopter l'apparence extérieure du
pragmatisme américain. Au lieu de cela, Obama
se cacha derrière les mandats donnés pour des guerres impériales [impérialistes] menée par le moyen de
drones et autres « assassinats
signés », la marque de fabrique d'un
couard en matière militaire. Comme
ces deux ersatz de frères américains, Obama n'a jamais pris le
temps de comprendre les différences culturelles entre
Chicago, New York, Los Angeles, et le Sud chrétien profond fertilisé par les impératifs
masculins [yang] du Wyoming, du Montana
ou de l'Idaho. Chacun de ces trois
individus ont été tenu aussi éloignés de
l'Amérique qu'il serait possible de le concevoir ; empêtré dans une culture située de traits féminins et de chicaneries
propres à Chicago, un cocktail mortel prêt
à exploser.
À présent, suite la
mort récente pleine de couardise de Laquan McDonald, un adolescent de 19 ans de
Chicago tué impitoyablement de 16 balles par l'officier de police blanc Jason
Van Dyke, une manifestation des citoyens de Chicago est survenue, réclamant la démission du maire Rahm Emmanuel. La
raison en est fort simple. Il a agi en conformité avec sa personnalité vile et corrompue,
habitué aux jeux de cache-cache. Aux côtés de ses cohortes à Chicago et de son
"meilleur pote" Obama, il a couvert le meurtre, comme on aurait pu
l'attendre d'un danseur de ballet masculin ont pu aux jeux de déflexion
[spoiled], dont le seul "truc de scène" consiste à mentir puis à
aller "danser plus loin", loin de toute vérité.
Toutefois, dans le même laps de temps, son meilleur ami de toujours ("MAT"[7]), Obama le POTUS [Président] tout aussi flagrante mollasserie, a décidé de mettre en œuvre l'un de ses scénarios les plus macho de « contrôle des armes par une action exécutive [gun control by executive action]». Il est clairement malheureux que le résultat de ses mensonges, tromperies et trahisons, Obama, le chevalier errant de contes de fées, et décidé que la fausse histoire de Sandy h, ainsi que d'autres "scénarios ersatz" [artificiels] consistant à faire croire à des fusillades , n'est pas convaincu le public américain que les armes, en elle-même, fussent dangereuses. Obama n'a absolument rien fait pour sauter la violence "noirs contre noirs" par les armes, dans sa ville d'origine [hometown] de Chicago. Cette contradiction flagrante entre les mots et les actions, révèle une peur basique selon laquelle le POTUS n'a pas et ne va pas s'attaquer aux problèmes qu'il était de son devoir de résoudre : pourquoi donc les noirs ont-ils un plus haut taux de meurtre que tout autre groupe issu des minorités dans ce pays?
Toutefois, dans le même laps de temps, son meilleur ami de toujours ("MAT"[7]), Obama le POTUS [Président] tout aussi flagrante mollasserie, a décidé de mettre en œuvre l'un de ses scénarios les plus macho de « contrôle des armes par une action exécutive [gun control by executive action]». Il est clairement malheureux que le résultat de ses mensonges, tromperies et trahisons, Obama, le chevalier errant de contes de fées, et décidé que la fausse histoire de Sandy h, ainsi que d'autres "scénarios ersatz" [artificiels] consistant à faire croire à des fusillades , n'est pas convaincu le public américain que les armes, en elle-même, fussent dangereuses. Obama n'a absolument rien fait pour sauter la violence "noirs contre noirs" par les armes, dans sa ville d'origine [hometown] de Chicago. Cette contradiction flagrante entre les mots et les actions, révèle une peur basique selon laquelle le POTUS n'a pas et ne va pas s'attaquer aux problèmes qu'il était de son devoir de résoudre : pourquoi donc les noirs ont-ils un plus haut taux de meurtre que tout autre groupe issu des minorités dans ce pays?
Que va donc faire le POTUS dans sa
propre arrière-cour de Chicago, dans laquelle les noirs vivent sous le plus
strict régime de contrôle des armes du pays, et pourtant continue de
s'entre-tuer à bien plus grande ampleur que dans aucune autre zone du pays, où
le contrôle des armes n'existe même pas?
Je soutiens qu'à
la fois Obama et Rahm Emanuel sont des
modèles d'inefficacité, comparés au rôle que tout modèle normal
[complet] de socialisation appliquée à des hommes n'importe où aux USA. Obama
semblent en effet bien plus préoccupé de se prononcer en faveur des droits des
minorités comme les LGBT ou les "mariages entre [personnes du] même
sexe", plutôt que par le fait de traiter le vif du sujet, c'est-à-dire désarmer
les gangs noirs aussi bien à L.A.[Los Angeles], N.Y.C [New York City],
S.F. [San Francisco], Miami, etc.
« virez Rahm! »
Aucune de ces personnes, pas plus
Obama que Rahm, n'est vraiment représentatif de l'homme américain. Ce qu'ils
sont, et ce que ce pays est devenu, ressemblent à des adolescents pétulants qui
crient, manigancent et manipulent de façon à espérer frayer le renvoi vers la
richesse et la célébrité.[8]
Ainsi sont les voies du passé, or
maintenant nous avons à attendre du futur qu'il fasse émerger sous le couvert
de compétences entrepreneuriales et des
vertus/bravades [bravado] masculines.Il y a une différence, mes amis. Si
nous ne discréditons/rejetons passer de modèles mollassons de socialisation,
nous les Américains allons pour cela payer un prix très lourd.
« Prenez garde à la fureur de
l'homme patient ».
[1] "Tweedledee
and Tweedledumb" : jeux de mots à partir de Tweedledee
et Tweedledum [dumb = idiot] :
personnages jumeaux popularisés par De l'autre côté du miroir (1871) de
Lewis Carroll (titre original : Through the
Looking-Glass, and What Alice Found There
[ « ce qu'Alice a trouvé là »]), suite des Aventures d'Alice
au pays des merveilles (1865).
Ici dans la version cinématographique de Tim Burton (Alice, 2010) :
[2] L’Irgoun : organisation armée sioniste née en 1931 en Palestine mandataire, d’une scission de la Haganah. Elle fut notamment dirigée à partir de 1943 par Menahem Begin, futur premier ministre d'Israël.
La Haganah était une organisation clandestine paramilitaire sioniste créée en 1920, dont l'objet originel était de défendre les communautés juives contre les Arabes (émeutes/pogrom de Jérusalem de 1920, Grande Révolte arabe de 1936-1939) en Palestine mandataire. Elle défendit du contrôle de l’Agence juive (organe exécutif sioniste en Palestine mandataire) à partir de 1931, et en devint alors la branche armée officieuse (car illégale aux yeux de la puissance mandataire britannique). Source Wikipedia.
[3] Rappelons-nous que
le Dr. Steve Pieczenik est psychiatre, il parle ici en connaissance de cause...
[4] compliance : le fait
de se mettre en accord avec les attentes/souhaits/commandements de quelqu'un. Complaire
est la traduction exacte en français, bien que littéraire : «s'accommoder au goût de quelqu'un, à ses
sentiments ; se rendre agréable à quelqu'un en le flattant : Complaire à un supérieur par une attitude de flatterie » (Def. Larousse).
[5] "Fixer" (de l'anglais "to fix" = "solutioner", simili-argot passé dans le langage courant) : une personne qui "facilite" les choses avec les autres, par exemple l'accompagnateur d'un journaliste dans une zone peu connue, voire "à risque". Par extension, induit un sens implicite tendant vers des activités potentiellement illicites ou déviantes.
Voir Alexandre Djouhri pour un exemple français : « Alexandre Djouhri, l'homme qui arrange les affaires des grands de ce monde » (Le Point, 30 juillet 2015); « Affaire Djouhri, les sidérantes accusations de Péan » (Le Point, 8 septembre 2011, d'après le très crédible Pierre Péan : « La République des mallettes. Enquête sur la principauté française de nondroit », Fayard, 2011).
[6] William Morris Agency (WMA) : fondée en 1898, représentant les acteurs, musiciens, écrivains et artistes auprès des sociétés de production artistique. Elle est considérée comme la plus importante et influente entreprise de son secteur au monde. Elle a représenté les intérêts de Charlie Chaplin, Elvis Presley, les Rolling Stones et les Beach Boys.
[7] « Best friend ever [BFE] », on peut pourrait dire en français sont « amis de 30
ans », en référence aux bisbilles survenues entre Jacques Chirac et Édouard
Balladur sur les années 90, dont les Guignols de l'Info avaient fait leurs
choux gras.
[8]On peut penser à l'album
« Get rich or die
trying [devenir riche ou mourir
en essayant]» du rappeur américain 50
Cent (2003), résumant la dangereuse pauvreté de cet état d'esprit, sachant
que le culte des armes et des guerres de
gangs n'en est pas loin...
Remarquons que le titre en français
a été édulcoré en « Réussir ou mourir »¸
dans l'adaptation cinématique sortie en 2005 (2005), oubliant complaisamment que durant la production il avait même été
connu sous le nom de « Locked and Loaded » [«
approvisionné et armé », se dit également en argot dans le sens : « être fin prêt »].
L'asymétrie entre la promotion
indirecte des armes au sein des gangs, parallèle à la démolition larvée de
la crédibilité de l'Armée sur tous les sujets possibles (en France,
en camouflant par le racisme des délits
d'une toute autre importance subversive, comme aux Etats-Unis
par un ersatz de féminisme hors de propos), et l'apparente volonté politique
américaine de créer des faux incidents (ceux-ci étant précisément dénoncés
par Steve Pieczenik) afin d'arriver à un contrôle massif des armes détenues
par la population américaine indépendamment de ces mêmes gangs, laisse songeur :
–la
question des financements et de l'intention sociétale derrière le mouvement dit de la « Contre-culture »,
aux États-Unis à partir des années 1960, est celle qui est la moins souvent
abordée (voir sur ce point : « Pétrole,
une guerre d'un siècle », chapitre 8, de F. William Engdahl, 2007, éditions
Jean-Cyrille Godefroy, 2007). Pour comprendre la connexion avec la promotion
massive du rap, lire « L'effroyable
imposture du RAP » (Matthias Cardet, Kontre Kulture, 2013).
–La question d'une intention
délibérée de désarmement de la population civile, afin de ne plus lui laisser
le choix qu'entre les gangs et l'État, est précisément ce qui est dénoncé par
Steve Pieczenik : surtout (parce que l'État américain
se trouve graduellement détourné de sa mission première : la protection du peuple (contre
les menaces armées, mais également contre les financiers et contre les
idéologues) par le gouvernement d'hommes de peu de foi.
Or il est une leçon qui a été
oubliée, issu des gouvernements communistes d'Europe de l'Est : « Les
confiscations d'armes se terminent toujours en massacres de masse » (Bert
Pachulski, dissident polonais, 26 janv. 2013, Infowars)...