« Donald Trump Vs Megyn Kelly » : rions un
peu avec l'hypocrisie du système anti-trump... mais il y a un sujet sérieux
derrière : l'orchestration médiatique de la démolition du modèle américain :
«The
real problem with Donald Trump retweeting those provocative pictures of Megyn
Kelly » (Washington Post, 28 janvier 2016) :
Passe d'arme entre Donald Trump et
Megyn Kelly, journaliste/présentatrice sur Fox [News], ayant mis Trump en
difficulté avec des questions discutables :
Trump sur Twitter,
27 janvier :
« Je refuse de qualifier Megyn Kelly de
"bimbo", parce que cela ne serait pas politiquement correct. Au lieu
de ça, je vais uniquement la considérer comme une "journaliste
légère" ».
Un "suiveur [follower]"
rajoutera l'image suivante :
Plus tard, un autre "twitt"
n'étant pas de lui (
« c'est la bimbo qui pose des questions [en vue des] présidentielles? »
[CVR : La même présentatrice
qui reproche à Trump de considérer les femmes comme des objets, posant
dans des tenues suggestives dans le magazine GQ (elle semble aussi avoir posé
nu, ce que sous-entend une réponse plus bas) : ceci n'est pas à
prendre avec puritanisme mais avec humour :-D]
Un autre répond, jouant la
surenchère en défense de Megyn Kelly: « et ça, est-ce pire que de poser nue
dans GQ? » [il s'agit de Melania Trump, la femme
de Trump] :-D
Le
partisan de Trump répond avec humour : « oui, je l'ai vu, elle est
terriblement attractive, et alors?»
Un détracteur de
Trump surenchérit encore : « Qui a besoin d'une Première Dame ? Faites de
Melania Trump la première SALOPE des États-Unis »
La réponse du
partisan de Trump ne manque pas de sel : « Heidi Cruz [la femme de Ted Cruz]
me donne envie de cacher ma b**** [jeu de mot avec le prénom de Heidi et le
verbe to hide, cacher] » :
...et laisse
entendre que Heidi Cruz aime son mari, tandis que Melania Trump aime surtout
l'argent de son mari :
En
fait nous avons vu que ce serait plutôt Cruz qui aime l'argent de sa femme, au
vu de sa situation chez Goldman Sachs, et surtout qu'elle est son "relai
mondialiste" lui amenant indirectement ses soutiens bancaires... (15
janvier 2016 : « Heidi
Cruz : ancienne "Bushite", impliquée chez Goldman Sachs : Ted Cruz,
candidat mondialiste idéal pour faire contre-feu face à Trump ».
Une autre : « Les
REPUBLICAINS CHRETIENS CONSERVATEURS considèrent que CETTE FEMME devrait être
la PREMIERE "DAME" de l'Amérique. Bien, au moins elle n'est pas
NOIRE. Osez encore me dire ensuite que leur haine n'a RIEN à voir avec la RACE »
Note CVR :
il y a quelque chose de capital qui doit être compris ici :
Comme répond
plus loin un partisan de Trump : « Mélania Trump était un supermodèle : c'était
son travail de poser comme ça ». Alors certes, il est en effet possible
d'épiloguer sur le manque certain de... rigorisme religieux du passé de Melania
Trump, un manque de rigorisme religieux qui tranche avec la longue
histoire du puritanisme anglo-saxon d'origine spécialement protestante aux
Etats-Unis. Il n'empêche qu'un Français non puritain saura prendre ces
choses avec humour, et rappeler à nos amis protestants que le Péché Originel
n'a jamais existé (il y a toute une histoire ésotérique égypto-sumérienne
et non pas juive à connaître pour comprendre ce point. Pour une première
approche accessible : lire "Le
Mensonge Universel", de Pierre Jovanovic, Editions Jardin Des
Livres, 2007, présentation
vidéo ici). La proximité des politiques et des modèles des mannequins doit
être questionnée, mais sous un tout autre angle (voir plus bas...).
En revanche, la tentative de
racialisation artificielle de la vie politique américaine doit être comprise
avec l'oeil de la contre-influence : déplacer artificiellement le sujet de la
"légèreté" de la femme de Trump, jusqu'au sous-entendu que si n'est
pas détestée, c'est parce qu'elle n'est pas noire, pour conclure que les
Républicains chrétiens sont donc raciste, est un raisonnement hautement
fallacieux. Ce raisonnement se trouve derrière
toutes les stratégies d'activisme médiatique que l'on dira pudiquement
d'origine "non chrétienne", permettant justement de détruire les
nations chrétiennes en instrumentalisant les races (spécialement les minorités
noires) et les religions (spécialement l'islam) : autant aux Etats-Unis qu'en
France...
En France, ou la rhétorique
du "petit blanc" est utilisée par les pires agents d'influence et il
faut se demander pourquoi en comparant les articles de presse:
« "Petits
Blancs" contre bobos, la nouvelle lutte des classes ? »
(Figaro, 14 février 2014)
«Les
Petits Blancs: "un voyage dans la France d'en bas"» (Huffington
Post, 13/10/2013)
«La
France des petits blancs » (Le Point, 30 octobre 2013)
«Le
"petit Blanc" n'est plus ce qu'il était» (Le Monde, 15.10.2012)
«Le
"petit Blanc", cette nouvelle figure de la société française qui fait
face à la diversification ethnique» (Atlantico, 3 Novembre
2013).
«"L'intégration, c'est
quand des catholiques appelleront leur enfant Mohamed"» par
Martin Hirsch (1er juillet 2010,
émission « Le news show », Canal Plus)
«Mélenchon qui dénigre la
France "des blonds aux yeux bleus"» (31 mai 2014, sur la radio communautaire Bibi Radio)
...Le plus drôle étant la schizophrénie de
certains rabbins partiellement lucides, quant aux conséquences ("Blancs
Défendez vous", Rav Dynovisz, 23 juin 2010) en fait initiées par
les plus augustes de leurs coreligionnaires... («La destruction de l’Europe : un projet
messianique ? » (Egalité et Réconciliation, 23 mai
2016)
Aux Etats-Unis, tandis que des
publicités pour la nationalité américaine étaient massivement diffusées il y a
quelques années sur internet, montrant des petits enfants noirs qu'on aurait
cru mourant de faim quelque part en Afrique et qu'aujourd'hui des
loteries sont organisées pour obtenir des green
card, il est permis de se demander si le sens de l'Etat et la
citoyenneté ne sont pas en train d'être inexorablement battus en brêche,
délibérément. La crédibilité de la Première Dame Michele Obama peut être sujette
à caution, mais c'est l'écoute attentive aux propos du Dr. Pieczenik
permettra d'envisager quelque chose de plus grave dans son passé, sans même
évoquer celui de son mari. Le lecteur attentif saura donc comprendre notre
point ici...
(Jackie Kennedy à gauche, Michele Obama à Droite)
S'il devait
y avoir un vrai débat au sujet du caractère vérolé de la vie politique et
publique américaine, l'enjeu n'est pas nouveau que l'État déjà évoqué par Pierre
Fontaine (U.R.S.S. U.S.A., Nel, 1960), sans même évoquer Henry Ford qui
avait déjà tout dit... D'étonnants prolongements peuvent être trouvés chez des
icônes du Star System (comme Marilyn
Monroe, le conditionnement
mental à la docilité sexuelle mériterait d'être mieux étudié dans ses aspects
méconnus... jusqu'au
plus haut de la vie politique américaine) y compris dans l'environnement de
Donald
Trump comme de tous les dignitaires américains, qui ne peuvent faire carrière
sans graviter dans ces "milieux"...
On pourra
comprendre dès lors le pessimisme des gens lucides aux États-Unis :
Pourtant, le pessimisme ne mène à rien en
soi : comprendre toute cette situation, c'est comprendre pourquoi les
militaires américains d'après les propos de Pieczenik, semble ressentir l'envie
de nettoyer les écuries d'Augias, comme du temps de Néron...