Le
sénateur Ted Cruz, un candidat en voie de désagrégation !
Depuis quelque temps, j'ai suivi l'ascension de Ted Cruz, le candidat aux élections présidentielles qui nous a été promis. Pourtant, plusieurs variables intervenues récemment, ont généré certaines préoccupations quant à sa légitimité en tant que candidat viable.
Depuis quelque temps, j'ai suivi l'ascension de Ted Cruz, le candidat aux élections présidentielles qui nous a été promis. Pourtant, plusieurs variables intervenues récemment, ont généré certaines préoccupations quant à sa légitimité en tant que candidat viable.
Le
problème est relatif au fait bien connu qu'il est né à Calgary, Canada.
Clairement, le problème d'un candidat né
canadien soulève la question appropriée de ce en quoi consiste un « citoyen de naissance »["natural
born citizen"]? Le fait que nous ne sachions rien d'autre sur sa
mère, que le fait qu'« elle et son
mari (aujourd'hui un pasteur évangélique) étaient tous les deux alcooliques », ne
prêtent pas beaucoup de crédibilité à la grave question de savoir : « pourquoi devrions-nous voter pour quelqu'un
né citoyen américain?
Ensuite,
Cruz à fait beaucoup de tapage quant au fait qu'il aurait « autofinancé »
ses campagnes politiques, aux côtés de sa femme aimante Heidi : respectivement
en tant que sénateur du Texas puis de candidat à la présidentielle, avec leurs
« propre argent durement gagné ». Lui et Heidi ont oublié d'écrire au sujet de leur
demande financements fédéraux, que Ted a
reçu 1.000.000 de dollars d'appels de marge de la part de Goldman Sachs ; de même
que 500.000 autres dollars de la Citibank aujourd'hui tout
aussi corrompue.
Ted Cruz et sa délicieuse femme, heidi...
À
présent, nous découvrons que sa femme Heidi,
une mère chrétienne aimante dédiée à sa famille, est une directrice du
management chez Goldman Sachs, une institution financière aussi corrompue
qu'impitoyable, qui fut l'un des principaux contributeurs à la crise financière
américaine de 2008. Ironiquement, Goldman Sachs assure également ses autres
arrières politiques, en soutenant directement et lourdement Hillary Clinton
; de la même manière, en faisant des donations
majeures chaque année à Bill Clinton à travers sa fondation Clinton [Clinton Foundation] à but non lucratif . Aucune
mention de ces écarts financiers chez notre moralisateur soi-disant « conservateur, chrétien "né de
nouveau" [born-again], et craignant Dieu », Ted Cruz.
Sommes-nous
donc supposés croire qu'Heidi ait reçu un travail très convoité chez Goldman
Sachs, basée uniquement sur son allure et son dévouement au Christ ? Plus
probablement, elle doit être tout à fait impitoyable, si ce n'est davantage
encore que son mari ; autrement elle n'aurait jamais reçu cette position si
convoitée au sein d'une firme bancaire principalement juive[1].
Il
est clair pour moi comme pour d'autres, que quelqu'un va sans aucun doute déposer une plainte devant la Cour suprême
afin de contester la viabilité de Cruz en tant que candidat à la Présidence, parce que n'étant pas né
en Amérique.
Rafael Bienvenido Cruz, le père de Ted Cruz : un homme inspirant confiance...
...en fait pas tant que ça! :-D
Comme
si Ted n'avait pas assez de problèmes qu'il se serait à lui-même imposés, il a sollicité l'aide de son père cubain, autrefois connu pour son alcoolisme et son wanderlust[2].
Apparemment,
papa Cruz combattit aux côtés de Fidel Castro et des autres communistes
illégitimes de Cuba[3].
À présent, Rafael Cruz est devenu le
porte-parole enthousiaste de Jésus et de nos Pères fondateurs américains. Bien
sûr, il a oublié de mentionner qu'il fut
considéré comme un "mouchard" ["snitch"], tant par les communistes
cubains que par les opérationnels de Batista. Aucune des deux partis ne lui
faisait confiance : au lieu de ça, les deux côtés opposés ont plutôt affirmé à
bon droit que le père comme le fils, n'avaient
jamais vu de combat ni même combattu pour leurs idéaux marxistes supposés.
Ce
que nous voyons donc à présent, tant chez le père que dans le fils, c'est une capacité à distordre l'histoire et à passer
pour extrêmement belliqueux et "pharisaïque / grande gueule", encourageant sans cesse les autres à
initier des guerres dans lesquelles l'un comme l'autre de ces hommes serait trop
apeurés de devoir combattre. Nous voyons là à quel point le père comme le fils ne sont que des couards, plus qu'impatients de créer des guerres qu'il ne devront jamais avoir à
mener, pas plus que leurs enfants.
Cruz est en difficulté! Ses histoires s'assimilent à des déclarations belliqueuses, que démentent sa propre loyauté envers
l'Amérique et son volontarisme à mourir pour notre pays. Ted Cruz me
rappelle ces plus flagrants proxénète capables de se vendre pour de l'argent (comme
Jeb [Bush], Rubio, Fiorina, Carson), n'ayant pour
seul mérite que leur talent dans tout ce qui permet d'augmenter leurs
autoglorification, ce jusqu'aux plus hauts niveaux d'incrédulité. Il se jette de lui-même dans l'arène en se
prétendant être le sauveur d'un pays qui lui offrait les meilleures formations
disponibles des Ivy
League, sans avoir jamais eu à mettre en danger ses petits orteils.
En tant que citoyen cubain de naissance,
j'ai eu à servir mon pays d'adoption l'Amérique dans un nombre incalculable
d'occasions. Ceci me donne la légitimité
pour trouver Ted Cruz assez répugnant (à l'instar de Marc Rubio), lui et
son narratif "inspiré" Cubano-américain. Distorsions et omissions s'y confondent en un mensonge sociopathique
glapissant de type Ben Carson!
N'avons-nous pas eu assez de [fakers] faisant semblant d'être
américains?
(Allusion
directe à la citoyenneté plus que discutable de Barack Obama, du point de vue
bien informée des personnels du sérail américain...)
[Toutes
les photos sont directement reprises des articles de Pieczenik,
sauf
mention contraires ou notes de bas de page.]
Revenons-en
aux seuls candidats majeurs dont je pense qu'ils méritent d'être considérés
sérieusement :
·
côté Démocrate
: le citoyen né américain,
élevé à New York, Bernie Sanders.
·
Côté Républicain
: le citoyen né américain,
élevé à New York, Donald Trump.
Les
vrais américains de cette race viennent de la cité dans laquelle j'ai grandi,
après avoir quitté Cuba : NUEVA YORK!!!
Cette
fois c'est autour de NYC que va être déterminé le résultat de l'élection
présidentielle de 2016.
Bienvenue
en Amérique !!!
[1]
Rappelons que Steve Pieczenik est lui-même issu d'une famille juive polonaise
en bonne partie morte à Auschwitz, et qu'il ne saurait recevoir de leçon
d'antisémitisme de la part de personne. Il est cependant violemment
antisioniste, du reste judéo-chrétienne, marié à une descendante d'une très
ancienne famille traditionaliste américaine, et qu'il est avant tout un
serviteur de l'État américain, dans la grande tradition que l'on pourrait
considérer comme issue de la Rome antique (avec le chroniqueur Flavius
Josèphe), avec notamment un parallèle sous Napoléon qui fit des juifs des
citoyens français comme les autres, et les juifs de Bordeaux par exemple,
furent parmi les mieux intégrés des juifs du monde à leur nation de
rattachement. Une réelle expertise quant à l'origine réelle du judaïsme,
permettra de comprendre que cette religion n'est qu'une construction composite
(né d'une part d'un corpus Égypto-sumérien, d'autre part de l'un d'antique sous
l'angle de certains de ses aspects les plus ésotériques).
[2] De l'allemand, "désir de
voyage", par extension "esprit d'aventure", tombé en désuétude
en allemand mais repris tel quel en anglais.
[3]
"Illégitime" : Pieczenik a ici
un point de vue typiquement américain, négligeant l'activité antérieure des
firmes multinationales américaines, qui avait créé un ressentiment populaire
légitime sur lequel la subversion rouge n'avait qu'à surfer...