Julian
Assange, Edward Snowden, Bradley Manning : Tous
les trois ont violé les plus hauts secrets [Top Secrets] de la Sécurité Nationale des États-Unis, et tous se
cachent ou sont en prison : qu'en est-il d'Hillary Clinton et de ses violations SAP[1]/Top Secret? Je
vote pour qu'Hillary aille en prison en 2016!
Jeux de mots tout à fait
croustillant : non pas « Hillary for President » [slogan de campagne = «(votez) pour (qu')Hillary soit Présidente]»,
mais « Hillary for prison » : «
(votez) pour (qu') Hillary soit en Prison ».
Alors que
je pensais en avoir fini avec Hillary, et qu'il n'y avait absolument plus rien
de plus à ajouter, j'ai appris qu'elle avait reçu des informations "Top Secret" et SAP sur son téléphone mobile[2].
SAP, pour ceux qui comme moi ne
connaissaient pas, signifie Special Access Programs, d'après Wikipedia. Cette
appellation concerne des actions relevant de projets hautement sensibles, de
type "black-Ops" ["Opérations noires / projets noirs"],
assortis d'une clause de non-divulgation.
Il y a trois différentes catégories
de SAPs au sein du DOD [Department of Defense, Ministère de la Défense
américain] :
–
Acquisition SAP [AQ-SAP] : SAP "Acquisition"
–
Intelligence SAP [IN-SAPS] : SAP "Renseignement"
–
Operations and Support SAPS [OS-SAPS] : SAP "Opération et soutien"
Si
vous passez davantage de temps sur Wikipedia, vous comprendrez les différences
majeures entre ces classifications . C'est suffisant pour que chacun comprenne,
incluant le Géneral David Petraeus qui avait violé les procédures TS [Top Secret[3]] et qui fut pour cela puni d'une
amende monétaire et d'une possible dégradation (la sanction est encore
pendante). Assange, Snowden et Manning, tous les trois ont eux aussi gagné la
distinction d'avoir violé des secrets relevant de la Sécurité Nationale des
États-Unis, et ont finalement eu à s'enfuir du pays afin de rechercher quelques
secours ; ou dans le cas de Manning, il/elle a été envoyé en prison.
À
présent, Hillary, comme d'habitude, n'a pas été capable d'admettre que ce
qu'elle a pu recevoir sur sa grosse uzine à gaz de serveur non classifié,
commercial, était en fait classifié à très haut niveau[4]. Elle
a fait mention de manière répétée, du fait qu'elle n'avait ni lu ni reconnu une
quelconque classification sur son
téléphone mobile qui constituait en ce sens une source grande ouverte [open
source : ouverte à tous ceux qui désiraient espionner les États-Unis grâce à
son indolence].
Bien sûr qu'elle ment.
En fait, son crime est tellement perfide
qu'il nous coûte à nous, contribuables, des millions de dollars inutiles
pour que le FBI alloue une centaine d'agents spéciaux approximativement, afin
d'examiner tous ces e-mails soi-disant non classifiés.
Ça va aller de mal en pis pour Hillary.
Plus
longtemps elle va attendre et refuser d'admettre ses péchés, et plus grand sera
ledit péché [sous l'angle de son appréciation juridique]. C'est une chose que de commettre une erreur de manipulation
d'informations classifiées, y compris jusqu'au niveau Top Secret [le plus
haut niveau que tout fonctionnait rêve d'atteindre]. Mais c'est une tout autre chose que de dénier toute responsabilité
dans le cadre d'une violation SAPs, qui peut être de nature à compromettre des
plans et des vies à l'occasion d'opérations noires [black operations], qui en réalité sont supposées ne jamais
exister...
Ceci
obvierait [causerait un obstacle fâcheux] à la "sanctification" [à la
mise au secret] des opérations noires [black ops], et dans le même temps placerait d'innombrables braves
opérationnels opérant sous couverture en danger de mort. Il s'agit là d'une violation
majeure de la loi fédérale, immoral en elle-même par son caractère
antiaméricain [antinational : allant contre la Nation]. Un délit au moins
passible d'emprisonnement voire pire.
Hillary ne fait pas exception à cette vérité!
À présent, nous devrions le savoir à travers ceci, il s'agit dorénavant d'une
partie de son histoire reconnue : aux
côtés du scandale du whitewater, des profits engendrés sur de fausses matières
premières, les scandales de la Maison-Blanche, du 11 septembre, qu'avons-nous besoin d'autres comme preuve,
que cette famille n'est qu'immondice et doit être mise au rebut?
Plus longtemps elle ment, pire devrait être
la sentence, aggravant son temps [d'emprisonnement] en année si ce n'est en
décennies. Elle doit penser qu'elle ne
peut pas et ne va pas être tenue responsable sur le fondement d'une exigence
morale, les mêmes sur lesquels nous avons tous a jurer au sein du Renseignement
et du Département d'État, et du reste à signer des papiers spécifiques
reconnaissant notre culpabilité, pour le cas où nous violerions de fait ce
serment. Hillary va bientôt découvrir, comme le reste de nous autres, que ce
type de crime éclatant ne paye pas...
Comment le sais-je donc?
Je
n'ai pas de connaissances spéciales, autres que la foi que j'ai fondée dans un
groupe de professionnels du FBI et du Département de la Justice en lequel je
crois capable, contre tout espoir, d'agir en conséquence. Est-ce que je pense
que Obama va interférer dans
l'investigation finale, dont je suis certain qu'elle va reconnaître Hillary
coupable de crimes contre l'État?
Non !
À présent je crois que Obama a décidé que son ascendance politique, de même que ses huit ans de mandat en tant que POTUS, ont eu leur lot de chicaneries et magouilles impliquant Bill et Hillary Clinton. Obama désire laisser une légende concernant ses réalisations en politiques domestiques et étrangères, que viendrait entacher toute mention concernant les Clinton, bonne ou mauvaise.
À présent je crois que Obama a décidé que son ascendance politique, de même que ses huit ans de mandat en tant que POTUS, ont eu leur lot de chicaneries et magouilles impliquant Bill et Hillary Clinton. Obama désire laisser une légende concernant ses réalisations en politiques domestiques et étrangères, que viendrait entacher toute mention concernant les Clinton, bonne ou mauvaise.
Obama va donc devoir déterminer, si le
général Petraeus doit être dégradé pour des charges personnelles pesant contre
la sécurité nationale.
Je crois que Petraeus peut avoir été
coupable, de confusion quant à l'"arme" avec laquelle il était
supposé tirer en présence de son biographe. Ceci ne remet pas en question les
réalisations qu'il a pu accomplir, de nature à fonder sa promotion en tant que
général quatre étoiles. Cette dernière est basée sur ses capacités de
guerrier. L'autre a à voir avec des faillibilités personnelles. Les deux
composantes ne devraient pas être
confondues, à l'occasion de l'attribution d'un châtiment potentiel. Pas plus
que ce châtiment ne devrait être rétroactif, autrement notre histoire et nos
personnels pourraient être tenus responsables sur le fondement des plus petits
caprices.
Hillary a atteint l'apogée de sa carrière, elle en est au point d'après [post-peak], duquel elle ne peut plus que redescendre. Elle a accompli ce que aucun autre secrétaire d'État n'a jamais fait : avoir violé délibérément la Sécurité Nationale, de même que compromis des opérationnels couverts [covert operatives = agissant sous couverture], risquant leur vie autour du monde dans des programmes d'opérations noires[5] qui en premier lieu, sont supposés ne jamais avoir existé, et en second lieu ont pour objet de protéger notre pays. Je n'ai jamais assisté à temps d'infantilité autosatisfaite et suffisante, autant de capacité à s'illusionner soi-même [self-delusion] que ce qui s'est révélé chez Hillary, encore et encore...
Je
suggère à l'Association Psychiatrique Américaine [American Psychiatric Association, APA], à laquelle je n'appartiens pas, de créer
une catégorie inédite et complètement
séparée de sociopathie appelée le "CLINTONISME", où une personne est capable de se
considérer soi-même comme étant totalement délié de toutes les règles
communément admises au sein d'une société, et devenant par la même un modèle de
comportement futur factice.
En
passant, cette maladie pourrait être contagieuse. Elle est en effet connu pour
sa prévalence sous forme de "grappes" [clusters] familiales sur
plusieurs générations, tant chez les garçons que chez les filles. Nous
pourrions faire entrer cette nouvelle maladie au sein du DSTM (Manuel Diagnostique
et Statistique des Troubles Mentaux [Diagnostic and
Statistical Manual of Mental Disorders - DSM]), sous le nom de
sociopathus extraordinaris.
Je
suis résolu à voter pour qu'Hillary Clinton aille en prison en 2016!!!
S'il vous plaît, votez avec moi et
nos autres compatriotes américains pour la virer une bonne fois pour toutes!!!
BONUS :La
liste des dons et leur origine, que la fondation Clinton a pu recevoir...
[1] SAP
[Special access programs] : protocole de sécurité du Gouvernement fédéral des États-Unis d'Amérique,
fournissant des sauvegardes des restrictions d'accès à l'information hautement
classifiée, excédant les mesures appliquées aux information classifiées de
manière habituelle [regular]/collatérale [collateral]. SAP peut être considéré
comme un type de "projet noir" ["black
project"). En plus des contrôles collatéraux, un SAP peut imposer des
exigences plus strictes en matière d'investigation et d'adjudication, spécialement
des accords
de non-divulgation, des terminologies spéciales et autres marquages
spécifiques, l'exclusion de toute investigation concernant les contrats
concernés, et jusqu'à la création de sous-entreprises spécifiques
["carve-outs", littéralement "taille externe" :
sous-entreprise créée spécialement pour un contrat donné, avec personnels et
moyens dédiés], ainsi qu'un système centralisé de logement des personnels
travaillant sur place (par exemple pour les installations énigmatiques que l'on
peut trouver dans certaines bases souterraines aux États-Unis...).
Un "projet Noir" ("black project"), correspond au États-Unis ou au Royaume-Uni à
un projet militaire ou de défense hautement classifié, n'étant pas rendu public
par le Gouvernement, le personnel militaire ou les cocontractants du domaine de
la défense [defense contractors]. Par exemple les avions militaires
américains qui furent développés en tant que "projets noirs/black projects"
incluent les bombardiers furtifs F-117
Nighthawk ou B-2 Spirit, qui furent tous deux classifiées et dont
l'existence fut déniée, jusqu'à ce qu'il soient prêt à être déployés et furent
alors annoncés au public (à l'occasion notamment de la guerre du Golfe, où l'on
vit pour la première fois les F-117 à l'œuvre). Aux États-Unis, le
terme formel pour un "projet noir/black project est SAP : Special
access program.
Pour de très
rares développements en français sur la question du développement du F-117 et
du B-2, voir les investigations et intuitions de l'astrophysicien français
hautement méritant Jean-Pierre Petit, spécialiste en mécanique des fluides : (site de Jean-Pierre Petit, sur le B2, sur le F-117).
[2] « Hillary Clinton Emails Held Info Beyond Top Secret: IG » (NBCNews, 19 janvier 2016 ); « Hillary Clinton Email Said to Include Material Exceeding ‘Top Secret’ » (NYTimes, 19 janvier 2016); « Inspector General: Clinton emails had intel from most secretive, classified programs » (Fox News, 19 janvier 2016); «Some of the emails on Clinton's private server were reportedly even more classified than 'top secret' » (Business Insider, 19 janvier 2016); « Hillary Clinton had emails on server more classified than top secret » (CBS News, 19 janvier 2016).
[3] Sur les
différentes classifications, voir : « The Spy Satellite Secrets in Hillary’s
Emails » (DailyBeast, 8-12-15),
également Wikipedia (Anglais) distinguant informations classifiée et compartimentée (cloisonnement).
[4]« Hillary Clinton Apologizes for Using Private Email Server » (Time, 8 septembre 2015). « Etats-Unis : l’«emailgate», le boulet électoral d'Hillary Clinton » (France Info TV, 14 septembre 2015).
[5]
Pieczenik a fait ce genre de choses, il parle exactement en connaissance de
cause, d'où son aigreur totalement légitime ici...