Ted Cruz : Tartuffe - le religieux
hypocrite de notre époque!
Avec le plein soutien de son épouse
sponsorisée par Goldman Sachs et le CFR, Heidi. Ils ont tous deux essayé de de
prendre les chrétiens évangéliques pour des abrutis, et nous, Américains, avec!
L'hypocrisie et le mensonge sont de
composants essentiels permettant de produire des narratifs convainquants au
soutien de candidats créés de toutes pièces à la Présidence des États-Unis. L'enjeu
étant toujours de savoir : jusqu'à quel degré ces narratifs reflètent-t-ils réellement
la réalité, ou bien ne sont-ils que de simples véhicules de propagande, conçus
pour dénigrer l'audience escomptée à grands coups de mensonges à la sauce Goebbels, répétés
jusqu'à la nausée?
Goebbels
: « la propagande marche mieux lorsque
ceux qui sont manipulés, ont la certitude d'agir de leur propre et libre volonté
»
Un tel
personnage comme Ted Cruz, fut décrit en détail par le brillant dramaturge
français Molière, dans « Tartuffe »
[1664], dès aussi loin qu'au XVIIe siècle.
Aucun
candidat dans la course à la Présidentielle de 2016, n'a autant compté sur les
chrétiens évangéliques de l'Iowa, ainsi que dans les Etats du Sud américain, que
ne l'a fait notre Tartuffe du jour, Ted Cruz. Il a organisé son narratif
personnel autour d'un portrait fictif de lui-même, en tant qu'« Humble Servant du Christ » et « fils reconnaissant (lisez plutôt : fuyant
la conscription[1])
de l'Amérique ».
Or rien
dans sa vie ne dénote un iota de sainteté chrétienne; et sa propre arrogance n'en
serait pas le moindre des exemples, aux côtés de son comportement
odieux, dépourvu de compassion
ou toute forme d'empathie. Et
comme si cela ne suffisait pas, pour insulter nous autres américains,
Tartuffe
[Cruz] a été HABILITE par Heidi, sa "Frau[2]
de maison dévote". Rien ne révèle mieux l'hypocrisie de Ted, que sa chère Heidi
restant en arrière-plan, gorgée d'ambition politique, de rapacité financière, qui
aurait probablement dû plutôt mener elle-même la course à la présidence [run for POTUS], sur la base de ses
propres ambitions politiques..
Soyez si
vous plaît indulgents avec moi, mais je vais me livrer à petite improvisation[3]
descriptive ici : son dossier au CFR, qui n'a pas résisté longtemps à ma lecture attentive, révèle certains éléments de preuve très intéressants, qui dénotent une personae [masque artificiel]
potentiellement semblable à notre bien-aimée sociopathe,
Hillary Clinton.
–Heidi est en effet un membre des mondialistes du CFR, sous l'égide duquel ses recherche recommandent que le Mexique et le Canada [lieu de naissance/ citoyenneté de Cruz] devraient être fusionnées en une seule entité nord-américaine. Elle est une véritable mondialiste, niant l'exceptionnalisme américain!
–Heidi est en effet un membre des mondialistes du CFR, sous l'égide duquel ses recherche recommandent que le Mexique et le Canada [lieu de naissance/ citoyenneté de Cruz] devraient être fusionnées en une seule entité nord-américaine. Elle est une véritable mondialiste, niant l'exceptionnalisme américain!
–Heidi a servi loyalement l'une
des Secrétaires d'État les plus corrompus et ineptes, Condoleeza Rice, que
je pourrais très difficilement considérer comme intelligente ou digne de
confiance. Condi fut l'une de ces « candidat(e)s
de la discrimination positive » [“affirmative action candidates”], comme Obama,
qui ont grimpé au "Mât
de cocagne" du Republicanisme, sur le fondement de son statut de
représentante d'une minorité[4]
au gré des déboires et démissions de candidats mieux qualifiés, qui auraient pu éviter le 11 Septembre.
–Heidi fut
l'assistante spéciale de Robert Zoelleck que j'ai bien connu. Il fut l'un des loyalistes de la famille Bush, dont les
performances aussi bien au sein de FANNIE
MAE que durant la crise hypothécaire, ont laissé un certain nombre de
questions relatives à des irrégularités financières commises durant son mandat...
–Heidi est une Directrice de
la Gestion [Managing Director] de
Goldman Sachs. Rien ne témoigne autant d'une grande hypocrisie, concernant les
"Valeurs Chrétiennes des Cruz",
que ce titre "prisé" qui représente le pire type d'avarice et de copinage
politique, nécessaire afin d'espérer monter dans le panier de crabes des
banques new-yorkaises...
Il est
assez intéressant que notre Tartuffe ait stupidement attaqué les "Valeurs de New York[5]",
quand lui et sa femme étaient en fait impliqués jusqu'au cou dans le fumier et
la lie de deux banques scélérates[6].
Ted and Heidi doivent leur soutien à Goldman,
à hauteur d'un simple million tandis que dans le même temps, la Citibank les
gratifiait d'un autre demi-million de $...
Que pourrions-nous dire d'autre au sujet
de ce Tartuffe des temps modernes faisant équipe avec sa femme, déjà décrit il
y a plus de 300 ans? Gardons à l'esprit qu'il n'est pas un citoyen américain de naissance ; malgré le fait que son mentor
et avocat Alan
Dershowitz, un vantard new-yorkais, le défende ad infinitum, tandis qu'Alan est lui-même
inculpé pour des comportements sexuels déviants...
Nous
devons et pouvons produire des personnages bien plus convaincants et crédibles[7], que ce
rejet canadien. Mais que ferais-je à présent ainsi que les autres blogueurs,
sans des bouffons comme Ted Cruz, à qui j'ai pourtant donné un peu d'argent
afin d'observer ce que cette version Cubano-Canadienne de Tartuffe ferait et
dirait sous les assauts de la réalité?[8]
En tant qu'écrivain, je remercie le ciel
qu'il y ait toujours des fournées de ces Tartuffes, adoptant juste des formes et
manières d'être légèrement différentes, et jouant les hypocrites à volonté...
Merci Jésus!!!
[1] Rappelons-nous
que Pieczenik est un militaire qui a connu au moins une dizaine de situations
où sa vie fut réellement en danger, il a le mépris tout particulier des vrais
hommes de guerre, contre les faux Tartuffes prétendant manier des outils
militaires...
[2] Femme, en allemand dans le texte. En
tant que juif dont la famille a réellement péri en partie à Auschwitz,
Pieczenik ne porte pas forcément les Allemands dans son cœur...
[3] riffs (dans la musique populaire et le jazz) : motif musical
court et répété, joué fréquemment en le transposant simplement, et jouer en
tant qu'arrière-plan (ostinato) pour des improvisations par-dessus.
[4] Toute
ressemblance avec des situations ayant eu lieu en France, ne serait évidemment
que fortuite...
[5] Voir
notre article
précédent.
[6] "Miscreant" : traduction
piège en anglais ici...
[7] "compelling"
: au sens "irrésistible" (utilisé de façon un peu plus large en
anglais).
[8] Est à
reconnaître ici la tournure d'esprit typique de Pieczenik, relative aux opérations
psychologiques...