Obama et Trump fument le calumet de la paix.
Obama et Trump fument le calumet de
la paix dans la Maison-Blanche ! Une transition douce du pouvoir.
Tandis
que les jeunes étudiants sont payés pour manifester et créer des émeutes dans
les principales villes américaines (Chicago, NYC, San Francisco [Oakland]), Obama a
gracieusement invité le président élu, Donald Trump, à la Maison-Blanche.
L’invitation
et l’image des deux hommes parlant de façon positive l’un de l’autre, devrait demeurer
dans l’esprit des Américains, jeune comme vieux, comme un rappel : cette
République a connu près
de 300 ans de transition pacifique d’un POTUS à un autre.
Pourquoi cela est-il
important ?
Le monde a été davantage secoué que tous
ces citoyens américains ayant voté pour HRC [Hillary Clinton]. Le Mexique, la
Chine, le Japon, la Corée du Sud et les autres pays majeurs se demandent ce
qu’ils vont devoir faire de ce candidat présidentiel au franc-parler, Trump.
Est-ce que les pouvoirs étrangers ont peur qu’il devienne un nouveau Gengis
Khan et qu’il détruise toutes les lois, règlements et accords commerciaux qui ont
d’ores et déjà été signés ?
Je ne peux pas répondre à cette
question en son nom.
À présent, je suis attentif aux indices
concernant cette réconciliation entre Trump et Obama, et j’aurais tendance à
suspecter que la tempérance et la considération judicieuse va plutôt être la
marque primordiale de l’appréciation par Trump des conditions présentes.
La rhétorique vociférante du
candidat est à présent devenue subordonnée aux contraintes en vigueur :
légales, fiscales ou administratives.
La réalité du gouvernement de cette
république, transforme immédiatement en un compromis dialectique faisant la
part des choses entre les vœux pieux d’une part, et les considérations
pratiques du jour présent d’autres part.
Ceci ne veut cependant pas
dire que Trump va avoir à concéder des éléments majeurs de son agenda déclaré
formellement durant la campagne.
Pourtant, ceci impose une
vérification des déclarations irréalistes ou par trop grandiloquentes, qui
pourraient avoir été des instruments ayant permis l’élection de Donald Trump.
Souvenez-vous par-dessus tout que : Trump est très intelligent, il a une
incroyable éthique de travail et il aime l’Amérique (toute l’Amérique, pas
seulement certaines parties…).
Va-t-il déporter quelque 11 millions
d’immigrants illégaux ?
Probablement pas !
Cela serait trop coûteux et pénible.
Pourtant, il pourrait initier une procédure judiciaire relative à la
déportation, afin de voir reconnaître le fait que « illégal » ne signifie pas «
légal ». De plus, il va laisser les patrouilles de frontières faire leur
travail ET NON PAS leur lier les mains comme elles ont pu l’être par le passé.
Est-ce
que Trump a discuté de la régularité de la naissance d’Obama [« birther issue » : la question de la naissance d’Obama en
tant que citoyen né américain] ?[1] J’en
doute. Parce qu’à l’heure actuelle, Trump doit avoir depuis bien longtemps déjà
appris ce que la plupart d’entre nous au sein de la Communauté du Renseignement
savions déjà au sujet d’Obama : il naquit d’une femme américaine qui gagna
un doctorat d’anthropologie aux États-Unis. Elle parlait aussi de nombreuses
langues étrangères, qui l’aidèrent à devenir un “opérationnel de la CIA sous
couverture [CIA covert operative]“ très
efficace en Indonésie durant les années 1960 (à l’époque du changement de
régime Suharto).
Chacun peut maintenant comprendre
que les secrets du passé, sont passés, concernant le noviciat de ce Président
élu [Obama].
J’implore ceux d’entre vous qui sont
dégoûtés par le résultat de cette élection : n’ayez pas peur ! Mais continuez à être vigilant face à toutes
transgressions majeures qui pourraient vous axent affecter défavorablement à
l’avenir…
Souvenez-vous de Isaïe 21:11 : « Sentinelle, que dis-tu de la nuit? »
Additif CVR :
Rappelons-nous que le Renseignement
a ceci de commun avec la politesse, en ce qu’il consiste à faire confiance en l’intelligence
de celui qui reçoit l’information.
En l’occurrence, sur la nationalité d’Obama, Pieczenik ne
dit ici que le minimum, de ce qu’il a déjà énoncé par le passé et que bien d’autres
connaisseurs du sérail ont évoqué. Obama n’auraient jamais dû être élu Président
des États-Unis, il ne l’a été que par une torsion de la réalité lui ayant
permis de rentrer dans une apparence de régularité légale.
Sur la conclusion de Pieczenik, quant à l’inutilité des combats passés
mais aux faites surtout que la vigilance se conjugue au présent en démocratie, rapprocher
de la conclusion de l’excellent documentaire « Why we
Fight » (2005) rappelée ici : « [Zerohedge]
Les "élites" de la politique étrangère américaine attendent avec
impatience l’expansion des guerres extérieures d'Hillary Clinton + "Why we
fight?" » (CVR, 21 octobre 2016) :
Chalimer Johnson (mort
2010) :
« Aujourd’hui, je voudrais que les américains comprennent que le prix de la liberté est une vigilance
éternelle, et que nous n’avons pas été assez vigilants depuis que
Dwight Eisenhower a lancé sa mise en garde en 1961 « contre les dangers de
la puissance tentaculaire et non autorisée » du CMI.
Nous ne devons prendre /considérer rien comme définitivement
acquis : seuls des citoyens vigilants et bien informés, peuvent imposer le
bon tissage/équilibre/adéquation entre la machine industrialo-militaire de la
défense et nos objectifs de paix. Donc faisons en sorte que la sécurité et la
liberté puisse toutes deux prospérer ensemble »
« Après 20 ans de carrière militaire, on est conditionnés à
toujours respecter l’autorité et à jouer le jeu au sein de l’équipe. Quand la
guerre a commencé en Iraq, j’ai amorcé un tournant : mes propres valeurs
s’opposaient à celles de ma fonction d’officier. Je devais me retirer (prendre
ma retraite), alors pourquoi nous battons nous ? Je crois qu’on se bat parce que trop de gens n’osent
pas dire « je refuse de faire ça ».
[1] La même
question avait été soulevée concernant Ted Cruz ; voir : « Le
sénateur Ted Cruz, un candidat en voie de désagrégation! » (CVR, 14
janvier 2016) ; « Confirmation
: Ted Cruz, candidat fantoche de Goldman Sachs/Citibank, n'est pas éligible en
tant que Président. » (CVR, 14 janvier 2016) ; « L'érudit
Laurence Tribe, en tant que gardien de la Constitution américaine, contre le
pantin Ted Cruz... » (CVR, 17 janvier 2016) ; « Ted
Cruz : Tartuffe - le religieux hypocrite de notre époque! » (CVR, 18
janvier 2016).