Trump, Poutine, Xi Jinping,
Boris Johnson et Mohammed ben Salmane :
Un autre Ordre Mondial imprévu émerge.
Par Morad EL HATTAB, essayiste et
géopolitologue.
Conseiller expert en investissements
stratégiques et en intelligence économique.
Diplômé de l’Académie des Arts, des Sciences
et des Lettres.
Nous vivons une époque
extraordinaire, pleine de faux-semblants, de mensonges entrecroisés et de
vérités occultes, contre lesquelles toutes les conjurations d’imbéciles
semblent se liguer…
Cette crise du Coronavirus sonne comme un point d’orgue, mettant en
tension tout le ban et l’arrière ban des menteurs et autres éditorialistes
patentés, stipendiés pour nous faire penser le plus loin possible de toute
logique rationnelle. L’Histoire qui s’écrit sous nos yeux en est tellement
brouillée, que nombreux sont ceux qui se résignent à contempler ce ballet
grotesque. Cette Histoire dont nous sommes les acteurs nous est, de fait,
confisquée, tant et si bien que derrière ce voile de mensonges peuvent
s’activer impunément tous les marionnettistes pour déployer sans fin leurs
intentions subversives…
« Il y a deux
Histoires : l'Histoire officielle, menteuse qu'on enseigne, l'Histoire ad usum
delphini puis l'Histoire secrète, où sont les véritables causes des événements,
une histoire honteuse ». Ces mots énigmatiques de Balzac[1]
rejoignaient ceux de Disraeli qui avait pressenti de grands
massacres à venir en Europe, à partir d’une agitation subtilement cornaquée par
les grands affairistes internationaux depuis Londres : « Le monde est gouverné par de tout autres personnages que ne se l'imaginent ceux dont
l'œil ne plonge pas dans les coulisses. »[2] Ces deux éminents connaisseurs de leur époque eurent en commun de
révéler subtilement leurs grandes manœuvres occultes, mais sous une apparence
de fiction, ce qui correspondait à l’époque au maximum dans la dénonciation
sans perdre pour autant leur situation…
Deux niveaux de compréhension, ou la limite de la démocratie face à la subversion.
Les esprits lucides sauront comprendre qu’en
ce sens, rien n’a changé aujourd’hui. Il y a toujours deux niveaux de compréhension, une dualité inévitable
qui pose en filigrane le problème inévitable de la démocratie :
l’impossibilité, certes, d’expliquer toutes les problématiques en temps réel à
tout le monde en même temps. Mais également, partant de là, la terrible
facilité pour des opérateurs « indélicats » ou plutôt subversifs, de
profiter de l’inertie et de la paresse des masses, de jouer de leurs émotions
comme on jouerait d’un piano, afin de les amener à leur propre perte. Toute la
problématique des idéologies se résume ainsi : des constructions d’idées
artificielles, séduisantes, prétendant remplacer la réalité, pour amener
finalement le bon peuple à désirer ardemment sa propre perte… Les idéologies rouges comme noires du XXe
siècle en témoignent, de même que leurs ramifications plus récentes :
pêle-mêle le djihadisme, ce bolchévisme du XXIe siècle prétendant remplacer
l’Islam, mais aussi l’antifascisme « réactivé », l’antiracisme de
synthèse, et toutes sortes de délires débilitants à la Greta Thunberg,[3]
masquant l’avancée de la pire idéologie de toutes : le Mondialisme, dont
les émanations ont en fait été à l’origine de toutes les idéologies mortifères
récentes.
À notre époque également, la fiction permet toujours de révéler des
faits dérangeants, dans les époques troublées où toute révélation frontale
signifie bien souvent la mort. Et même une fiction trop « inspirée »
peut causer la mort. Le destin de Tom Clancy à ce titre, et sa mort que
d’aucuns ont pu considérer comme suspecte, l’a mêlé à des événements qui virent
une tentative de détournement subversif de la République américaine, laquelle
aurait dû être parachevée par l’arrivée d’Hillary Clinton à la présidence des
États-Unis.[4]
Pour conjurer ce risque, des martyrs se sont ainsi dressés pour divulguer des
révélations subtiles et synchronisées, qui ont pu aboutir à un changement
historique. Mais un changement qui n’est pas encore réellement compris en
France…
De fait, ce changement fut double, orchestré parallèlement sur deux
théâtres d’opérations cruciaux pour parvenir à modifier le futur : au Moyen-Orient,
avec l’inversion du sort des armes en Syrie grâce à la Russie de Vladimir
Poutine ; et aux États-Unis, grâce à une action résolue qui porta un
coup d’arrêt à la tentative de subversion des États-Unis, aboutissant à la
victoire inattendue du Président Donald Trump. Ces deux retournements de
situation furent en fait subtilement synchronisés, à partir de la révélation en
2015 d’un « partage d’informations » depuis les États-Unis vers la
Russie. Un partage en apparence « contre nature », qui émanait en
fait de l’Armée américaine, et fut mené à bien dans le dos du Président Obama,
afin de mettre en échec la guerre de Syrie et le découpage hasardeux du
Moyen-Orient qui était alors ourdi en coulisses.[5]
La Restauration de la République américaine, tournant historique capital contre la Subversion.
Cette velléité des forces de sécurité américaine visant à conjurer la
Subversion aux Etats-Unis se déclencha discrètement dans le sillage des
attentats du 11 septembre 2001, mais ne put éclore réellement qu’à partir de l’affaire
de Benghazi (septembre 2012) : l’Armée américaine et les patriotes
américains vécurent bien mal à l’époque, d’avoir dû laisser mourir un
Ambassadeur américain arabisant, J. Christopher Stevens, avec la pleine
complicité de Barack Obama et d’Hillary Clinton, au nom d’intérêts qui
n’avaient rien à voir avec les intérêts stratégiques des États-Unis.
Au gré de cette sourde protestation, de nombreux lanceurs d’alerte
sortirent alors progressivement de l’ombre : parmi eux notamment ceux
qui avaient dénoncé les zones d’ombre de la guerre d’Afghanistan (Lt-Col.
Shaeffer), ou bien les curieuses connexions avec les attentats de Boston de
2013 (Sibel Edmonds), ou encore l’omerta sans précédent suite au 11 septembre
2001 (Steve Pieczenik). Ce sont ces mêmes lanceurs d’alerte, Steve Pieczenik en
tête, qui formèrent ensuite le fer de lance des révélations calculées
progressivement, amenant au grand jour le travail occulte réalisé en sous-marin
par les forces de sécurité et les patriotes américains. Ceci, afin de mettre en
échec la tentative de coup d’État « en douce » qui aurait
définitivement soumis les États-Unis au pire des mondialismes. Le mot d’ordre
fut lancé par Steve Pieczenik en octobre 2015 : quand les Services secrets sont contraints de faire des « sales
boulots » au mépris de leurs serments, par des personnels politiques qui
ne sont rien d’autres que des traîtres, ils se vengent tôt ou tard…[6]
Un membre des forces spéciales américaines,
avec le logo « Punisher » (en référence au film éponyme)
régulièrement utilisé par Qanon, montrant dans sa main le nom des 4 américains
assassinés à Benghazi (dont l’ambassadeur Stevens), avec la
mention « nous n’oublierons pas », et le surnom d’Hillary
Clinton : « Killary » (Hillary la tueuse, allusion à sa
responsabilité dans le fait d’avoir laissé se commettre l’attaque).
Et ce « Contre-coup » d’État, en réponse à cette tentative de
coup d’État « en douce », ce fut la victoire du Président Trump. À
vrai dire pas uniquement, puisque cette victoire du Président Trump ne signifia
en fait que le début d’une épuration antisubversive de longue haleine aux
États-Unis, laquelle a eu lieu en coulisses depuis maintenant quatre ans
(2016-2020), et n’est certainement pas terminée… Mais cette victoire de Trump fut l’élément historique qui rendit possible
une Restauration de la République américaine, en forme de Seconde
Révolution américaine dans « l’esprit de 1776 ».[7]
En effet, la victoire de Donald Trump à la présidence des États-Unis n’a
pas dissipé tous les problèmes du jour au lendemain, dans la mesure où les
racines de ces problèmes remontaient à des décennies de détournement de
l’État aux États-Unis, voire même à des siècles pour ce qui concerne les
aspects les plus sensibles. On peut comprendre en effet les éléments documentés
relatifs à des décennies d’instrumentalisation anglo-américaine du
terrorisme : pour des raisons relativement légitimes en Afghanistan contre
l’URSS, mais bien moins légitimes au Moyen-Orient ou en Yougoslavie…[8]
Et même aux États-Unis où, au plus fort de l’époque subversive d’Obama, on vit
émerger d’étranges centres de formations de terroristes djihadistes sur le sol
même des États-Unis (« Islamberg »), non sans lien avec
certaines attaques suspectes couvertes par un silence encore plus suspect des
autorités.[9]
À un niveau supérieur de méta-analyse, on peut également reconnaître l’aspect
historiquement inconstitutionnel de la mise en place de la FED aux
États-Unis et toutes ses conséquences en termes d’attrition monétaire, qui
initièrent l’endettement artificiel des États-Unis.[10]
Mais lorsque l’on vit le Podesta
Group, en tant que cheville ouvrière de la corruption d’un certain Barack
Obama par l’entremise de pays bien identifiés du Moyen-Orient,[11]
le fait que son directeur John Podesta ait été dans le même temps directeur de
campagne d’Hillary Clinton, pouvait déjà laisser envisager quelques
« irrégularités institutionnelles ». Lorsqu’ensuite fut établie une
connexion directe entre Huma Abedin, la vice-directrice de campagne d’Hillary
Clinton, et les Frères musulmans,[12]
nombre de patriotes américains pouvaient dresser d’autant plus l’oreille, que
la même Huma Abedin était impliquée dans le scandale des monceaux de courriels
secrets laissés au grand jour par Hillary Clinton.[13]
Lorsqu’ensuite la même Huma Abedin avait utilisé, pour ses échanges de
courriels non protégés avec H. Clinton, l’ordinateur de son conjoint Anthony
Weiner, par ailleurs mouillé dans une affaire de transgression sexuelle connue,[14]
de troublantes connexions apparaissaient avec d’autres réseaux interlopes.
Lorsqu’enfin le même John Podesta, suspecté pour plusieurs affaires
pédocriminelles,[15]
devenu entretemps directeur de campagne d’Hillary Clinton, se trouva en
connexion directe avec l’affaire pédocriminelle majeure du Pizzagate, ainsi
qu’avec le pseudo-« art » d’une Maria Abramovitch dégénérée non loin
derrière ces deux personnages, alors… Même les esprits les moins initiés se
trouvèrent forcés de ressentir instinctivement que cet entrecroisement
d’irrégularités, dépassant certes l’analyse rationnelle, cachait une
tentative de détournement fondamental de l’Histoire des États-Unis.
Doit être en fait comprise ici
une superposition de luttes d’influence entre le meilleur et le pire, dont les
racines remontent aux très vieilles dégénérescences égypto-sumériennes trop peu
comprises aujourd’hui. On
en retrouve des traces dans notre Histoire ancienne : dans l’Ancien
Testament puis dans l’Histoire connue depuis la révolte des Macchabées :
l’opposition entre la spiritualité des prophètes contre d’anciens cultes déviants,
puis contre un certain fanatisme clérical conspirant contre son propre État, à
partir des princes hasmonéens de Judée. On en retrouve des expressions encore
aujourd’hui en Israël, avec les exigences prétendument religieuses opposées au
réalisme des serviteurs de l’État israélien comme Benny Gantz, ou des patrons
du Mossad Meïr Dagan et Tamir Pardo… Les serviteurs de l’Etat n’ont pas manqué
d’héroïsme non plus en Israël, pour éviter le pire et contenir les tendances
messianiques les plus bellicistes, laissant ainsi envisager des solutions plus
réalistes et viables avec les Palestiniens.[16]
C’est en Syrie avant tout qu’eut finalement lieu, par un subtil
contrôle réflexif unifiant plusieurs grandes puissances majeures, le volet
militaire du coup d’arrêt visant à conjurer les initiatives les moins avouables
au Moyen-Orient. Dans une moindre mesure aussi au Yémen, pour mettre en échec
une guerre générale contre tous les restes d’harmonie ayant survécu aux guerres
scélérates de l’ère Bush Jr./Obama. Mais c’est bien aux États-Unis qu’eut
lieu le vrai combat :
un combat de civilisation, pour
mettre en échec une subversion telle que l’on n’en avait plus vue depuis Néron.
Et comme du temps du général et consul Corbulon, les Légions furent à la pointe
de ce combat : spécialement l’Armée américaine, le Renseignement militaire
(DIA) et la NSA.
Une crise opportune du coronavirus, pour masquer une épuration en phase finale.
Il existe peu d’exemples dans l’Histoire d’une épuration aussi difficile
menée contre une administration aussi largement gangrenée, avec un grand nombre
d’opérateurs politiques nationaux jouant délibérément contre les intérêts
stratégiques des États-Unis. Tout juste pourrait-on comparer cet effort avec
celui qui eut lieu durant la République de Weimar, un sujet de toute façon trop
peu compris aujourd’hui.[17]
Mais après quatre ans de combat antisubversif mené en coulisses aux États-Unis
depuis l’affaire de Benghazi (2012-2016), puis encore quatre ans de purge
devenue toujours plus évidente depuis 2016, il semble bien que ce « duel des destins » ait atteint
aujourd’hui sa nouvelle étape paroxystique aujourd’hui : une nouvelle et certainement ultime étape
de cette lutte antisubversive pour la civilisation se déroule sous nos
yeux, dans le monde entier et plus spécialement aux États-Unis.
L’écran de fumée délirant qui s’est déployé derrière cette crise du
Coronavirus, qui commença fin 2019 en Chine pour déployer ses effets à partir
de mars 2020 en Occident, a en effet deux sens : « l'Histoire
officielle, menteuse qu'on enseigne », et « l'Histoire secrète, où
sont les véritables causes des événements, une histoire honteuse ».
En apparence, un narratif officiel se déploie en
effet à partir d’une pandémie regardée comme inévitable, justifiant « pour
la plèbe » le déploiement des mesures les plus liberticides depuis
l’effondrement du système soviétique. Grâce à ce narratif, l’effondrement
économique mondial qu’une cessation imposée de toutes les activités engendrera
immanquablement, permettra non seulement de camoufler une réalité brutale de
ces derniers siècles de décadence économique occidentale : toutes les guerres
et toutes les crises du capitalisme moderne sont globalement artificielles.[18] Mais
en plus, la peur macrosociale et la
sélection négative de l’information,[19]
ciblant toute vision dissidente de cette crise comme celle du Professeur Didier
Raoult en France, rendra possible les décisions les moins défendables. Au
hasard, un empoisonnement de masse sous prétexte de médecine, à grand renfort
de technologies vaccinales détournées entre de mauvaises mains monopolistes, ce
que les personnels médicaux les plus honorables dénoncent aujourd’hui.
Protégées par un tir de barrage médiatique extraordinaire de mauvaise foi, les
mêmes recettes des totalitarismes rouges et noirs du XXe siècle convergent
aujourd’hui, afin de servir la soupe au pire des mondialismes tel qu’il fut
théorisé depuis des années, et dont des personnages pour le moins équivoque
comme Bill Gates sont les nouveaux prophètes.[20]
C’est ce
narratif qui est bien l’« histoire honteuse » dont parlait Balzac :
une « Histoire
secrète, où sont les véritables causes des événements ».
Pourtant, des voix s’élevèrent en effet en
Occident, face à l’hystérie collective soudaine que suscita l’emballement
médiatique en Occident. Face aux médias clamant à l’unisson l’extrême
dangerosité du coronavirus, pour légitimer des mesures de contrôle des
populations tellement extrêmes qu’elles rappelaient les totalitarismes du XXe
siècle. Aux États-Unis notamment, par la voix du Président Trump lui-même[21] et
de Qanon, la voix occulte des patriotes américains.[22] Au
Québec avec le média patriote Radio Québec, et même
quelques personnages publics courageux qui eurent le cran de prendre
publiquement position.[23] En
Allemagne également, avec notamment la lettre ouverte du Professeur Sucharit Bhakdi à la Chancelière Angela Merkel[24]. En
France, enfin, avec ce qui constituera certainement le plus gros
scandale d’État depuis l’affaire dite du « sang contaminé »,
durant les années 1980.
La subversion de l’Occident passe par le détournement de la médecine
Il est une nouveauté tout à fait
extraordinaire, d’avoir vu de manière si évidente en France l’application
concrète de ce dont parlait Steve Pieczenik depuis des années aux États-Unis.
Steve Pieczenik, médecin et psychiatre lui-même, avait en effet évoqué la façon
dont les certains milieux financiers de Wall Street parfaitement identifiés
avaient infiltré la médecine américaine, en octroyant d’énormes financements
(notamment à la prestigieuse Université médicale de Cornell).[25] Or ce
fut exactement la même tentative de subversion de la médecine occidentale qui a
pu être constatée en France, à l’occasion de la véritable persécution dont a
été victime l’éminent professeur Didier Raoult durant cette crise du
coronavirus.
Car l’un des plus grands chercheurs mondiaux
qui appelèrent à la raison fut français : le professeur Raoult, infectiologue et professeur de
microbiologie, spécialiste des maladies infectieuses tropicales émergentes. Il fut en quelque sorte
l’« héritier » du meilleur de l’ancienne médecine coloniale
française, qui avait été nourrie de toute l’expertise des maladies tropicales
que la France soigna en Afrique et en Asie, révolutionnant les conditions de
vie des populations de l’ancien Empire français. Ce fut le Pr. Raoult qui
valorisa les premières études chinoises sur le coronavirus, pour arriver
rapidement à la mise au point d’une prophylaxie simple, à partir des
médicaments utilisés par l’Armée française depuis des décennies et prescrits
partout dans le monde aujourd’hui. Sauf que cette prophylaxie simple et peu
onéreuse du Pr. Raoult, remettait en question toute l’intention fondamentale
derrière cette crise du coronavirus : une intention de bâtir une médecine
d’après les desideratas d’un lobbying pharmaceutique révoltant, consistant à rendre
toujours plus cher des traitements toujours moins efficaces. Dans le même
ordre d’idée, généraliser et multiplier sans cesse les obligations de
vaccination détournées de leur but premier, et contre lesquelles s’était
d’ailleurs élevé en France le même Pr. Raoult, ainsi que d’autres chercheurs de
renom. Or, derrière cette idée de vaccination, émergeaient des doutes sérieux
quant à l’existence d’un agenda occulte de bridage de la démographie mondiale,
en même temps qu’une volonté de surveillance généralisée des populations.
Certes, l’idée d’une certaine discipline démographique n’était pas
nécessairement néfaste en elle-même, mais elle était ici laissée à la
discrétion de groupes privés et autres fondations comme la
Fondation Bill & Melinda Gates, qui n’avaient de philanthropique que le
nom.[26]
C’est donc dans ce contexte que le Pr. Raoult
fut alors massivement critiqué par les « médias PC »[27],
au gré d’une campagne de désinformation qui atteignit des sommets révoltant
de mauvaise foi en France. Une écrasante majorité de médias se ligua en
effet pour le faire passer comme « instable », « sectaire »
ou pour discréditer ses compétences et prophylaxies pourtant reconnues dans le
monde entier. Toute cette crise remettait au goût du jour l’idée que la science
devait normalement briser les monopoles,[28] une
ancienne idée-force de l’idéalisme européen, mais dans un sens inversé
illustrant la décadence de l’Occident : ce n’était plus la science qui
brisait les monopoles, mais les monopoles pharmaceutiques qui voulaient à présent
briser la science sur l’autel de l’argent. Le même argent, finançant à la
fois les grands monopoles pharmaceutiques et les médias qui les défendaient, ou
pire, le même argent nourrissant l’idéologie mondialiste et son fantasme
lancinant de dépopulation mondiale…
Dans tout autre contexte, un scientifique
aussi peu attaquable que le professeur Raoult aurait très certainement pu être
assassiné, au vu des intérêts énormes qu’il contrariait par sa démarche
scientifique inébranlable. Mais du fait des divulgations multiples sur Internet
qui permirent de préserver son crédit, tout en mettant en évidence les
multiples conflits d’intérêts qui se dévoilaient chez ses détracteurs, du fait
également des confirmations qui provinrent notamment des États-Unis et de Chine
quant à la crédibilité de ses travaux, le professeur Raoult survécut à toutes
ces tentatives de déstabilisation. Il en sortit même auréolé d’une gloire
populaire spontanée en France, tandis que les dirigeants français s’enfonçaient
dans leurs propres mensonges comme dans des sables mouvants.
C’est dans ce contexte, ayant vu tant aux
États-Unis, en Russie, en Chine ou ailleurs, des prises de position
souverainistes en faveur des remèdes du Pr. Raoult, qu’une autre institution
est apparue comme profondément gangrénée par la Subversion, elle aussi. L’OMS,
en effet, aura joué durant cette crise du coronavirus le même rôle infâmant que
celui joué par l’ONU durant la guerre de Syrie : on y vit des personnages
hautement subversifs œuvrer depuis l’ONU contre la paix, alors que l’ONU a pour
objet normalement de prévenir la guerre. Notamment Jeffrey Feltman, ancien
Assistant-secrétaire d’État sous Obama (2009-2012), devenu Sous-secrétaire
général de l’ONU aux affaires politiques. De même, en Libye, l’ONU ne fit rien
de sérieux pour juguler la guerre puis les troubles depuis 2011, elle préféra
plutôt en institutionnaliser les conséquences avec les accords de Skhirat puis
le Pacte de Marrakech, pour propager une immigration désordonnée et
déstabilisatrice pour l’Europe, plutôt que de résoudre les problèmes à leur
racine.[29] Le
même détournement de l’OMS fut clairement identifiable durant cette crise du
coronavirus, décidant sans cesse en dépit du bon sens, et propageant la peur
plutôt que la raison de toutes les façons possibles… Ce qui explique
parfaitement l’opposition frontale du Président Trump à cette institution,
malgré le contre-feu de désinformation médiatique habituelle qui tenta
évidemment de présenter le Président américain comme un irresponsable.[30]
L’épilogue de cette infâme déstabilisation
contre l’un des plus grands professeurs de médecine français, faillit bien être
un départ du professeur Raoult pour la Chine. Départ rapidement démenti certes,
mais laissant entrevoir tout de même, les conséquences lamentables des
agissements du parti subversif qui s’était opposé à lui durant la crise.[31]
Comme du temps des pays communistes interdisant toute carrière à quiconque
s’autorisait à penser en dehors des idéologies imposées, les gens
intelligents ont assurément de plus en plus de mal à faire carrière en France.
Mais le problème va au-delà d’un point de vue sur la France que l’on enseigne
actuellement en Chine, selon lequel les Français « aiment beaucoup
discuter mais ne savent pas décider ».[32] Par
opposition à la leçon d’étatisme de bon sens qui fut adressée par les pays
développés d’Asie, contrastant d’autant plus avec la décadence de l’Occident, cette
crise du coronavirus aura plutôt mis en évidence le réel problème de la France
: l’existence évidente d’un parti subversif qui détourne l’État, et qui
détruit toute forme d’intelligence en France, forçant ses meilleurs talents à
l’expatriation depuis déjà des années…
Ainsi, pour qu’existe une « histoire honteuse », il faut bien
qu’existent pour la générer des humains qui devraient mourir de honte face à
leurs propres agissements. Mais c’est tout l’aspect ironiquement salvateur
de cette crise, que de forcer chacun à dévoiler ses allégeances : on est
aujourd’hui ou bien du côté du bon sens souverain et de la vérité, ou bien du
côté de la Subversion. Et toute tiédeur ou mollesse ne fait que travailler
en faveur de cette subversion qui ne prospère que grâce à la lâcheté et la
paresse macrosociale, telle qu’elle est encouragée depuis des années en
Occident. « Dieu vomit les tièdes »…[33]
Une entente des hommes de bien pour conjurer le pire des Mondialismes.
Mais face à cette
histoire honteuse, semble se déployer pour la première fois de l’Histoire une
entente des hommes de bien, unissant les patriotes fortifiés par une spiritualité saine du monde
entier, et basée sur une expertise antisubversive qui était méprisée depuis des
années.[34]
C’est cette
entente qui pourrait bien mettre en échec tout ce narratif lourdement faussé de
la crise du Coronavirus, et emporter avec lui tout ce qui aurait dû constituer
le « Nouvel Ordre Mondial » : c’est-à-dire le mondialisme qui se déployait depuis des
décennies, et dont le but ultime était l’écrasement définitif des
peuples : le Meilleur des Mondes et 1984 combinés… Orwell en avait d’ailleurs fait son avertissement final, lui qui en
avait identifié les causes profondes à partir de la guerre d’Espagne, et mis en
garde lui aussi à partir de fictions, contre l’intoxication des humains les
moins spirituellement conscients, par le pouvoir qu’ils pourraient avoir sur
d’autres humains[35] : « Si vous voulez une image du futur ? Imaginez une botte écrasant un visage humain… pour l’éternité »… Ce Nouvel Ordre Mondial ciblant jusqu’à l’âme humaine, semblait en
apparence inarrêtable aux yeux des initiés qui suivaient son déploiement depuis
des décennies, non sans inquiétude,[36] à partir de cénacles de décisions internationalistes comme le groupe Bilderberg, la Trilatérale et d’autres puissants relais d’influence.
Or, contre toute
attente, c’est une vérité spirituelle gnostique sans âge qui retrouve sous nos
yeux incrédules une nouvelle application : lorsque de mauvaises forces sont à
l’œuvre, il est un contresens spirituel de croire qu’il n’y a que ces mauvaises forces qui sont à l’œuvre. Notre planète a toujours été un état
de probation, et l’humanité a
toujours été l’objet d’une lutte d’influence. Mais chaque humain individuellement, doit faire le choix du bien, en
pensée et surtout par les actes, sans quoi il sera toujours sous l’emprise
potentielle du mal, faute de s’être résolu à un choix conscient du bien… Et ce
défi, faire le bien par les œuvres pour conjurer le mal, mettre en échec le mal, servir la plus
haute vision de l’humanité pour conjurer la plus basse, a été relevé par les
patriotes chrétiens américains, rejoignant les patriotes chrétiens russes à
l’œuvre depuis des années en Syrie.
La même lutte
anti-fanatique qui mena à la naissance du christianisme puis plus tard de
l’islam, ce que comprit l’ancienne expertise
coloniale française, trouve ses prolongements dans le combat antisubversif des
patriotes américains aujourd’hui aux États-Unis…
Une guerre occulte pour le contrôle des Etats-Unis, et du monde entier.
Dès le début de la crise du coronavirus, la source Qanon qui servit depuis octobre 2017 de média occulte, dans le cadre du combat antisubversif des patriotes américains, diagnostiqua une intention politique évidente derrière l’hystérisation soudaine et synchronisée des médias PC, les mêmes médias qui déployaient le plus gluant des activismes anti-Trump depuis 2016. Il était évident en mars 2020, en effet, que cette crise était le dernier artifice trouvé par l’État profond pour éviter à tout prix l’explosion du Parti Démocrate, pour détruire tous les succès du Président Trump, pour camoufler le fiasco lamentable de Joe Biden en tant qu’adversaire potentiel, et pour tenter d’enrayer la purge historique de l’appareil d’État aux États-Unis.[37]
Plus grave fut
surtout le diagnostic inspiré, par la même source Qanon, incriminant
directement l’idéologie mondialiste comme responsable d’une subversion
préméditée des États-Unis, en citant les mots d’Henry Kissinger à la conférence Bilderberg d’Evian, le 29 mai 1992[38]: « Aujourd’hui, les Américains seraient
outragés si des troupes de l’ONU entraient à Los Angeles afin de restaurer
l’ordre, mais demain ils seront pleins de gratitude ! Ceci est [sera] spécialement vrai à partir du moment où on leur aura dit
auparavant qu’existe une menace extérieure, qu’elle soit vraie ou décrétée
[officiellement comme vraie], menaçant notre existence même. C’est alors que
tous les autres peuples du monde vont plaider auprès des dirigeants mondiaux
pour qu’ils [les Américains] soient délivrés de ce mal. Ce que craint l’humain,
c’est toujours l’inconnu. Si les choses sont présentées selon ce scénario, les
droits individuels seront volontairement abandonnés pour la garantie du
bien-être qui leur sera octroyé par le gouvernement mondial ».
Et Qanon
concluait dans son même message : « La guerre silencieuse continue… », confirmant donc clairement ce que les initiés sérieux avaient
auparavant compris : c’est une guerre
implacable qui est livrée pour le contrôle des États-Unis, entre les mondialistes
et les patriotes souverainistes. Et cette guerre est sacrée, comme l’indique aussi régulièrement Qanon à
mesure que cette lutte devient dantesque, évoquant l’« armure de
Dieu » de Saint-Paul[39] comme un psaume de combat de ces Templiers modernes. Que ne voilà donc
point une noble Croisade de notre temps !
Le
coucher de soleil dessinant en filigrane la Croix chrétienne derrière le
drapeau des Etats-Unis, photo postée par Qanon le 15 avril 2020 (n°3967 https://qanon.pub/#3967) :
Les décennies de
subversion des États-Unis, sont en fait la continuité d’une Subversion
lancinante dans l’Histoire de l’Occident, rarement comprise aujourd’hui parce
que tant le catholicisme que le protestantisme ont oublié des pans cruciaux des
enseignements chrétiens originels. Mais ils en ont une conscience
instinctive aujourd’hui, grandissante à mesure qu’une subversion sans âge et
dégénérée nous montre à nouveau son véritable visage.
Le Coronavirus comme va-tout du Nouvel Ordre Mondial.
Et c’est là que survient cette crise du Coronavirus, dans ce contexte d’une
purge occulte en cours aux États-Unis. Avant cette crise, un point de situation
donnait le parti subversif perdant aux États-Unis, malgré quatre ans
de lutte visant à pousser Trump au pire au Moyen-Orient comme en Asie. Au lieu
de cela, à coups d’un subtil jeu d’échec, de Kabuki[40] et d’intoxications
pas toujours compréhensibles, c’est une réelle désescalade qui a eu lieu
sur ces deux théâtres d’opérations potentiels, tandis que se menait l’épuration
historique de l’Administration américaine. La dynamique fut constante et le
pire évité, malgré des médias bavant constamment leurs mensonges contre chaque
fait et gestes de l’Administration Trump. Le Président Trump commença
également à inverser structurellement une logique de vampirisme économique
vidant de sa substance l’économie américaine, non pas au bénéfice de la Chine
par les délocalisations mais bien au bénéfice de Wall Street et des
mondialistes, depuis la visite secrète de Kissinger en 1971.
Illustration par le dessinateur Branco, de l’instrumentalisation
mondialiste de cette crise du Coronavirus, relayée par le Parti Démocrate aux
États-Unis, afin de détruire les succès économiques de Donald Trump qui
promettaient sa réélection.
L’âne (symbole du Parti Démocrate), maintenant l’économie américaine
sous l’eau, un œil sur les sondages malgré tout encore favorables à Trump pour
l’élection de 2020 : « ce n’est toujours pas assez sûr pour sortir
[du confinement] ».
Et surtout, le Président Trump eut le courage
historique de cibler les grands réseaux internationalistes mêlant la
pédocriminalité et le trafic de drogue, pour des raisons là encore très
anciennes mais certainement pas rationnelles… L’affaire Epstein n’était une nouveauté
qu’aux yeux de ceux qui n’ont pas compris l’Histoire et ses luttes d’influence
profondes... Le
combat contre le matérialisme débilitant et les déviances érigées
en mode de gouvernement en Occident, est mené aujourd’hui tambour battant par
les patriotes américains, qui sont les premiers concernés.
C’est un duel d’eschatologies qui se déroule à notre époque. Les véritables
musulmans le comprennent aussi, bien que nombre d’entre eux furent atteints
dans leur foi par des décennies d’influence fanatique artificielle… Chaque
homme de bien doit être aujourd’hui vent debout pour soutenir le combat que
mènent les patriotes américains aux États-Unis. Des années de propagande
ont érigé les États-Unis comme un bras armé du mondialisme, générant
artificiellement les plus gros conflits entre les civilisations qui auraient dû
déboucher sur une troisième guerre mondiale : entre le monde chrétien et le
monde musulman d’une part, entre les États-Unis et la Russie ainsi que la Chine
d’autre part. Le « déchaînement de la matière » dont les pires
mondialistes rêvaient déjà avant les deux guerres mondiales précédentes… Les plus infâmes
mondialistes patentés s’étaient alors pris à rêver comme ils le faisaient en
fait depuis des décennies : « leur » Nouvel Ordre Mondial
allait à coup sûr émerger de toutes leurs intrigues subversives, un
gouvernement mondial devant émerger « à
la place de la guerre ou après la guerre », pour reprendre les mots de leur
représentant français Jacques Attali, imbu de son sentiment d’impunité.[41]
Et pourtant,
c’est potentiellement un autre « nouvel ordre mondial », imprévu par
ces mêmes mondialistes, qui peut potentiellement émerger à l’occasion de cette
crise…
Un nouvel ordre mondial à cinq émerge, face au Nouvel Ordre Mondial suicidaire.
Ce qui restera
dans l’histoire occulte comme la Restauration de la République américaine,
naquit d’une leçon vieille comme la Rome antique : « que Rome prenne garde à la colère des
légions »… Cette restauration fut facilitée par les patriotes russes, qui ne
perdirent jamais de vue la façon dont les idéologies rouges avaient été
artificiellement inoculées à la Russie pour la détruire de l’intérieur.
Et à présent,
cette même entente russo-américaine occulte, qui remonte à Lincoln et dont on
trouve d’autres traces bien peu comprises dans l’histoire, se renouvelle sous
nos yeux. Non pas par cette pantalonnade ridicule du « complot
russe », qui aurait prétendument abouti à la victoire de Trump de 2016,
fondée sur la fable du « rapport Steele » qui
reviendra brutalement contre ses instigateurs bientôt, et restera dans
l’Histoire comme l’Obamagate…[42] Mais c’est bien à l’occasion de cette crise du coronavirus que par
nécessité, un axe occulte russo-américain va perdurer, plein de réalisme face
au danger qui menace tant la Russie que les États-Unis en tant qu’États
souverains.
Nous avons vu en
effet un renouvellement informel de cette subtile entente russo-américaine
initiée en Syrie, à travers les interventions simultanées aux États-Unis
comme en Russie des patriotes les mieux informés. La source Qanon, délivrant
d’ordinaire des messages peu nombreux, mais subtils et calculés quant à la
purge de l’appareil d’État américain, s’est soudain animée d’une intense
activité depuis février 2020 pour dénoncer toutes les manœuvres suspectes et
délibérément subversives derrière cette crise. Du côté de Moscou, alors qu’un
remaniement gouvernemental opportun venait d’avoir lieu,[43] c’est un éminent membre du Renseignement militaire russe, Vladimir Vasilievich Kvachkov, qui avait été
auparavant impliqué contre le puissant parti subversif qui avait tenté de
dépecer la Russie durant les années 1990,[44] qui émit un point
de vue similaire et assez peu modéré. Il concluait en effet que pour
éradiquer le Coronavirus, il allait falloir surtout vaincre un virus transnational beaucoup plus
puissant : c’est-à-dire les menées subversives internationalistes,
désireuses de dresser les nations les unes contre les autres afin de faire
progresser leur agenda inavouable…[45] Et même la Chine de
Xi Jinping voit à présent s’ouvrir à elle l’opportunité de rejoindre cette
alliance américano-russe dans un nouveau jeu des trois plus grandes puissances
du monde, afin de sortir elle aussi de l’influence subversive qui a prétendu
l’instrumentaliser depuis plus d’un siècle à présent… En adjoignant encore
l’Angleterre, qui porte en elle les restes de l’ancienne et puissante expertise
de l’Empire britannique, et l’Arabie Saoudite, qui joue actuellement un rôle
clé dans l’atterrissage en douceur du Moyen-Orient depuis 2016 sous la
protection des États-Unis de Donald Trump, c’est un nouvel ordre mondial qui
émerge : non pas le Nouvel Ordre Mondial de George Bush Sr. dans le contexte du
« Traité 2+4 » qui permit la réunification de l’Allemagne, mais une
sorte de « nouvel
ordre mondial à 3+2 »,
reniant le mondialisme destructeur des États-Nations par un nouveau réseau de souverainetés s’entraînant réciproquement.
Les États-Unis
tout d’abord, vivent la restauration de leur ancien rôle historique,
devenu bien moins évident aujourd’hui au fur et à mesure de leurs détournements
par un puissant État profond. Ce sont les mêmes « forces insidieuses travaillant de l’intérieur »
des États-Unis, qu’évoquait le général Mac Arthur, et d’autres patriotes comme
le général Patton ou de hauts serviteurs de l’État comme le directeur du FBI J.E.
Hoover… De leur rôle de première puissance mondiale
découle l’importance cruciale de l’évolution de la situation interne aux
États-Unis, et rien ne saurait être négligé pour aider les patriotes américains
à recouvrer leur souveraineté.
Á ce titre, nous
ne pouvons que louer la prise de conscience des minorités afro-américaines aux
États-Unis, qui ont réalisé l’instrumentalisation politique dont ils ont été
victimes depuis des années par le Parti Démocrate et l’État profond américain. Les noirs américains ont en effet été « utilisés comme des prostituées par le Parti
Démocrate », aux dires de Quanell X, dirigeant de la branche texane du
Nouveau parti Black Panther [New Black Panther Party], alors que leur
condition financière, économique,
académique, en matière de chômage et d’éducation, n’a fait qu’empirer[46].
Et c’est Joe Biden, ancien Vice-président d’Obama lourdement suspecté d’un
autre vice (pédocriminel), mais malgré cela « présidentiable »
pressenti contre Donald Trump lors des prochaines élections, qui vient de
rappeler cette réalité. Toute honte bue, ne se rendant même plus compte de
l’évidence grossière de sa stratégie d’influence éculée, il vient de tancer un citoyen
américain noir susceptible de voter pour Donald Trump d’une façon
tellement dominatrice que c’en était ridicule : « si vous avez un
problème pour choisir de voter entre moi [Joe Biden] ou Trump, alors vous
n’êtes pas noir ! ».[47]
Joe Biden illustrait ainsi ce qu’avait résumé auparavant l’économiste noir
américain Thomas
Sowell : « Le racisme n’est pas
mort, mais il est sous assistance vitale, gardé en vie par des politiciens, des
prostituées de la race et des gens qui gagnent un sens de supériorité par la
dénonciation des autres en tant que “raciste“ ».[48]
Ce sont à présent
les musulmans qui doivent réaliser la même prise de conscience que les noirs
américains, afin de contrer l’extraordinaire activisme
prétendument « musulman » que les États-Unis ont connu durant ces
dernières années. Alors que les États-Unis étaient officiellement en guerre
contre des pays musulmans, au gré d’une idéologie du « choc des
civilisations » qui fit bien souvent passer ces guerres pour des guerres
« contre l’Islam » (au grand dam des vrais soldats américains sur le
terrain)[49], une dynamique tout à fait contraire s’est dévoilée aux États-Unis,
dont l’apogée fut identifiable durant l’ère Obama. Ce fut en effet l’apogée
d’un activisme subtilement djihadiste ayant pignon sur rue aux États-Unis sous
l’ère Obama, mais un activisme qui a perduré depuis quatre ans contre Trump. Il
est dès lors urgent que les « vrais » musulmans, aux États-Unis et
dans le monde, réalisent enfin l’importance de la lutte d’influence qui a lieu
en ce moment même aux États-Unis, pour dénoncer avec les patriotes américains cet
activisme indécent de l’État profond contre le Président Trump.
Si j’étais citoyen
Américain, je serais très vraisemblablement accusé par Joe Biden de n’être « pas
musulman » si je décidais de voter pour Donald Trump. Mais que lui
répondrais-je ? Que les vrais musulmans savent ce qu’il s’est passé à Benghazi, et plus
globalement durant toute l’époque de subversion des Clinton, Bush Jr. et Obama.
Ils savent aussi qui a voulu créer une immigration déstabilisante pour les
États-Unis depuis 1965 afin de ruiner leur modèle d’intégration vertueux par
l’excellence, avec une pure volonté de subversion qui fut parfaitement
identifiable sous l’ère Obama.[50] De même, les musulmans n’ignorent pas non plus les turpitudes
personnelles transgressives de « creepy » Joe, et dès lors, ne
sauraient accepter toute prétention de son auguste personne à leur donner des
leçons de maintien et de morale. Pour toutes ces raisons, les hommes de bien
musulmans, au même titre que les chrétiens américains, ne peuvent que se
réjouir à l’avance de sa future défaite lors de la réélection à venir du
Président Trump…
Peut-être est-il temps, en passant, de nous faire à
présent savoir que « Michelle » Obama était pressentie pour
remplacer Joe Biden depuis des mois? Nous pouvons nous attendre à présent à
ce que l’État profond « lance » à présent sa course à la
présidence contre le Président Trump. Certainement même, dans le sillage
de cette nouvelle crise artificielle en forme de
« Charlottesville-bis » que nous voyons se déployer depuis
Mineapolis, qui sait ? Mais ce n’est cependant pas une surprise que de telles émeutes puissent
avoir lieu dans le Minnesota, car durant l’ère Obama, de nombreux
Somaliens parmi les moins civilisés furent importés là-bas, afin d’y créer
délibérément des troubles activables sur commande, comme nous les voyons à
présent.[51] Mais il n’est cependant loin
d’être sûr que l’État profond puisse avoir davantage de succès avec cette
énième manœuvre qui s’appellerait Michelle Obama qu’avec « creepy »
Joe…
La Russie, ensuite, vit au
terme de la guerre de Syrie l’aboutissement de sa nouvelle légitimité dans le
concert des nations. La
volonté implacable du Président Vladimir Vladimirovitch Poutine, appuyée par
l’extraordinaire talent diplomatique de Sergueï Viktorovitch
Lavrov, malgré les assassinats à répétition de diplomates russes, et la
combativité légendaire des forces armées russes incluant des éléments musulmans
du Caucase, qui avaient eu à combattre auparavant les
djihadistes artificiellement importés en Russie : ce furent là les
éléments d’une victoire historique qui signifia la première guerre perdue du
mondialisme, éteignant un conflit qui aurait très bien pu contaminer le monde
entier, à la fois en Syrie mais aussi en Ukraine.
Malgré une situation toujours difficile en Syrie face aux
« imprudences » de certains pays du Moyen-Orient, elle démontre que dans
le combat eschatologique actuel, les chrétiens orthodoxes et d’Orient ont une
longueur d’avance, n’ayant pas oublié la vraie Gnose. En témoigna une
exposition d’icônes sécurisée à Tsaritsino en octobre 2016, rappelant que les
vrais chrétiens n’ont pas oublié Sophia : la « Sagesse de
Dieu », source de toute chose en notre monde, et principe féminin
sacré tempérant les anciennes violences du Moyen-Orient…
Icône de Sophia, la Sagesse de Dieu,
entourée de Saints aux abords, fin XVIIe-début XIXe s. (tempera sur bois)
La façon dont le Ministre de la défense Sergueï Koujouguétovitch
Choïgou, bien que versé dans les connaissances occultes des chamanes de
l’Altaï, se signa lors du défilé du 9 mai 2015 sous la tour du Christ Sauveur,
était lourde de sens quant à la nouvelle « guerre sacrée » menée
par Moscou au Moyen-Orient.[52]
Elle fit en ce sens le pont avec l’Extrême-Orient, un pont évident pour qui
connaît les racines communes des spiritualités du monde à partir du
Moyen-Orient et du Tibet, et dont le soufisme fut notamment l’une des
passerelles…[53]
La Chine du Président Xi
Jinping, donne vie à la clairvoyance prophétique de Charles De Gaulle, qui
considérait que le communisme disparaîtrait avec le temps en Russie soviétique
comme en Chine populaire,
que le président De Gaulle fut d’ailleurs le premier chef d’État à reconnaître.
Après avoir connu nombre de déstabilisations et d’humiliations depuis le XIXe
siècle, étroitement liées à la même décadence du capitalisme occidental depuis
l’Angleterre, et malgré les intrigues qui tentèrent de créer une Chine
communiste durablement captive des mondialistes, c’est la vieille
souveraineté du Céleste Empire qui renaît. La sublime leçon de profondeur
civilisationnelle qui fut donnée lors des Jeux Olympiques de 2008, fut
accompagnée par les premiers signes de lucidité contre l’idéologie communiste,
grâce notamment à la meilleure influence française qui puisse encore exister à notre
époque.[54]
Après avoir adressé des messages d’ouverture à l’Occident dramatiquement
égaré (2005-2015),[55]
cette nouvelle Chine renaissante accompagna également le mouvement en
soutenant discrètement l’action russe en Syrie. Comme la Russie en Tchétchénie
et au Daghestan, elle aussi se trouvait ciblée par le terrorisme des
séparatistes ouïghours, artificiellement généré par l’Etat profond américain
depuis des années en Asie Centrale, qui menaçait l’intégrité nationale chinoise
en poussant le Xinjiang à la sécession. Comme dans le Caucase, des enjeux
énergétiques majeurs étaient la cause profonde de ces intrigues. Dans leur
empressement à cibler sans cesse la Chine, certains médias occidentaux oublient
volontiers qu’il existe d’autres communautés musulmanes qui sont des patriotes
chinois, comme les Hui dans la Région autonome du Ningxia.[56]
Le narratif hérité de la Guerre froide contre le communisme ne tenait plus, et les
anciens réseaux djihadistes apparaissaient soudainement pour ce qu’ils étaient
réellement : des troupes mercenaires utilisées dans des guerres
asymétriques afin de nuire à des États souverains « indociles », pour
le compte de forces subversives parfaitement identifiables.[57]
La victoire de Trump, premier
Président américain reçu dans la Cité interdite, signifia une nouvelle
opportunité pour la Chine aussi, et la possibilité d’une entente avec les
États-Unis s’est développée subtilement depuis 2016. Mais une entente qui
supposait de faire machine arrière dans la promotion d’un mondialisme historiquement
voulu par Wall Street, utilisant les délocalisations chinoises pour ruiner le
monde entier, et dont la Chine était l’otage bien plus que l’actrice.[58]
Ceci supposait alors une certaine synchronisation avec les États-Unis afin
d’éviter une explosion de l’économie chinoise, indirectement victime elle aussi
du modèle économique occidental décadent, solutionnant au passage la question
nord-coréenne par une nécessaire désescalade, en attendant l’inéluctable
réunification avec Taïwan de manière tout aussi pacifique…
C’est dans ce contexte plein
d’espoir que survint la crise du coronavirus, au gré de laquelle apparurent les
mêmes lignes de failles en Chine : l’opposition du Président Xi Jinping
face à l’existence d’un État profond en Chine, motivé certainement par un affairisme
sécrété par la décadence de l’Occident, et possiblement appâté par des rêves de
puissance dangereux. Une certaine inexpérience des serviteurs de l’État chinois
face aux causes profondes de la décadence occidentale était à craindre, mais
des leçons de sagesse bouddhiste et confucéenne peuvent tout autant être
espérées aujourd’hui du Céleste empire. Face à ces luttes d’influences internes
vieilles comme le monde qui prévalent partout, la tentative de créer un nouveau
racisme antichinois du plus grand ridicule, à l’occasion de cette crise du
coronavirus, n’apparaîtra comme rien d’autre qu’une énième tentative
mondialiste visant à dresser les peuples les uns contre les autres...
L’Arabie quant à elle, fut
l’otage et le point nodal de l’instrumentalisation du terrorisme au gré de la
rivalité pétrolière historique entre les Britanniques et les États-Unis, ce qui
fut dénoncé comme tel dès 1930 par le Renseignement français.[59]
Les États-Unis reprirent cette continuité à leur compte après la Seconde Guerre
mondiale, mais vécurent entre-temps leur détournement par l’État profond,
lequel sut préserver ses intérêts bien plus que ceux des États-Unis, au besoin
par des morts suspectes au sein de la famille royale (Roi Fayçal Al Saoud,
1975). Mais le net recul de cette subversion par l’État profond, actuellement
aux États-Unis, permet à une dynamique nouvelle d’émerger en Arabie Saoudite.
Un processus dual dans lequel un Jared Kushner est certes à la fois juge et
partie, à la fois gendre et ambassadeur de Trump, mais dont l’action aura déjà
eu une utilité historique au Moyen-Orient. Le
Prince héritier Mohammed ben Salmane, qu’on veuille bien le comprendre ou non,
est en ce moment l’homme clé du Président Trump, et prend la responsabilité
courageuse de tenter d’inverser des décennies d’instrumentalisation mondialiste
du djihadisme à partir du Moyen-Orient. Une instrumentalisation dont là
encore, les Arabes ont été bien plus souvent les otages que les promoteurs...[60]
Dans ce contexte, le rôle de la
Grande-Bretagne est inévitablement dual. Car les patriotes Britanniques ont
certainement possédé la meilleure des expertises antisubversives au monde,
concernant la Russie comme la Chine ou le Moyen-Orient, mais que cette
expertise patriotique a été durement bridée depuis les années 1920. Car
parallèlement, c’est depuis la même Grande-Bretagne qu’a été conçue la
subversion de leurs rivaux économiques (français, allemands, russes, chinois,
étasuniens, avant d’emporter dans la tourmente les restes de l’Empire
britannique… La même lutte d’influence entre patriotes et État profond a eu
lieu en Grande-Bretagne, à vrai dire depuis le XVIe siècle, et elle fut
durablement perdue par les patriotes, mais temporairement seulement.
Des indices de subversion évidents au Royaume-Uni sont apparus au
gré d’affaires sensibles récentes, couvertes par une omerta révoltante des
médias publics, masquant certainement une subtile volonté de provocation. Dans
quel but ? Afin de promouvoir l’idéologie artificielle du « choc des civilisations »,
opposant la Chrétienté à l’Islam de façon nécessairement violente. L’affaire
des viols de Telford, ayant vu des milliers d’enfants ou de jeunes filles
violés par des gangs immigrés indo-pakistanais, a été entourée d’un véritable
secret d’État avec l’entière complicité des médias. De la même façon, ce sont
de véritables persécutions qui ciblent les patriotes et militants Britanniques
comme Stephen Yaxley-Lennon, connu sous le pseudonyme de Tommy Robinson. Or, les circonstances anormales
dans lesquelles des soi-disant « musulmans » ont pu le battre
impunément en prison, sont l’indice d’une instrumentalisation qui révèle une
subversion évidente du Royaume-Uni, disposant de puissants relais au sein de
l’appareil d’État. On voit encore d’autres traces de cette subversion, quand la
BBC s’obstine à réécrire sans cesse l’Histoire occidentale dans un sens
« antiraciste », en faisant jouer les personnages européens par des
immigrés d’origine africaine.[61]
Ceci est visible dans tous les pays occidentaux, jusqu’au ridicule quand
Lancelot,[62]
Achille[63]
ou Louis XIV[64]
sont joués alors par des acteurs noirs. On attend avec impatience une histoire
de Nelson Mandela, de Martin Luther King ou de l’Empereur Kanga Moussa du Mali
joués par des acteurs blancs, afin d’être sûr que personne ne soit choqué par
ces réécritures de l’Histoire ridiculement parasitées par des partis-pris
idéologiques…
Mais il y a pire, derrière ces trois exemples de subversion combinés.
Ils peuvent constituer l’indice d’une stratégie mondialiste de contrôle
réflexif dangereux : une volonté évidente de brimer les populations
européennes, en les poussant ainsi subtilement à un nouveau sursaut
nationaliste qui ne pourrait être qu’excessif en réaction. Cette façon de
créer une prophétie autoréalisatrice en brimant les peuples occidentaux pour
les pousser au pire ensuite s’est déjà vue dans l’Histoire... Et elle
aboutirait sans surprise à légitimer le choc des civilisations, en
légitimant une guerre culturelle et civilisationnelle des Occidentaux qui
serait dirigée spécifiquement contre l’Islam. C’est la raison pour laquelle les
véritables musulmans doivent dire clairement à l’Occident que les violeurs de
Telford, ou les « musulmans » qui ont été « utilisés » pour
bastonner Tommy Robinson, n’ont de musulman que le nom, et mériteraient un
châtiment tel que jamais ils ne pourraient recommencer leurs méfaits ignobles…
Pourtant, malgré ces traces de subversion évidente en Grande-Bretagne,
il est à croire que les patriotes britanniques ont su peser dans les
élections américaines de 2016, indirectement avec Julian Assange tout du
moins. Ceci, alors même que se déployait depuis la Grande-Bretagne le volet
internationaliste de cette même subversion, tant contre les États-Unis (Rapport
Steele) que contre la Russie (Affaire Skripal), avec un rôle très sale joué en
Syrie ou en Ukraine... Sans doute, la Grande-Bretagne a su comme à d’autres
occasions dans l’Histoire, placer ses pions pour tirer avantage de la situation
dans toutes les hypothèses. Mais il est indéniable que la véritable
Grande-Bretagne souffre depuis bien longtemps face à la Subversion…
Ce contexte de « nouvelle donne géopolitique », est donc une
opportunité de toute façon pour la Grande-Bretagne.
Elle ne perdra pas son tropisme impérial, et le « Brexit » finalement
obtenu par Boris Johnson lui redonnera une nouvelle souveraineté, prenant une
importance similaire en Grande-Bretagne à la victoire de Trump aux États-Unis.
En lieu et place des « représailles » promises par l’Union
Européenne, une nouvelle entente se dessine entre les États-Unis et la
Grande-Bretagne, dont le futur broyage de l’UE entre la rivalité commerciale
sino-américaine sera une conséquence connexe.[65]
La Grande-Bretagne saura tirer son épingle du jeu, en conservant la constance
diplomatique de ses intérêts supérieurs, et espérons-le, en ciblant une
subversion qui n’est pas récente en son sein, et qui atteint aujourd’hui
gravement la substance même du peuple britannique.[66]
Là encore, les chrétiens protestants sont bien souvent handicapés par une
vision partielle de leur propre Histoire… Mais la Grande-Bretagne fut également
à la tête du réformisme chrétien depuis Bède le Vénérable, puis dans la lutte
d’influence interne au sein de la Franc-maçonnerie depuis le XVIIIe siècle
jusqu’à nos jours...
La France, dernier bastion subversif au monde, attend son renouveau politique.
Dans ce contexte d’un Nouvel Ordre Mondial imprévu des mondialistes,
voyant l’émergence d’une entente nouvelle qualitative entre les États-Unis, la
Chine, la Russie, la Grande-Bretagne et l’Arabie Saoudite, que vont devenir
les pays de l’Union Européenne impotente, nantis seulement d’une
« souveraineté-croupion » ? L’Allemagne a été durablement
soumise et brûle ses derniers feux économiques, son peuple réel disparaissant
depuis des années sous l’effet conjugué d’idéologies ciblant là encore sa
substance même. L’Italie s’est récemment débattue, mais se retrouve de nouveau
soumise par un gouvernement subversif qui se moque éperdument du peuple
italien. Et la France, dans tout
cela ? Elle est devenue l’un des pires bastions subversifs de notre époque,
et des détails très peu élogieux l’illustrent, que ne manquent pas de
relever les Services de renseignement étrangers : depuis les gesticulations
transsexuelles sur le perron de l’Élysée, jusqu’à la « retraite
heureuse » dans le Périgord de Ghislaine Maxwell, l’ex « traitante »
de feu Epstein d’après l’irréfutable Steve Pieczenik lui-même, qui jamais
n’accusa personne sans preuve…[67]
Or les « connexions françaises » de l’affaire Epstein sont connues,
et pourtant rien n’a été entrepris en France pour collaborer avec la justice
américaine.[68]
Elle était considérée comme « disparue » aux États-Unis, et alors que
l’Administration Trump avait lancé un mandat d’arrêt international contre elle,
elle était pourtant bien au chaud en France sans être inquiétée le moins du
monde…[69]
Depuis la victoire de Trump aux Etats-Unis et le net reflux de la
pédocriminalité outre-Atlantique, la France passe de plus en plus pour le
premier Etat pédocriminel au monde… Au point de susciter la préoccupation
d’INTERPOL et d’EUROPOL. En France, chaque année, 58.000 enfants disparaissent
et plus de 150.000 enfants sont violés,[70]
alors qu’à peine 0,3 % des agressions sexuelles sur mineurs sont
condamnées ! C’est ainsi que l’on détruit la substance et l’avenir d’un
peuple, et les Français qui
tentent de protéger leurs enfants sont
bâillonnés, dénigrés, voire accusés lorsqu’ils osent évoquer ce sujet. Selon Me Marie Grimaud, avocate pénaliste de
l'association « Innocence en danger », « La France est l'eldorado des pédophiles. […] Je le répète, aujourd'hui mieux vaut
violer un enfant que de dealer du shit dans la rue. La
sanction est beaucoup plus lourde pour le dealer que pour le violeur
d'enfants ». Pire,
elle rappelle que « si des
magistrats estiment qu'un enfant de 5 à 6 ans peut éventuellement consentir à
un rapport sexuel et éventuellement relaxer des individus pour cela, c'est que
nous avons un problème dans la formation de nos magistrats. C'est ce que
j'appelle la gouvernance des juges, qui va en deçà [au-delà] de ce que la loi
prévoit ».[71]
Djamila Allaf, directrice
de l’association « Enfance au cœur », renchérit : en
France, « les chiffres de la maltraitance des enfants sont terrifiants. Ils sont
indignes d’une société qui se dit civilisée. Parce que le marqueur d’une
civilisation, c’est sa capacité à protéger les plus faibles. Aujourd’hui, dans un pays comme la France, qui se dit pays des Droits de
l’Homme, qui donne des leçons dans le monde entier, il y a 422 enfants qui sont
violés chaque jour, 2 enfants qui meurent de maltraitance par jour. Et malgré cela on a toujours un silence sur
cette question, ça reste tabou ».[72]
Dans le contexte de l’Affaire
d’Outreau, qui a défrayé la chronique, qui a fait énormément de mal à la
cause des enfants en discréditant leur parole, une remarquable enquête non médiatisée d’un journaliste de l’AFP,[73]
rappelait qu’aucun enfant de
l'affaire d’Outreau n'avait menti. Douze enfants ont bien été reconnus victimes
de violences sexuelles dans un contexte de proxénétisme. Alors pourquoi leurs
bourreaux ont-ils été protégés ? Était-ce un réseau susceptible de révéler
des noms connus ? En tout cas, la France n’en sort pas grandie…et les
enfants français continuent d’être torturés ![74]
Dans ces circonstances, comment veut-on que la
France conserve encore une once de crédibilité auprès des chefs d’Etat
étrangers ? Alors que dans le même temps le Président Trump a fait de la
lutte contre la pédocriminalité une réelle cause nationale[75], à l’initiative
notamment d’Ivanka Trump comme conseillère principale contre le trafic d’êtres
humains, la France montre de graves signes de subversion, comme aux États-Unis
du temps d’Obama. L’imbrication devient hautement suspecte quand la
pédocriminalité se mêle aux questions antiterroristes, maltraitant des enfants au
gré d’une interprétation tout à fait inadaptée des critères de
« radicalisation », camouflant ses méfaits derrière la raison d’État. Ainsi en juin 2019, un Commandant des services secrets
intérieurs (DGSI) se
définissant lui-même comme « spécialiste de la manipulation », fut impliqué dans une grave affaire pédocriminelle
avec une mineure « musulmane » au prétexte de déradicalisation, des milliers de photos pédopornographiques étant
retrouvées dans ses ordinateurs.[76]
Parallèlement, une cellule antiterroriste de la DGSI fut dénommée
« Al-Lât », du nom d’une déesse pré-islamique, laissait envisager une
volonté de considérer l’islam comme « l’ennemi intérieur ».[77]
Dans ce contexte de graves détournements, les musulmans de France peuvent
légitimement craindre pour leur sécurité et celle de leurs enfants. Par
ailleurs, des policiers habilités « secret défense » se permettent de
fanfaronner en divulguant des informations relatives à des attentats potentiels,
sans être capables d’empêcher lesdits attentats. Or, les musulmans de France ne
peuvent ignorer combien ces attentats terroristes leur font injustement du
tort. Tous ces éléments combinés
laissent envisager un risque réel de guerre civile artificielle en France,
officiellement menée « contre l’Islam », qui permettrait de faire
diversion en faisant oublier les graves turpitudes des politiciens français
actuels.
Les révélations relatives aux derniers attentats survenus en France
achèvent de brosser un tableau noir de l’état réel des forces de sécurité, et
de la sape délibérée de capacités antiterroristes françaises. Dans le contexte
des enquêtes parlementaires relatives aux sanglants attentats du Bataclan de
novembre 2015 (131 morts, 413 blessés), plusieurs révélations de haut niveau,
dont celles de l’ex-patron du Renseignement intérieur (DCRI) Bernard Squarcini,
firent état d’un refus délibéré des autorités françaises et du Premier ministre
Manuel Valls, qui refusa une liste de
djihadistes fournie par les Services secrets syriens. Ce refus fut opposé
« pour des raisons idéologiques », et eut pour conséquence la
nécessité de mendier du renseignement aux sources étrangères, au grand dam des
Services français dont la réputation était antérieurement sérieuse.[78]
Entre-temps, un certain nombre de personnels de haut niveau des forces de
sécurité furent inquiétés par le pouvoir, vérifiant la constante vieille comme
Néron, voulant que les subversifs aient une peur proverbiale de leurs propres
forces de sécurité lorsqu’elles ne sont pas castrées... Citons pour mémoire le
cas de nos valeureux généraux Christian Piquemal (Légion étrangère), Didier
Tauzin et Henri Poncet (Parachutistes), Bertrand
Soubelet (Gendarmerie), Pierre Le Jolis de Villiers (Armée), outre des
syndicats de police méprisés quand ils ne sont pas assez dociles (VIGI), et de
nombreux exemples de personnels plus ou moins discrètement suspendus (Alexandre Langlois),
évincés (Noam Anouar), suicidés (Maggy Biskupski), ou martyrs (Arnaud Beltrame)…
Le colonel Arnaud Beltrame (ici jeune major
de l’École Militaire Interarmes, EMIA).
Il
mourut en martyr durant une attaque terroriste suspecte en France, et fut
honoré par le président Trump lui-même pour avoir échangé sa place avec une
femme retenue en otage par le terroriste.
Dans ce contexte de détournement et de pourriture rampante des services
de l’État pour cause de basse cuisine politique et autre intrigues subversives,
l’avenir de la France ne semblait déjà pas tout à fait radieux. Le contexte
de la crise du coronavirus se surajoutant, les conséquences dans un futur
proche pourraient surprendre le monde entier… La situation économique
française était déjà fragile, sous l’effet combiné de l’Euro et de la guerre
économique implacable menée contre elle depuis des années. La crise des Gilets
jaunes, crise de ces « insurgés de la pauvreté » et derniers
défenseurs du bon sens civil et populaire français, qui durait depuis plus d’un
an attestait déjà de cette souffrance, pourtant pas récente puisque remarquée
déjà par Mark Twain comme une des
conséquences du capitalisme occidental décadent : « quand les riches volent les pauvres, on appelle ça les
affaires : quand les pauvres se défendent, on appelle ça de la violence ». La situation économique française deviendra
assurément désastreuse au sortir de cette crise du coronavirus, et nous pouvons
compter sur l’extraordinaire indolence des personnels politiques français pour
continuer à la rendre explosive. Pourtant, ces tristes sycophantes,
comme Steve Pieczenik se plaisait à appeler les politiciens américains de l’ère
Bush Jr./Obama, oublient la leçon de l’un de nos plus grands rois, Louis XI :
« Quand l'orgueil
chemine devant, honte et dommage
suivent de près. »
La France est-elle « définitivement
morte », comme s’en exclamait le futur maréchal de l’Empire
britannique Jan Smuts après sa défaite de 1940 ? Que reste-t-il de la lucidité des rois de
France contre l’accaparement financier, de celle de Napoléon contre les financiers
internationalistes, de la doctrine sociale de l’Eglise contre son avachissement
idéologique, ou de l’expertise antiterroriste française depuis Xavier de
Hauteclocque ?[79]
Cette expertise française existe, de même que ses continuateurs qui s’activent
dans l’ombre. Mais trop peu de Français en ont une vision juste, car les
moyens de l’État eux-mêmes sont mobilisés au service de la Subversion de
la France, générant une distorsion de la réalité comme à l’époque subversive
d’Obama aux États-Unis…
Pour autant, depuis des années les esprits lucides envisageaient un
changement majeur en France, mais qui ne pourrait survenir qu’à la faveur d’un
changement structurel qui allait avoir lieu aux États-Unis. Trop peu de
Français ont compris jusqu’à présent, le renversement imprévu du monde et
l’émergence potentielle d’un second « nouvel ordre mondial », comme
constituant un contrecoup face à un premier « Nouvel Ordre Mondial »
constitué progressivement et dans l’ombre. Comme à la suite de la victoire de
Trump, c’est la même logique de « contrecoup patriotique » face à un
« coup d’État subversif en douce », qui est en passe d’être
généralisée au monde, à l’occasion de cette crise du coronavirus qui force tous
les acteurs à dévoiler leurs allégeances réelles. Un net recul de l’État profond mondialiste semble pouvoir émerger dans
les cinq plus importants pays du monde, États-Unis, Russie, Chine, Royaume Uni
et Arabie Saoudite, avec le retour partout au bon sens patriotique et
économique. Comme l’a souligné le théoricien politique russe, Alexandre
Guelievitch Douguine : « L’ascension
de Trump marque d’abord et avant tout la fin décisive
du monde unipolaire. […] Les peuples et les États du monde peuvent enfin
respirer profondément. L’expansion du mondialisme a été stoppée au centre même
de la mondialisation. Le nouveau monde multipolaire signifie que les États-Unis
deviendront désormais l’un des pôles de l’ordre mondial, puissant et important,
mais pas le seul, et surtout sans aucune prétention à être exceptionnel. »[80]
La plus grande question, celle des
enjeux monétaires, reste encore en suspens à l’heure où ces lignes sont
écrites. Mais c’est pourtant un espoir réel qui se dévoile aujourd’hui sous
nos yeux, à partir d’une crise sanitaire qui devait initialement pousser les
peuples à la soumission par la peur, mais qui semble devoir se retourner contre
ses instigateurs subversifs.
Cette dynamique nouvelle sera-t-elle comprise en France ? Pour la comprendre, encore faudrait-il
commencer par en avoir une vision juste. L’historien britannique Arnold Toynbee
remarquait qu’aucun processus historique n’était réellement irréversible. Nous
pourrions compléter l’idée en parlant avant tout de mutations et de luttes
d’influences sans cesse évolutives, entre l’harmonie et le chaos, deux forces
sans lesquels les humains n’apprendraient jamais rien sur Terre…
Le regretté Pierre
Schoendoerffer de Saint Marc considérait qu’un soldat avait pour devoir sacré
de « mettre de l’ordre dans le désordre ». Le général Michael Flynn, directeur de
campagne de Donald Trump, compara les citoyens réalisant avec responsabilité
leur propre travail individuel de réinformation personnelle, à une « armée
digitale » devant monter en ligne pour préserver son propre
destin : sur Internet comme dans la vie réelle, afin de réduire
toujours plus la surface d’action de la subversion sur les esprits non
préparés. Certes, « l’Histoire est faite par peu d’Hommes »,
disait Jules César. Mais l’habitude résignée de voir un parti subversif somme
toute très faible, détourner impudemment un vieil État qui semble impuissant,
alors que son Histoire permettrait pourtant de comprendre toutes les causes et
conséquences de ce détournement, suscite une indolence qui prédispose à
l’esclavage. Cette indolence résignée, c’était la situation exacte des
États-Unis durant les mois qui précédèrent l’élection de Trump en 2016,
lorsque les patriotes les mieux informés ne pouvaient que constater l’état de
démoralisation du peuple : prêt à se soumettre à une justice subvertie qui
venait de favoriser ce qui allait à coup sûr devenir une énième élection
truquée, dont les États-Unis finissaient par avoir l’habitude…[81]
« – Vous plaît-il d’être des esclaves, vous plaît-il être des
bébés » ?[82]
Et pourtant, il y eut une masse critique de patriotes déterminés et
suffisamment informés pour se lever, pour relever le gant et renverser
l’irréversible.
Aujourd’hui, ce combat n’est pas terminé, et ne le sera sans doute jamais tant
que des prises de conscience fondamentale n’auront pas été réalisées par un plus
grand nombre d’humains. À notre époque pourtant, nous avons toutes les cartes
en main pour comprendre le passé, pour entrevoir le futur, en tout cas pour
combattre au présent et servir une plus juste vision du sens de l’existence
humaine.
« – Tu dois prendre
parti, sinon tu n’es pas humain »…[83]
Morad EL HATTAB, essayiste et géopolitologue.
Conseiller expert en investissements stratégiques et en intelligence
économique.
Diplômé de l’Académie des Arts, des Sciences et des Lettres.
Dernier ouvrage paru : « Saïf
al-Islam Kadhafi – Un rêve d’avenir pour la Libye », (éd. Erick
Bonnier, octobre 2019).
https://www.erickbonnier-editions.com/essais/sa%C3%AFf-al-islam-kadhafi-un-r%C3%AAve-d-avenir-pour-la-libye/
ACTUALISATION, 5-7-2020 :
"La robe que Melania a porté pour la fête de l’indépendance Américaine.
Cette robe est en hommage a tous les enfants sacrifiés lors de rituels. Des enfants victimes de ses horribles crimes ont dessiné a leurs façons ce qu’ils avaient vécu.
Elle porte leurs dessins afin d’envoyer un message clair.
Plus jamais ce genre de crimes ne sera toléré et Melania désirait leur porter un message d’espoir.
C’est très audacieux et ça met limite mal à l’aise mais quand nous savons les actions de Trump et Melania pour les enfants nous comprenons combien ce signal fort est important pour eux."
ACTUALISATION, 5-7-2020 :
"La robe que Melania a porté pour la fête de l’indépendance Américaine.
Cette robe est en hommage a tous les enfants sacrifiés lors de rituels. Des enfants victimes de ses horribles crimes ont dessiné a leurs façons ce qu’ils avaient vécu.
Elle porte leurs dessins afin d’envoyer un message clair.
Plus jamais ce genre de crimes ne sera toléré et Melania désirait leur porter un message d’espoir.
C’est très audacieux et ça met limite mal à l’aise mais quand nous savons les actions de Trump et Melania pour les enfants nous comprenons combien ce signal fort est important pour eux."
[2] Coningsby ou la Nouvelle génération, 1844.
[3] « Les grandes manœuvres financières derrière Greta
et le « Changement climatique » : suivez l’argent… » (F.W. Engdahl, CVR,
25 septembre 2019) ; « La sombre histoire derrière le « réchauffement
climatique » du GIEC. » (F.W. Engdahl, RI, 30-10-2018)
[4] « [NAVY 3] Conclusion CVR au sujet de l'amiral
Williams : une information fuitée - indice de ce que les milieux patriotiques
américains contestent leur Commandant en chef... » (CVR, 10 janvier
2016) http://chroniquesdelavieillerepublique.blogspot.com/2016/01/additif-conclusion-cvr-au-sujet-de.html
; « [IMPORTANT] La vérité sur la victoire
de Trump : Analyse et synthèse. » (CVR, 21-11-2016) http://chroniquesdelavieillerepublique.blogspot.com/2016/11/important-la-verite-sur-les-changements.html
; « Hommage des patriotes français au Dr.
Steve Pieczenik PhD » (CVR, 9 novembre 2016) http://chroniquesdelavieillerepublique.blogspot.com/2016/11/hommage-des-patriotes-francais-au-dr.html.
[6] « Le Dr. Steve Pieczenik défend les révélations de
Trump sur le 11 septembre 2001 » (CVR, 20 octobre 2015) http://chroniquesdelavieillerepublique.blogspot.com/2015/10/infowars-dr-steve-pieczenik-defend-les.html
[7]« La Seconde Révolution américaine a été gagnée
! » (CVR, 10 novembre 2016) http://chroniquesdelavieillerepublique.blogspot.com/2016/11/la-seconde-revolution-americaine-ete.html
« [Entrevue Pieczenik –
Alex Jones, Infowars] La République Américaine a été restaurée »
(CVR, 3 janvier 2017) http://chroniquesdelavieillerepublique.blogspot.com/2017/01/entrevue-pieczenik-alex-jones-infowars.html .
[8] L’État Profond, Peter Dale Scott, éd.
Demi-Lune, 2016. Le Charme discret du Djihad, W. Engdahl, éd. Demi-Lune,
2018.
[9] « Cas d'école : des reporters d'Infowars
inquiétés pour vouloir enquêter sur un possible camp djihadiste sur le sol des
USA... » (CVR, 2-12-2015) http://chroniquesdelavieillerepublique.blogspot.com/2015/12/additif-des-reporters-dinfowars.html
[10] Antony C. Sutton, The
Federal Reserve Conspiracy/Le Complot de la Réserve Fédérale, éd. Nouvelle
Terre, 1995-2009.
[11] « NAVY 1 - Un amiral de l'U.S. Navy viré pour avoir
questionné l'achat par Obama d'une propriété à Dubaï??? » (CVR, 10 janvier
2016) http://chroniquesdelavieillerepublique.blogspot.com/2016/01/un-amiral-de-lus-navy-vire-pour-avoir.html
« L’atroce « Pizzagate » : un lien avec les récentes
rumeurs de contestation des élections ? » (CVR, 26 novembre 2016) http://chroniquesdelavieillerepublique.blogspot.com/2016/11/latroce-pizzagate-un-lien-avec-les.html
[12] « Le vrai crime dans l’«Huma-gate», ce
sont les liens avec les Frères musulmans ! » (F. William Engdahl, Le Saker
Francophone, 3-11-2016)
https://lesakerfrancophone.fr/le-vrai-crime-dans-lhuma-gate-ce-sont-les-liens-avec-les-freres-musulmans Rappelé par Qanon,
message n° 4284, le 19-5-2020 https://qanon.pub/#4284 : « Huma
Abedin's ties to the Muslim Brotherhood” (The Hill, 23-8-2016) https://thehill.com/blogs/pundits-blog/presidential-campaign/292310-huma-abedins-ties-to-the-muslim-brotherhood
[13]
« L'Inspection Générale (IG) du Département d'État a tranché : Hillary
Clinton N'AVAIT PAS LE DROIT DE METTRE EN PLACE SON SERVEUR PRIVE!!! » (S.
Pieczenik, CVR, 28 mai 2016).
http://chroniquesdelavieillerepublique.blogspot.com/2016/05/linspection-generale-ig-du-departement.html
http://chroniquesdelavieillerepublique.blogspot.com/2016/05/linspection-generale-ig-du-departement.html
[14]
« “Les Trois Amigos”: Anthony Weiner, Bob Filner, Eliot Spitzer... » (S. Pieczenik, CVR, 1-8-2013)
http://chroniquesdelavieillerepublique.blogspot.com/2013/08/les-trois-amigos-anthony-weiner-bob.html
« Le
scandale Anthony Weiner sonne le glas du clan Bill/Hillary Clinton... » (S. Pieczenik, CVR, 19-1-2016)
http://chroniquesdelavieillerepublique.blogspot.com/2016/01/le-scandale-anthony-weiner-sonne-le.html
« Emails
d’Hillary Clinton : trois affaires en une » (Les Echos, 31-10-2016) https://www.lesechos.fr/2016/10/emails-dhillary-clinton-trois-affaires-en-une-223106
[16] « Le «Superman
israélien » Meir Dagan entre en dissidence sur le dossier iranien »
(France24 ? 12/03/2012). https://www.france24.com/fr/20120312-superman-israelien-meir-dagan-contre-attaque-iran-enrichissement-nucleaire-mossad-renseignements-israel
« Ex-chef du Mossad :
l’armée prête à frapper l’Iran en 2011 sur ordre de Netanyahu » (Times
of Israël, 1-6-18). https://fr.timesofisrael.com/ex-chef-du-mossad-larmee-prete-a-frapper-liran-en-2011-sur-ordre-de-netanyahu/
Comparer
avec Qanon n°3991 du 28 avril 2020, montrant 21 personnages clés
pro-Obama/Hillary Clinton qui furent proprement démis de leur fonction depuis
2016. Https://qanon.pub/#3991
[18] Caroll
Quigley (Tragedy & Hope, Macmillan
Publishers, 1966,
p.1311).
[19] La Ponérologie Politique : Etude de la genèse du mal,
appliqué à des fins politiques,
[20] « Le
Coronavirus et la Fondation Gates » (F.W. Engdahl, RI, 19-3-2020)
Sur
le mondialisme : La marche irrésistible
du nouvel ordre mondial, Pierre Hillard, éd. Francois-Xavier de
Guibert, réédition 2013.
[21] Voir notamment « Une pandémie
préméditée? » (Alexis
Cossette-Trudel, Radio Québec, 4-4-2020) et autres vidéos connexes de Radio Québec. https://www.youtube.com/watch?v=012sY5eZ440
[22] Entre
de nombreux autres, voir notamment le message n°4009 de Qanon, reprenant
l’intégralité des études disponible attentant de la dangerosité relative du
coronavirus, pouvant être soigné de façon satisfaisante avec
l’hydroxychloroquine. https://qanon.pub/#4009
[23] « Trudeau
vs Cossette-Trudel » (Alexis Cossette-Trudel, 16-4-2020) https://www.youtube.com/watch?v=bAaJZOK93Sg
[24] «Offener Protest-Brief an Politik
und Medien: Aufruf zur AUFHEBUNG der CORONA-ZWANGSMASSNAHMEN! » (PressePortal, 25-3-2020)
[25](Entrevue
de Steve Pieczenik avec le avec le Dr. James F. Tracy, émission « Real
politik », Truth Frequency Radio, CVR, 28-3-2016) http://chroniquesdelavieillerepublique.blogspot.com/2016/03/steve-pieczenik-dr-james-f-tracy-truth.html
[26] « Ce
que les médias ont caché dans l’affaire sur l’autisme de De Niro. » (F. W. Engdahl, 14-6-2016)
[27] Médias
« Principaux Courants / Politiquement corrects » (Mainstream Medias).
[28] Anton
Zischka, La Science brise les monopoles, Bruxelles,
Éditions de la Toison d'Or, 1941.
[29] « Saïf
al-Islam Kadhafi – Un rêve d’avenir pour la Libye », (éd. Erick Bonnier, octobre 2019, p.315).
[30]
« Coronavirus et nombre de décès douteux » (F.W. Engdahl, RI,
13-5-2020)
« Peut-on
faire confiance à l’OMS ? » (F.W. Engdahl, RI, 5-4-2020)
« Phase
de confinement : ce n’est pas un scénario futuriste » (F.W. Engdahl,
RI, 12-3-2020)
[31] « Didier
Raoult claquerait la porte à la France pour rejoindre la Chine, selon
Entreprendre » (Midi Libre, 20-5-2020)
« Vers un départ de Didier Raoult pour la Chine ?
Itinéraire d'une fake news » (LCI, 21-5-2020)
[32]
« Propagande et contre-propagande ? Christophe Stalla-Bourdillon »
(Thinkerview, 26-11-2019)
[33] Apocalypse 3:15-16 : « Je connais tes œuvres. Je
sais que tu n'es ni froid ni bouillant. Puisses-tu être froid ou bouillant! Ainsi, parce que tu es tiède, et que tu n'es ni froid ni bouillant,
je te vomirai de ma bouche. »
[34] Voir
Qanon, message n°2645 : sur le lien entre la Ligue antifascistes dans
l’Allemagne des années 1930 (aile paramilitaire du Parti Communiste allemand,
interdite en 1933) et les Antifa « moderne » constituant la nouvelle
aile paramilitaire du Parti Démocrate aux États-Unis. https://qanon.pub/#2645"
[35] Voir
les deux romans d’anticipation d’Orwell : 1984 (1949), La Ferme des animaux
(1945).
[36] La véritable
histoire des Bilderberger (Daniel Estulin, Editions Nouvelle Terre, 2009) ;
La
marche irrésistible… (Hillard,
précité) ; ENGDAHL, F.
William : Pétrole, une guerre d'un
siècle : L'ordre mondial anglo-américain,
éd. Jean- Cyrille Godefroy, 2007.
[37] Message n°3897 https://qanon.pub/#3897 et
n°3896 https://qanon.pub/#3896 du 23 mars 2020, Qanon.
[39] Éphésiens 6,10-17, cité à répétition par Qanon, notamment le 11 mai
2020, message n°4207 https://qanon.pub/#4207
[40]
« [Frappe en Syrie, 1e vidéo] Un KABUKI [Théâtre traditionneljaponais] de
GUERRE vis-à vis de la CHine et de la Corée du Nord. » (Steve Pieczenik,
CVR, 8 avril 2017) http://chroniquesdelavieillerepublique.blogspot.com/2017/04/frappe-en-syrie-1e-video-un-kabuki.html
; « [IMPORTANT Un “Kabuki“ de guerre feintée, pour servir une fragile
dynamique de paix. » (CVR, 27 avril 2017). http://chroniquesdelavieillerepublique.blogspot.com/2017/04/important-un-kabuki-de-guerre-feintee.html
[41]
« Il faudra un gouvernement mondial. Après, ou à la place de la
guerre ? », Jacques Attali, émission « Arrêt sur Image »,
France 5, enregistrée le 5-6-2010) https://www.arretsurimages.net/emissions/arret-sur-images/il-faudra-un-gouvernement-mondial-apres-ou-a-la-place-de-la-guerre
[42] Voir l’intégralité des travaux d’Alexis Cossette-Trudel
(Radio Québec), relatant 4 années de purge et de contre-influence discrète au
sein de l’Administration Trump : « #ObamaGate: sédition et trahison »
(Alexis Cossette-Trudel, Radio Québec, 10-5-2020). https://www.youtube.com/watch?v=LAvXySSQ8mU
[43]
« En Russie, un remaniement qui confirme les hommes forts de
Poutine » (Libération, 22-1-2020)
[44]
« Tchoubaïs, prochaine tête néolibérale à tomber en Russie ? » (F.W. Engdahl, RI, 10-2-2017).
« Quand
la Russie se débarrassera-t-elle de son talon d’Achille : la cinquième colonne
? » (F.W. Engdahl, Le Saker Francophone, 4-7-2016). https://lesakerfrancophone.fr/quand-la-russie-se-debarrassera-t-elle-de-son-talon-dachille-la-cinquieme-colonne
[45]
Vladimir Vasilyevich Kvachkov, ancien colonel russe Spetsnaz et officier du
renseignement militaire, docteur en sciences militaires et publiques, « Полковник ГРУ: что скрывают за
пандемией коронавируса? /Владимир Квачков » (Студия Рубеж, 24 mars 2020) https://www.youtube.com/watch?v=SZJC9JM2u70
[46] « New Black Panther Leader Quanell X: Trump Is Right
About Democrats Exploiting Black Votes » (Breitbart, 26-8-16, images de Fox 26 Houston, 23-8-16)
[47] « Biden: 'If you have a problem figuring out
whether you're for me or Trump, then you ain't black'” (CNN, 23-5-2020)
[49]Lt-CO A.
Schaeffer, Opération Dark Hearth, éd. du Rocher, 2011.
[50]
« Le maire de Chicago Rahm Emanuel et Barack Obama : Bonnet blanc et blanc
bênet! » (S. Pieczenik,
CVR, 4-1-2016)
« L'Agit'prop dans le cloaque politique de Chicago,
l'instrumentalisation des minorités contre Trump, et le rôle des Bush en
sous-main...» (S. Pieczenik,
CVR, 12-3-2016)
« Cas d’école du multiculturalisme importé aux
États Unis : un complot antinational là-bas aussi ! » (CVR, 19-10-2016)
« La
guerre raciale artificielle aux États-Unis, comme conséquence de l’ère
Obama. » (21-7-2017)
[51] « Cas
d’école du multiculturalisme importé aux États Unis : un complot antinational
là-bas aussi! » (CVR, 19-10-2016)
« La guerre raciale
artificielle aux États-Unis, comme conséquence de l’ère Obama. » (CVR, 21-7-2017
“D. Steve Pieczenik, Owen Shroyer, Alex Jones” (Circular Times, 16-8-2017 : https://www.youtube.com/watch?v=lIPX4mfpFlw
« Les faits :
double provocation scénarisée à Charlottesville [double provocation in
Charlottesville] » (Compte rendu des faits bruts à CHarlottesville, 17-8-2017)
« La
Confrontation de Charlottesville n’est qu’une mise en scène! » ( CVR,
8-14-2017)
http://chroniquesdelavieillerepublique.blogspot.com/2017/08/la-confrontation-de-charlottesville.html
[52]
« Il s’est passé quelque chose de vraiment incroyable lors de la Parade du
Jour de la Victoire » (RI, 12-5-2015, de Russia Insider, « Something
truly amazing happened today », 9-5-2015, via le Saker) https://reseauinternational.net/il-sest-passe-quelque-chose-de-vraiment-incroyable-lors-de-la-parade-du-jour-de-la-victoire/
[53] « Le soufisme : un pont entre les religions », par le Professeur
Nader Angha, maître de la voix Oveyssi Shahmaghsoudi (MTO Shamaghsoudi Publications France, p.81).
[54] Le
Dernier Loup, film franco-chinois de Jean-Jacques Annaud (2015).
[55] Dragon
Blade, film sino-hongkongais de Daniel Lee (2015).
[56] « Les Hui,
musulmans chinois modèles et patriotes » (Le Monde, 19-1-2018) https://www.lemonde.fr/international/article/2018/01/19/les-hui-musulmans-chinois-modeles-et-patriotes_5244088_3210.html
[57] Le Charme discret du Djihad, W. Engdahl, éd. Demi-Lune,
2018. L’État Profond, Peter Dale Scott, éd. Demi-Lune, 2016.
[58]
« Le Talon d'Achille de la Chine est sa chance en or » (F.W. Engdahl,
14-10-2015) http://www.williamengdahl.com/frenchNeo14Oct2015Full.php
[59] Xavier
de Hauteclocque, Le Turban vert, Éditions de la « Nouvelle Revue
Critique », 1931 ; réédition Energeïa 2013.
[60] Eric
Laurent, La Face cachée du 11 septembre, Plon, 2004.
[61] « Black
to Life: Rethinking the Black Presence within British History - BBC Stories » (BBC Stories, 25-6-2019)
[62]Once Upon a time, saison 5, Lancelot
The Most Gallant Knight, ABC (États-Unis), 2015.
[63] Troy, Fall of a City, BBC, 2018.
[64] Ballet
Royal de la Nuit, Présenté à l’Opéra Royal de Versailles les 24-26 novembre
2017.
[65]
« Le BREXIT, et la sécurisation d‘une Nouvelle Union Anglophone »,
F.W. Engdahl, RI, 14-4-2017.
[66] Voir
par exemple le film britannique de 2018 Red Joan (Trevor
Nunn), illustrant la subversion pro-soviétique en Grande-Bretagne durant les
années 1930, et présentant comme positive pour l’Histoire la trahison d’une
espionne britannique pro-soviétique qui contribua à donner la bombe atomique à
l’URSS.
[67] « OPUS 167 : le Réseau pédophile Epstein. »
(CVR, 13 juillet 2019) http://chroniquesdelavieillerepublique.blogspot.com/2019/07/opus-167-le-reseau-pedophile-epstein.html
[68] « Jeffrey Epstein : une
affaire française » (France Culture, 04/10/2019) https://www.franceculture.fr/droit-justice/jeffrey-epstein-une-affaire-francaise
« Jeffrey Epstein a
« reçu » 3 fillettes françaises de 12 ans en cadeau d’anniversaire –
afin d’abuser d’elles » (Epoch Times, 21-8-2019) https://fr.theepochtimes.com/jeffrey-epstein-a-recu-3-fillettes-francaises-de-12-ans-en-cadeau-danniversaire-pour-abuser-delles-988618.html
[69]
« Affaire Epstein: Ghislaine Maxwell, suspecte numéro 1 et
introuvable » (Le Temps, 14-8-19)
Voir
le dossier complet en 7 parties « Jeffrey Epstein et les Autres (1)
— Dossier : Le Livre noir de Jeffrey Epstein » (« Faits et
Documents » : n°471-477, décembre 2019-mai 2020).
[70]
« Violences sexuelles faites aux enfants : une urgence humanitaire »
(Libération, 2-3-2015) https://www.liberation.fr/debats/2015/03/02/violences-sexuelles-faites-aux-enfants-une-urgence-humanitaire_1212489
[71] « Meurtre d'Angélique: "La
France est l'eldorado des pédophiles" » (RMC, 30/04/2018) https://rmc.bfmtv.com/emission/meurtre-d-angelique-la-france-est-l-eldorado-des-pedophiles-1433462.html
[72] « Djamila Allaf : "422 enfants sont violés chaque jour
en France" » (Sud Radio, 3-12-2018) https://www.sudradio.fr/societe/djamila-allaf-422-enfants-sont-violes-chaque-jour-en-france/
[73] « Retour à Outreau.
Contre-enquête sur une manipulation pédocriminelle » du journaliste
Jacques THOMET (Ed. Kontre Kulture, 2013)
[74] « Christine Djamila Allaf :
"L'affaire Outreau a fait du mal à la cause des enfants" » (Sud
Radio, 13-6-2019) https://www.sudradio.fr/societe/christine-djamila-allaf-laffaire-outreau-a-fait-du-mal-a-la-cause-des-enfants/
[75] « Trump crée un nouveau
poste à la Maison Blanche dédié à la lutte contre le trafic d’êtres humains.
» (Epoch Times, 3-2-2020) https://fr.theepochtimes.com/trump-cree-un-nouveau-poste-a-la-maison-blanche-dedie-a-la-lutte-contre-le-trafic-detres-humains-1228917.html
[76]
« Ardennes : un cadre de la DGSI mis en examen et écroué pour viol sur
mineure » (Le Parisien, 26 juin 2019) http://www.leparisien.fr/faits-divers/ardennes-un-commandant-de-la-dgsi-mis-en-examen-pour-viol-sur-mineure-26-06-2019-8103060.php
[77] « Al-Lât,
divinité protectrice de l'État Français » (Médiapart, 7-12-2015) https://blogs.mediapart.fr/vincent-planel/blog/071215/al-lat-divinite-protectrice-de-letat-francais
[78]
« Collaboration avec les services syriens : des députés interrogent
Valls » (Le Figaro, 20-11-2015) https://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/coulisses/2015/11/20/25006-20151120ARTFIG00319-collaboration-avec-les-services-syriens-des-deputes-interrogent-valls.php
« [Scandale] L’ex-chef de la DST : M. Valls a refusé la liste des
djihadistes français pour des raisons idéologiques » ( 19 novembre 2015)https://www.les-crises.fr/scandale-lex-chef-de-la-dst-m-valls-a-refuse-la-liste-des-djihadistes-francais-pour-des-raisons-ideologiques/
« Insurrections, Espions, COVID-19, Crise mondiales. Bernard
Squarcini » (Thinkerview, 15-5-2020). https://www.youtube.com/watch?v=AY2tCBZZy5I
Voir aussi « Saïf al-Islam Kadhafi : un rêve d’avenir pour la
Libye », éd. Erick Bonnier, 2019, p. 279.
[79] Xavier de Hauteclocque, éminent agent du
Renseignement français et cousin du maréchal Philippe de Hauteclocque,
dit Leclerc. Dans son Turban Vert (précité, 1930) et par ses autres
travaux, il posa des questions dérangeantes sur les origines des crises
internationales, du terrorisme armé et des guerres, et fut assassiné pour cela
par les nazis. https://www.comixtrip.fr/bibliotheque/la-tragedie-brune-hauteclocque/
[80]
« La victoire de Donald Trump par Alexander Douguine » (Katehon, via
Le Saker Francophone, 10-11-2016), https://lesakerfrancophone.fr/la-victoire-de-donald-trump-par-alexander-douguine
[81]
« Les 100 prochains jours seront critiques pour l’Amérique ! » (S. Pieczenik, CVR, 30-7-2016) http://chroniquesdelavieillerepublique.blogspot.com/2016/07/les-100-prochains-jours-seront.html
« PAS
de Merci pour James Comey et Loretta Lynch! » (S. Pieczenik, CVR, 6-7-2016) http://chroniquesdelavieillerepublique.blogspot.com/2016/07/pas-de-merci-pour-james-comey-et.html
[82]
« Le Meilleur des Mondes », Aldous Huxley.